Une fois par trimestre, les professeurs et les représentants des parents
d'élèves se réunissent. C'est une réunion longue, répétitive et, il
faut l'avouer, assez ennuyeuse.
Mais c'est aussi l'occasion de l'apercevoir. Elle ! Celle qui fait battre son coeur et ... tendre la toile de ses sous-vêtements.
La réunion s'éternisant, les regards se croisent, discrètement bien sûr, mais de plus en plus insistants.
Alors, le prof ne se contient plus. Au diable les soupçons !
Il
se lève et fait mine de se rendre dans sa classe mais part en réalité
se cacher dans les toilettes de l'établissement, la dernière cabine des
dames.
Comprenant le message, la mère d'élève esquisse un sourire
puis attend. Attend de longues minutes. Puis elle se lève et part à son
tour dans la cabine des toilettes.
Aussitôt la porte verrouillée,
les deux amants échangent un baiser d'une rare intensité. Leurs corps
sont parcourus d'un frisson d'excitation. Mais ce n'est pas aujourd'hui
qu'ils pourront s'ennivrer et se laisser totalement aller. La cabine est
trop exigue, les murs et la porte ne pourraient absolument pas étouffer
les gémissements de jouissance. Alors, il faudra se contenter d'une
"mise en bouche", d'une délicieuse mise en bouche.
De ses mains
expertes, la mère d'élève dégraffe le pantalon de son professeur préféré,
le fait glisser jusqu'aux chevilles et s'empare avec avidité du pénis
dressé tant convoité.
Sans plus attendre, elle goûte au gland rouge
et gonflé, avec sa langue, avec ses lèvres. Elle fait onduler sa tête
d'avant en arrière, aspirant le sexe pour le gonfler plus encore, pour
en savourer les arômes si excitants. Elle lèche le membre durci,
s'attarde sur les testicules qu'elle aime aspirer, et masturbe avec ses
doigts délicats cette colonne tendue vers le ciel.
Elle sent que son
amant va jouir et ne veut rien perdre de son fluide vital. Alors, elle
enfonce le sexe jusqu'au fond de sa gorge et boit jusqu'à la dernière
goutte tout ce qu'il peut lui donner.
Ainsi rassasiée, elle s'essuie
pudiquement la bouche, plante ses yeux dans ceux du prof qui a la tête
visiblement dans le nuages et d'une voix feutrée, lui fait promettre de
l'autoriser à recommencer autant de fois qu'elle le voudra. Ceci et bien plus
encore.
Ensuite, comme si de rien était, elle retourne dans la salle
de réunion et y assiste jusqu'au bout, sans regretter, pour une fois,
d'y être venue.
vendredi 30 octobre 2015
jeudi 29 octobre 2015
"Venez dans mon bureau, s'il vous plaît."
Sahayaka est une jolie brune, d'origine étrangère. Pour obtenir son poste d'assistante de direction, elle a dû se montrer largement supérieure aux autres candidats ou candidates. Mais maintenant qu'elle est embauchée, on ne laisse pas se reposer. La pression ne retombe absolument pas ! Au contraire : elle a été surchargée de travail ces derniers mois. En plus de ses tâches bureautiques et administratives habituelles, elle doit s'occuper d'organiser toutes sortes d'événements promotionnels. En clair, elle doit travailler deux fois plus que les autres et en plus incarner une belle image de la société.
Aujourd'hui, comble du stress, le grand patron la convoque pour faire le bilan de sa période probatoire. Un patron austère et très exigeant. L'angoisse tord le ventre de la jeune mais fatiguée Sahayaka.
Ce qu'elle craignait survient. Le patron passe en revue tous les manquements, aussi petits soient-ils, que son assistante a pu commettre. Trop nouée pour répondre que la surcharge de travail est responsable de ces détails ratés, Sahayaka n'arrive pas à argumenter. Au lieu de se défendre, elle s'écroule. Et laisse couler son émotion.
Le patron se lève alors et, attitude totalement inattendue de sa part, s'approche d'elle pour la consoler. Presque paternellement, il lui dit : "Allons, allons, ne vous mettez pas dans cet état.". Mais au lieu de se calmer, la jeune femme s'effondre, exténuée, submergée par le stress accumulé.
Le comportement du patron devient plus tactile. Il la prend dans ses bras et ajoute : " Voyons, une jolie femme comme vous, ... Vous avez beaucoup d'atouts vous savez."
Sans prévenir, il se met à déboutonner le tailleur et le chemisier de la jeune assistante. Ses mains fermes empoignent la poitrine dénudée et sa bouche virile se pose d'abord sur le front, puis dans le cou et enfin sur les seins de l'assistante de direction. Incrédule et trop émue pour réagir, elle se laisse totalement faire.
Au bout d'un agréable moment, elle sent les mains du patron se glisser sous ses fesses et la soulever pour la poser sur le bureau. Continuant de prendre l'initiative, dominateur, il relève la jupe et enlève d'un coup sec la petite culotte visiblement humide. Puis plonge son visage entre les cuisses de celle qu'il console d'une façon très particulière. La langue s'insinue partout et produit l'effet escompté. Sahayaka a oublié son émotion, son stress, sa fatigue. En fait, elle a même oublié qu'elle se trouvait dans le bureau (sur le bureau !) de son patron et elle s'allonge pour s'ouvrir encore plus à la caresse, au délicieux cunnilingus.
Sentant, goûtant, l'excitation de la jeune femme et étant lui même extrêmement excité, le patron ôte à toute vitesse son pantalon et son caleçon, et s'enfonce vigoureusement dans le sexe gonflé et abondamment lubrifié de la belle assistante. Elle se cambre de plaisir ! Elle noue ses jambes autour des reins et cherche à l'attirer au plus profond d'elle.
Puis elle se lâche, oubliant la hiérarchie et laissant libre cours à son désir, et lui susurre : "Tu me donnes tellement de plaisir ... Je n'ai qu'une envie, t'en donner aussi ... J'ai envie de toi dans ma bouche....là, tout de suite, maintenant... ".
Le patron recule d'un pas, Sahayaka descend du bureau, s'accroupit et empoigne le sexe de son patron pour mieux l'enfourner dans sa bouche. Gourmande, elle aspire, lèche, suce, caresse ce membre dressé. Elle l'admire avec ses yeux, le goûte avec sa langue puis, sentant que le frisson de l'orgasme va les secouer tous les deux, reprend le sexe du patron jusqu'au fond de sa gorge. Il jouit et elle jouit en se caressant au même moment.
Penaude, elle relève les yeux et s'excuse presque : "Pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher". Le patron, le visage empourpré la rassure : "C'était parfait ! Nous aurons l'occasion de refaire le bilan. Revenez-me voir dans mon bureau, disons, ... demain !".
Aujourd'hui, comble du stress, le grand patron la convoque pour faire le bilan de sa période probatoire. Un patron austère et très exigeant. L'angoisse tord le ventre de la jeune mais fatiguée Sahayaka.
Ce qu'elle craignait survient. Le patron passe en revue tous les manquements, aussi petits soient-ils, que son assistante a pu commettre. Trop nouée pour répondre que la surcharge de travail est responsable de ces détails ratés, Sahayaka n'arrive pas à argumenter. Au lieu de se défendre, elle s'écroule. Et laisse couler son émotion.
Le patron se lève alors et, attitude totalement inattendue de sa part, s'approche d'elle pour la consoler. Presque paternellement, il lui dit : "Allons, allons, ne vous mettez pas dans cet état.". Mais au lieu de se calmer, la jeune femme s'effondre, exténuée, submergée par le stress accumulé.
Le comportement du patron devient plus tactile. Il la prend dans ses bras et ajoute : " Voyons, une jolie femme comme vous, ... Vous avez beaucoup d'atouts vous savez."
Sans prévenir, il se met à déboutonner le tailleur et le chemisier de la jeune assistante. Ses mains fermes empoignent la poitrine dénudée et sa bouche virile se pose d'abord sur le front, puis dans le cou et enfin sur les seins de l'assistante de direction. Incrédule et trop émue pour réagir, elle se laisse totalement faire.
Au bout d'un agréable moment, elle sent les mains du patron se glisser sous ses fesses et la soulever pour la poser sur le bureau. Continuant de prendre l'initiative, dominateur, il relève la jupe et enlève d'un coup sec la petite culotte visiblement humide. Puis plonge son visage entre les cuisses de celle qu'il console d'une façon très particulière. La langue s'insinue partout et produit l'effet escompté. Sahayaka a oublié son émotion, son stress, sa fatigue. En fait, elle a même oublié qu'elle se trouvait dans le bureau (sur le bureau !) de son patron et elle s'allonge pour s'ouvrir encore plus à la caresse, au délicieux cunnilingus.
Sentant, goûtant, l'excitation de la jeune femme et étant lui même extrêmement excité, le patron ôte à toute vitesse son pantalon et son caleçon, et s'enfonce vigoureusement dans le sexe gonflé et abondamment lubrifié de la belle assistante. Elle se cambre de plaisir ! Elle noue ses jambes autour des reins et cherche à l'attirer au plus profond d'elle.
Puis elle se lâche, oubliant la hiérarchie et laissant libre cours à son désir, et lui susurre : "Tu me donnes tellement de plaisir ... Je n'ai qu'une envie, t'en donner aussi ... J'ai envie de toi dans ma bouche....là, tout de suite, maintenant... ".
Le patron recule d'un pas, Sahayaka descend du bureau, s'accroupit et empoigne le sexe de son patron pour mieux l'enfourner dans sa bouche. Gourmande, elle aspire, lèche, suce, caresse ce membre dressé. Elle l'admire avec ses yeux, le goûte avec sa langue puis, sentant que le frisson de l'orgasme va les secouer tous les deux, reprend le sexe du patron jusqu'au fond de sa gorge. Il jouit et elle jouit en se caressant au même moment.
Penaude, elle relève les yeux et s'excuse presque : "Pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher". Le patron, le visage empourpré la rassure : "C'était parfait ! Nous aurons l'occasion de refaire le bilan. Revenez-me voir dans mon bureau, disons, ... demain !".
vendredi 4 septembre 2015
A la terrasse d'un café
Je suis assise à la terrasse d'un café, il fait froid, et j'essaie de me réchauffer en sirotant mon cappuccino, tout en regardant les passants sur le trottoir d'en face.
Je me sens un peu seule dans cette grande ville où je débarque pour travailler et où je ne connais personne.
Cependant, il y a une personne en particulier que j'attends.
Je me sens un peu seule dans cette grande ville où je débarque pour travailler et où je ne connais personne.
Cependant, il y a une personne en particulier que j'attends.
Cet homme que j'ai rencontré il y a peu de temps.
Son sourire timide, son regard intense, sa démarche nonchalante... j'ai craqué !
Ses
mains, toujours très chaudes sont un vrai bonheur lorsqu'elles se
fraient un chemin sous mon chemisier, moi qui suis toujours très
frileuse. Sa bouche, douce, caressante, se fait pressante lorsqu'elle
rencontre la mienne.
Lorsque nous sommes ensemble, nous sortons très peu.
Lorsque nous sommes ensemble, nous sortons très peu.
Sa peau, sa bouche, ses mains, sont comme une drogue.
J'ai besoin qu'il soit totalement nu lorsque nous nous retrouvons. C'est très troublant, comme son corps m'attire.
J'ai l'impression d'être affamée lorsque je le vois. J'ai faim de lui.
J'ai toujours envie de goûter à son "Priape". Sa douceur sur ma langue, entre mes lèvres, est un vrai délice.
Et de savoir qu'il aime ça, me rend encore plus folle.
Lui dit que je suis insatiable; il n'a pas tort, car lorsque je suis avec lui, j'en ai toujours envie.
Envie de sa bouche sur la mienne, sur mes seins, dévorant mon intimité.
De ses coups de reins lourds et profonds, qui me remplissent et m'emmènent jusqu'à l'explosion.
Tiens,
je le vois là-bas, il arrive... et déjà une douce et délicieuse chaleur
s'empare de mon corps à cet endroit précis ou il mettra sa langue un
peu plus tard.
Il est là et je le dévore déjà des yeux. Tout mon corps frémit et mon ventre est comme chatouillé par une nuée de papillons. Il me salue, s'excuse du retard et me propose de l'accompagner chez lui. Je me lève d'un bond ! Ai-je été trop démonstrative ?
Le trajet en voiture me semble interminable. Il se concentre sur la circulation mais je ne peux retenir ma main qui glisse sur sa cuisse et remonte jusqu'à son entre-jambe. Le tissu est déjà tendu, formant une bosse que je caresse du bout des doigts. Mon esprit s'enflamme en imaginant ce que je m'apprête à libérer. Nous ne disons déjà plus rien, trop impatients de nous jeter l'un sur l'autre.
Enfin, nous voici arrivés à son immeuble. Il me prend par la main et m'emmène à l'étage où se trouve son appartement. Sa poigne est ferme, son allure tonique. Je dois forcer mon allure pour le suivre mais je jubile. Bientôt, il va être à moi, tout à moi !
A peine la porte franchie et verrouillée, il me plaque contre le mur et m'embrasse avec une force, une intensité, une suavité telles que je sens un frisson parcourir tout mon corps. Je lui rends son baiser avec sensualité, me lovant entre ses bras. Je veux fusionner avec son corps.
Ses mains parcourent le mien, du cou aux épaules, de la poitrine au ventre, jusqu'à mes fesses qu'il empoigne vigoureusement, me soulevant presque du sol. A chaque étape, il défait quelques boutons, la ceinture, une fermeture éclair et me voilà presque entièrement dénudée sans avoir quitté une seule seconde sa bouche et la caresse ardente de sa langue.
Ses mains chaudes ont glissé sous mon chemisier, comme je l'espérais en l'attendant à la terrasse du café, mais bientôt, il les utilise pour ôter mon pantalon et ma petite culotte toute humide. Aussitôt nos lèvres séparées, avant même que j'exprime ma frustration due à leur absence, le voici accroupi, le visage entre mes cuisses et sa langue exploratrice qui glisse sur mes autres lèvres et mon clitoris. Hum ! Il sait me donner du plaisir. Il m'excite comme une folle. Je me tortille contre le mur réagissant à chaque pointe de sa langue. Je n'en peux plus ! Je le veux ! Dans ma bouche pour commencer !
J'éloigne sa tête, je reprends mon souffle quelques instants (et lui aussi) et je le traîne jusqu'à sa chambre en finissant d'enlever les rares vêtements encore sur moi. En quelques secondes, de mes mains expertes, je le déshabille complètement; puis, je le pousse sur le lit avant de me jeter littéralement sur lui, telle une lionne avide de dévorer sa proie.
Ah ! Que c'est bon de retrouver son sexe ! Chaud, dur et doux à la fois ! Je l'aspire dans ma bouche et je salive d'excitation autant que je mouille entre mes jambes. Je le sens glisser sur ma langue, sur mes lèvres; j'aime son goût, sa texture, sa délicatesse. Dire qu'avant lui je me forçais toujours pour faire ça. Aujourd'hui, je ne pourrais plus m'en passer. Et il le sait !
Pendant que je déguste cette fellation, ses doigts viennent me caresser. Il en glisse d'abord un, délicatement, dans mon sexe, parcourant avec sensualité les lèvres, puis s'attardant sur le clitoris avant de s'enfoncer à l'intérieur pour le ressortir tout lubrifié. Sa caresse recommence autour de mon anus cette fois. Il glisse bientôt le doigt lubrifié dans mon orifice étroit et accompagne cette pénétration par une deuxième doigt dans le vagin. Je suis peu coutumière de ces caresses anales et vaginales à la fois mais je dois reconnaître que si c'est lui qui me les donne, je les apprécie sans aucune retenue. Bientôt, le voici qui enfonce deux doigts dans mon sexe, puis aussi un deuxième doigt par derrière.
Je pourrais continuer des heures ma fellation, lécher son membre dressé, happer son gland avec mes lèvres, aspirer ses testicules, et le sentir gémir de désir ... mais il m'a trop excitée avec ses doigts et cette double pénétration. Je brûle ! Je veux qu'il me prenne de toute sa vigueur, qu'il s'enfonce au plus profond de moi. Alors, oubliant toute pudeur et toute mon éducation catholique, telle une chatte en chaleur, je le fixe droit dans le yeux et je me mets à quatre pattes sur le lit. Totalement offerte. Le visage par dessus mon épaule, je laisse échapper entre mes dents un "Prends-moi !" qui tient plus du râle animal que de la femme maîtrisée (presque coincée) que je suis habituellement.
Mon étalon ne se fait pas prier. Il me saisit par les hanches et s'enfonce centimètre par centimètre tout au fond de mon sexe. J'ai l'impression que l'empalement n'en finit pas ! Il est large, les parois de mon vagin sont gonflées, nos deux sexes chauffés à bloc ! Et soudain, commence le va-et-vient. C'est presque trop fort, trop intense, je suis incapable de retenir mes gémissements. Plus il accélère la cadence et la puissance de ses coups de reins, plus mes soupirs se transforment en cris. Je jouis de tout mon soul sous ses coups de pilon ! Pour m'offrir encore plus, je laisse glisser mes mains sur le drap en offrant ma croupe dressée vers le plafond, cambrée à mon maximum. Il avance alors ses pieds presque jusqu'à mes épaules et s'enfonce en moi comme un piston dans son cylindre ! C'est une machine ! C'est trop ! Je n'en finis plus de jouir.
Mais maintenant, j'ai besoin d'un peu de repos, de douceur. Moins de bestialité et plus de sensualité. Je m'allonge en position fœtale ... ce qui ne semble pas le décourager. Il se love contre moi, dans mon dos, et ainsi positionnés, en cuillère, il s'insinue encore en moi. Cette fois-ci, il me caresse avec son sexe plus qu'il ne m'emplit. Ce moment de grande douceur a pour effet de m'exciter à nouveau, de me donner envie de jouir encore. C'est un diable avec moi, il m'envoute, sait déclencher toutes les pulsions que je ne savais même pas posséder au plus profond de moi. Il saisit son sexe et s'en sert tel un pinceau pour caresser mes fesses, mon sexe et même mon anus ...
Ah, je sais où il veut en venir. Ce coït qui m'angoisse un peu mais que je lui réserve pour les grands moments, trop rares, de nos rencontres. Alors oui, je veux m'offrir totalement à lui. Je le guide jusqu'à l'entrée. Je sens la pointe de son gland glisser. Ses mains viennent étreindre mes petits seins, si sensibles, puis l'une d'elle descend pour caresser mon clitoris tandis que son sexe continuer à s'enfoncer dans mon anus. Il est chaud et large mais je ne ressens aucune douleur, au contraire, il déclenche du plaisir. Alors, je pose une main sur ses fesses et c'est moi qui imprime la cadence. Ses mains caressent tout mon corps, des épaules, au ventre, des seins au clitoris. Je sens que je vais jouir une deuxième fois, par derrière, et qu'il n'est, lui aussi, plus très loin de l'orgasme. Aaah ! Ensemble ! Nous jouissons ensemble, nos corps imbriqués. Que du bonheur !
Nous restons emboîtés, emportés par un vertige. La nuit est déjà tombée. Mais nous ne dormirons pas beaucoup. N'oubliez pas : je suis insatiable avec lui !
Il est là et je le dévore déjà des yeux. Tout mon corps frémit et mon ventre est comme chatouillé par une nuée de papillons. Il me salue, s'excuse du retard et me propose de l'accompagner chez lui. Je me lève d'un bond ! Ai-je été trop démonstrative ?
Le trajet en voiture me semble interminable. Il se concentre sur la circulation mais je ne peux retenir ma main qui glisse sur sa cuisse et remonte jusqu'à son entre-jambe. Le tissu est déjà tendu, formant une bosse que je caresse du bout des doigts. Mon esprit s'enflamme en imaginant ce que je m'apprête à libérer. Nous ne disons déjà plus rien, trop impatients de nous jeter l'un sur l'autre.
Enfin, nous voici arrivés à son immeuble. Il me prend par la main et m'emmène à l'étage où se trouve son appartement. Sa poigne est ferme, son allure tonique. Je dois forcer mon allure pour le suivre mais je jubile. Bientôt, il va être à moi, tout à moi !
A peine la porte franchie et verrouillée, il me plaque contre le mur et m'embrasse avec une force, une intensité, une suavité telles que je sens un frisson parcourir tout mon corps. Je lui rends son baiser avec sensualité, me lovant entre ses bras. Je veux fusionner avec son corps.
Ses mains parcourent le mien, du cou aux épaules, de la poitrine au ventre, jusqu'à mes fesses qu'il empoigne vigoureusement, me soulevant presque du sol. A chaque étape, il défait quelques boutons, la ceinture, une fermeture éclair et me voilà presque entièrement dénudée sans avoir quitté une seule seconde sa bouche et la caresse ardente de sa langue.
Ses mains chaudes ont glissé sous mon chemisier, comme je l'espérais en l'attendant à la terrasse du café, mais bientôt, il les utilise pour ôter mon pantalon et ma petite culotte toute humide. Aussitôt nos lèvres séparées, avant même que j'exprime ma frustration due à leur absence, le voici accroupi, le visage entre mes cuisses et sa langue exploratrice qui glisse sur mes autres lèvres et mon clitoris. Hum ! Il sait me donner du plaisir. Il m'excite comme une folle. Je me tortille contre le mur réagissant à chaque pointe de sa langue. Je n'en peux plus ! Je le veux ! Dans ma bouche pour commencer !
J'éloigne sa tête, je reprends mon souffle quelques instants (et lui aussi) et je le traîne jusqu'à sa chambre en finissant d'enlever les rares vêtements encore sur moi. En quelques secondes, de mes mains expertes, je le déshabille complètement; puis, je le pousse sur le lit avant de me jeter littéralement sur lui, telle une lionne avide de dévorer sa proie.
Ah ! Que c'est bon de retrouver son sexe ! Chaud, dur et doux à la fois ! Je l'aspire dans ma bouche et je salive d'excitation autant que je mouille entre mes jambes. Je le sens glisser sur ma langue, sur mes lèvres; j'aime son goût, sa texture, sa délicatesse. Dire qu'avant lui je me forçais toujours pour faire ça. Aujourd'hui, je ne pourrais plus m'en passer. Et il le sait !
Pendant que je déguste cette fellation, ses doigts viennent me caresser. Il en glisse d'abord un, délicatement, dans mon sexe, parcourant avec sensualité les lèvres, puis s'attardant sur le clitoris avant de s'enfoncer à l'intérieur pour le ressortir tout lubrifié. Sa caresse recommence autour de mon anus cette fois. Il glisse bientôt le doigt lubrifié dans mon orifice étroit et accompagne cette pénétration par une deuxième doigt dans le vagin. Je suis peu coutumière de ces caresses anales et vaginales à la fois mais je dois reconnaître que si c'est lui qui me les donne, je les apprécie sans aucune retenue. Bientôt, le voici qui enfonce deux doigts dans mon sexe, puis aussi un deuxième doigt par derrière.
Je pourrais continuer des heures ma fellation, lécher son membre dressé, happer son gland avec mes lèvres, aspirer ses testicules, et le sentir gémir de désir ... mais il m'a trop excitée avec ses doigts et cette double pénétration. Je brûle ! Je veux qu'il me prenne de toute sa vigueur, qu'il s'enfonce au plus profond de moi. Alors, oubliant toute pudeur et toute mon éducation catholique, telle une chatte en chaleur, je le fixe droit dans le yeux et je me mets à quatre pattes sur le lit. Totalement offerte. Le visage par dessus mon épaule, je laisse échapper entre mes dents un "Prends-moi !" qui tient plus du râle animal que de la femme maîtrisée (presque coincée) que je suis habituellement.
Mon étalon ne se fait pas prier. Il me saisit par les hanches et s'enfonce centimètre par centimètre tout au fond de mon sexe. J'ai l'impression que l'empalement n'en finit pas ! Il est large, les parois de mon vagin sont gonflées, nos deux sexes chauffés à bloc ! Et soudain, commence le va-et-vient. C'est presque trop fort, trop intense, je suis incapable de retenir mes gémissements. Plus il accélère la cadence et la puissance de ses coups de reins, plus mes soupirs se transforment en cris. Je jouis de tout mon soul sous ses coups de pilon ! Pour m'offrir encore plus, je laisse glisser mes mains sur le drap en offrant ma croupe dressée vers le plafond, cambrée à mon maximum. Il avance alors ses pieds presque jusqu'à mes épaules et s'enfonce en moi comme un piston dans son cylindre ! C'est une machine ! C'est trop ! Je n'en finis plus de jouir.
Mais maintenant, j'ai besoin d'un peu de repos, de douceur. Moins de bestialité et plus de sensualité. Je m'allonge en position fœtale ... ce qui ne semble pas le décourager. Il se love contre moi, dans mon dos, et ainsi positionnés, en cuillère, il s'insinue encore en moi. Cette fois-ci, il me caresse avec son sexe plus qu'il ne m'emplit. Ce moment de grande douceur a pour effet de m'exciter à nouveau, de me donner envie de jouir encore. C'est un diable avec moi, il m'envoute, sait déclencher toutes les pulsions que je ne savais même pas posséder au plus profond de moi. Il saisit son sexe et s'en sert tel un pinceau pour caresser mes fesses, mon sexe et même mon anus ...
Ah, je sais où il veut en venir. Ce coït qui m'angoisse un peu mais que je lui réserve pour les grands moments, trop rares, de nos rencontres. Alors oui, je veux m'offrir totalement à lui. Je le guide jusqu'à l'entrée. Je sens la pointe de son gland glisser. Ses mains viennent étreindre mes petits seins, si sensibles, puis l'une d'elle descend pour caresser mon clitoris tandis que son sexe continuer à s'enfoncer dans mon anus. Il est chaud et large mais je ne ressens aucune douleur, au contraire, il déclenche du plaisir. Alors, je pose une main sur ses fesses et c'est moi qui imprime la cadence. Ses mains caressent tout mon corps, des épaules, au ventre, des seins au clitoris. Je sens que je vais jouir une deuxième fois, par derrière, et qu'il n'est, lui aussi, plus très loin de l'orgasme. Aaah ! Ensemble ! Nous jouissons ensemble, nos corps imbriqués. Que du bonheur !
Nous restons emboîtés, emportés par un vertige. La nuit est déjà tombée. Mais nous ne dormirons pas beaucoup. N'oubliez pas : je suis insatiable avec lui !
jeudi 3 septembre 2015
Détente et tension
J'étais harassé par la fatigue après une année de dur labeur et de stress. Je prenais un bain de soleil sur un
transat, dans un hôtel, sur une terrasse privée.
Dans mon demi-sommeil, j'ai senti des mains chaudes venir me masser, me caresser puis se glisser sous mes vêtements. Bientôt, je me suis retrouvé dénudé, exposé au soleil, offert aux caresses les plus gourmandes.
Le reste a été une longue et délicieuse dégustation. Moi dans le rôle de la friandise et toi dans le rôle de la gourmande !
A un moment, tu étais devenue glissante, mouillée et lubrifiée par le désir. Tu t'es assise sur moi et tu as joué à des va-et-vient sur mon membre gonflé, excité jusqu'à exploser, mais sans t'empaler; juste glisser et t'exciter davantage encore.
Mais ce jeu ne dura pas indéfiniment et tu as fini par planter mon sexe dressé dans tes entrailles, tout au fond de toi, te remplissant de sensations jusqu'à provoquer un orgasme tel que j'ai eu l'impression qu'une main dotée d'une poigne terrible me saisissait depuis l'intérieur de toi et voulait m'y entraîner pour ne plus en sortir !
Quel inattendu moment de tension, moi qui voulait me détendre. J'étais tout tendu ... pour ton plus grand bonheur.
Dans mon demi-sommeil, j'ai senti des mains chaudes venir me masser, me caresser puis se glisser sous mes vêtements. Bientôt, je me suis retrouvé dénudé, exposé au soleil, offert aux caresses les plus gourmandes.
Le reste a été une longue et délicieuse dégustation. Moi dans le rôle de la friandise et toi dans le rôle de la gourmande !
A un moment, tu étais devenue glissante, mouillée et lubrifiée par le désir. Tu t'es assise sur moi et tu as joué à des va-et-vient sur mon membre gonflé, excité jusqu'à exploser, mais sans t'empaler; juste glisser et t'exciter davantage encore.
Mais ce jeu ne dura pas indéfiniment et tu as fini par planter mon sexe dressé dans tes entrailles, tout au fond de toi, te remplissant de sensations jusqu'à provoquer un orgasme tel que j'ai eu l'impression qu'une main dotée d'une poigne terrible me saisissait depuis l'intérieur de toi et voulait m'y entraîner pour ne plus en sortir !
Quel inattendu moment de tension, moi qui voulait me détendre. J'étais tout tendu ... pour ton plus grand bonheur.
mercredi 6 mai 2015
Rencontre au crépuscule
Hécate et Apollon n'auraient jamais dû se rencontrer. Ils vivaient aux antipodes l'un de l'autre. Tels la Lune et le Soleil, ils n'auraient pu, tout au plus, que se croiser.
Leur rencontre ne fut en tout cas pas volontaire mais cela a suffi à provoquer une étincelle, une attraction foudroyante et réciproque. L'étincelle est devenue un feu brûlant puis le feu un incendie dévorant.
Malgré leurs vies séparées, malgré leurs attachements par ailleurs, les deux êtres étaient consumés par l'envie insatiable de se voir, de se toucher, de se fondre l'un dans l'autre. Hécate, la brune, et Apollon, le blond, savouraient chaque fois l'instant fugace où ils se croisaient. A chaque fois, l'envie se faisait plus forte, dévorante, presque incontrôlable.
Puis, ce qui devait arriver, arriva.
[A suivre ...]
Leur rencontre ne fut en tout cas pas volontaire mais cela a suffi à provoquer une étincelle, une attraction foudroyante et réciproque. L'étincelle est devenue un feu brûlant puis le feu un incendie dévorant.
Malgré leurs vies séparées, malgré leurs attachements par ailleurs, les deux êtres étaient consumés par l'envie insatiable de se voir, de se toucher, de se fondre l'un dans l'autre. Hécate, la brune, et Apollon, le blond, savouraient chaque fois l'instant fugace où ils se croisaient. A chaque fois, l'envie se faisait plus forte, dévorante, presque incontrôlable.
Puis, ce qui devait arriver, arriva.
[A suivre ...]
lundi 20 avril 2015
Heures supplémentaires
Au bureau, on approchait d'une de ces dates butoirs qui mettent la pression, qui donnent le stress à tout le monde. Sabine n'échappait pas à la règle mais son professionnalisme et son sérieux étaient des atouts que tous ses collaborateurs appréciaient ... ce qui fait qu'elle était encore plus sollicitée que d'habitude et par conséquent recherchée par tous ceux qui voulaient bénéficier de ses talents. Parmi eux, c'est Romain qui réussit à s'attirer sa collaboration et donc à l'enlever à tous les autres.
Depuis le début de la semaine, ils travaillaient d'arrache-pied pour boucler le gros dossier que leur patron leur avait attribué. Malgré leurs efforts, ils n'étaient pas parvenus à avancer suffisamment et c'est ce soir que l'ultime délai arrivait à échéance. Il faudrait travailler jusqu'à tard, très tard !
Les uns après les autres, les collègues de Sabine et Romain quittaient leurs bureaux, exténués, et la grande salle n'était plus éclairée que par quelques tubes de néons et de rares lampes de bureau. Une ambiance tamisée, lourde de fatigue. Un passage par la machine à café s'imposait pour reprendre des forces avant le baroud d'honneur et la victoire : le bouclage du dossier.
Un effet inattendu se fit sentir autour du distributeur de boissons chaudes. Non seulement, cela eut un effet revigorant mais l'ambiance se fit également plus conviviale, plus intime, entre les deux partenaires. Sabine avait abandonné sa veste étriquée et Romain dénoué sa cravate. C'est donc en jupe et chemisier blanc que Sabine regagna sa place suivie de Romain, la veste tenue d'une main par dessus l'épaule et les yeux fixés un peu plus bas, sur les courbes généreuses de sa collègue de travail.
Le dossier n'était cependant pas encore bouclé. Ils reprirent donc leurs efforts. Sabine était assise sur son fauteuil à roulettes, confortable, face à l'ordinateur. Romain faisait de plus en plus les cent pas, réfléchissant à haute voix et se penchant sur le bureau pour trouver les informations dans les papiers dispersés ça et là, ou par dessus l'épaule de Sabine pour admirer la synthèse et la mise en forme qu'elle parvenait à extraire de son flux d'informations.
Il était maintenant très tard. Même la climatisation avait été arrêtée. Sabine et Romain étaient désormais les derniers au bureau et ne comptaient plus leurs heures supplémentaires. Dans un état second, ils arrivaient au bout de leur peine. Les cafés aidant, et sans la climatisation, il faisait de plus en plus chaud. Sabine, sans y prendre garde (ou était-ce volontaire ?), avait en partie déboutonné son chemisier. Romain, penché au-dessus de ses épaules pour lire une dernière fois leur rapport eut soudain les yeux happés par la poitrine visible de sa collègue féminine. Sans presque s'en rendre compte, il glissa sa main dans l'ouverture et posa sa main virile sur la poitrine menue de Sabine. Celle-ci s'abandonna à la caresse tout juste après avoir instinctivement sauvegardé le travail et lancé l'impression du rapport.
Sans échanger le moindre mot, couverts par le seul bruit de l'imprimante et d'un néon clignotant au fond de la grande salle, les deux collègues se laissèrent complètement aller. Les mains de Romain avaient dégrafé le soutien-gorge de Sabine et ouvert totalement le chemisier. Elles empoignaient fermement les petits seins dont les tétons durcissaient sous les caresses. Sabine, les yeux mi-clos respirait de plus en plus lourdement. Elle était maintenant quasiment torse nu, dans cette grande pièce sombre, avec sa lampe de bureau comme seule source de lumière. Dans un état de transe, elle fit pivoter son fauteuil et posa ses mains fines et élégantes sur le pantalon bombé de Romain. Elle leva furtivement les yeux vers ceux de son collègue puis concentra toute son attention sur la bosse qui déformait l'entrejambe de Romain. Délicatement, elle ouvrit la braguette et glissa sa main à l'intérieur. De cette rapide exploration, elle extirpa le membre gonflé et déjà juteux de son partenaire. Ils avaient tellement travaillé ensemble, qu'elle méritait bien (et lui aussi) une récompense.
Achevant de dégrafer le pantalon de Romain, Sabine se retrouva bientôt nez à nez face au membre érigé de son collègue de travail. Un monument dressé en hommage au plaisir ! Tandis que Romain déboutonnait sa chemise, Sabine saisit le pénis gonflé d'une main ferme et commença à caresser doucement les testicules. Elle était hypnotisée, impatiente de goûter à la chair humide de ce sexe masculin mais elle se retenait afin de savourer le spectacle des yeux. Elle entama un mouvement de la main, de haut en bas, en desserrant l'étreinte. Flatté par cette masturbation, le pénis de Romain sembla grossir encore pour atteindre des dimensions capable de combler plus d'une femme. Sabine n'y tient plus et cessa de se contrôler. Elle lécha le monument en commençant par les testicules et en remontant lentement jusqu'au gland rougi de désir. Elle dégustait littéralement, comme une Lolita dégusterait un cornet de crème glacée ... deux boules.
La fellation se fit de plus en plus gourmande, Sabine avalant de plus en plus profondément le sexe devenu juteux à souhait. Pour calmer le jeu, elle revenait de temps en temps à une simple masturbation de la main ou à des petits coups de langue sur les testicules; mais les yeux toujours rivés sur cet organe savoureux. Avant de reprendre goulument le pénis dans sa bouche et sa gorge.
Conscient qu'il ne pourrait subir éternellement ce délicieux supplice sans se transformer en jet de sperme incontrôlé, Romain attrapa Sabine par les épaules, la releva avec force, lui ôta tous les vêtements sans que celle-ci ne lâche l'objet de son désir, toujours chaud et dur dans sa main. Puis, comme pour une démonstration de force, Romain souleva dans les airs la belle Sabine; une façon parmi d'autres de s'envoyer en l'air.
Après l'avoir maintenue un instant entre ciel et terre, Romain déposa Sabine entièrement nue sur le bureau. Tandis qu'elle poussait tous les objets encombrants pour s'y allonger confortablement, Romain posa ses mains sur les genoux de la belle Sabine et lui ouvrit les cuisses. Il colla sa bouche sur le sexe humide et dégusta sa captive avec le bout de la langue. Caresse sur les lèvres pour augmenter son impatience puis enfin, sur le clitoris, pour faire monter son excitation. Du clitoris au vagin, du vagin au clitoris, parfois en glissant jusqu'à l'anus, la caresse linguale de Romain était si intensément vécue que les parois du vagin gonflèrent et que Sabine n'en put plus attendre. Elle voulut sentir le pénis de Romain s'enfoncer en elle ... et il ne la laissa pas très longtemps le supplier.
Quand il l'empala avec son sexe, il crut déflorer une vierge tant elle était serrée (mais abondamment lubrifiée). Et elle eut l'impression d'être totalement possédée, remplie jusqu'à éclater sous la pression interne. Elle le désirait tant qu'elle jouit dès les premiers va-et-vient. Mais elle en voulait encore, et encore, et encore !
Romain et Sabine se déchaînèrent un long moment dans la position du missionnaire, mais les amants ne voulurent pas se contenter de cette classique approche. Prenant l'initiative, Sabine repoussa délicatement Romain en posant ses doigts sur son ventre, se leva du bureau où elle était allongée et lui tourna le dos, provoquante. Elle cramponna ses mains sur le rebord du mobilier tout en se cambrant pour mieux s'offrir au coït. S'il avait été un policier, elle aurait fait une suspect idéale pour la fouille. A cette vue, le collègue se remit au "travail", très émoustillé par la chute de reins de Sabine. Et à chaque coup de butoir, elle se dressait sur la pointe de ses pieds tant Romain s'enfonçait en elle énergiquement, jusqu'à presque la soulever. Une autre façon de l'envoyer en l'air, sans doute.
Tout le stress accumulé depuis des jours et des semaines se déversa dans cette étreinte improvisée, animale. Pour atteindre l'orgasme, Romain n'en oublia pas de flatter encore les seins menus et fermes de Sabine tandis qu'une main s'aventurait entre ses cuisses pour caresser précisément le clitoris gonflé de désir. Ajoutées aux va-et-vient du sexe-piston, ses mains viriles achevèrent de propulser Sabine au septième ciel. Et Romain se déversa en elle en léchant, pardon, en laissant échapper un cri de jouissance. A moins qu'il ne s'agisse d'un cri guerrier, "Roma victor" ?
Références iconographiques et historiques
Depuis le début de la semaine, ils travaillaient d'arrache-pied pour boucler le gros dossier que leur patron leur avait attribué. Malgré leurs efforts, ils n'étaient pas parvenus à avancer suffisamment et c'est ce soir que l'ultime délai arrivait à échéance. Il faudrait travailler jusqu'à tard, très tard !
Les uns après les autres, les collègues de Sabine et Romain quittaient leurs bureaux, exténués, et la grande salle n'était plus éclairée que par quelques tubes de néons et de rares lampes de bureau. Une ambiance tamisée, lourde de fatigue. Un passage par la machine à café s'imposait pour reprendre des forces avant le baroud d'honneur et la victoire : le bouclage du dossier.
Un effet inattendu se fit sentir autour du distributeur de boissons chaudes. Non seulement, cela eut un effet revigorant mais l'ambiance se fit également plus conviviale, plus intime, entre les deux partenaires. Sabine avait abandonné sa veste étriquée et Romain dénoué sa cravate. C'est donc en jupe et chemisier blanc que Sabine regagna sa place suivie de Romain, la veste tenue d'une main par dessus l'épaule et les yeux fixés un peu plus bas, sur les courbes généreuses de sa collègue de travail.
Le dossier n'était cependant pas encore bouclé. Ils reprirent donc leurs efforts. Sabine était assise sur son fauteuil à roulettes, confortable, face à l'ordinateur. Romain faisait de plus en plus les cent pas, réfléchissant à haute voix et se penchant sur le bureau pour trouver les informations dans les papiers dispersés ça et là, ou par dessus l'épaule de Sabine pour admirer la synthèse et la mise en forme qu'elle parvenait à extraire de son flux d'informations.
Il était maintenant très tard. Même la climatisation avait été arrêtée. Sabine et Romain étaient désormais les derniers au bureau et ne comptaient plus leurs heures supplémentaires. Dans un état second, ils arrivaient au bout de leur peine. Les cafés aidant, et sans la climatisation, il faisait de plus en plus chaud. Sabine, sans y prendre garde (ou était-ce volontaire ?), avait en partie déboutonné son chemisier. Romain, penché au-dessus de ses épaules pour lire une dernière fois leur rapport eut soudain les yeux happés par la poitrine visible de sa collègue féminine. Sans presque s'en rendre compte, il glissa sa main dans l'ouverture et posa sa main virile sur la poitrine menue de Sabine. Celle-ci s'abandonna à la caresse tout juste après avoir instinctivement sauvegardé le travail et lancé l'impression du rapport.
Sans échanger le moindre mot, couverts par le seul bruit de l'imprimante et d'un néon clignotant au fond de la grande salle, les deux collègues se laissèrent complètement aller. Les mains de Romain avaient dégrafé le soutien-gorge de Sabine et ouvert totalement le chemisier. Elles empoignaient fermement les petits seins dont les tétons durcissaient sous les caresses. Sabine, les yeux mi-clos respirait de plus en plus lourdement. Elle était maintenant quasiment torse nu, dans cette grande pièce sombre, avec sa lampe de bureau comme seule source de lumière. Dans un état de transe, elle fit pivoter son fauteuil et posa ses mains fines et élégantes sur le pantalon bombé de Romain. Elle leva furtivement les yeux vers ceux de son collègue puis concentra toute son attention sur la bosse qui déformait l'entrejambe de Romain. Délicatement, elle ouvrit la braguette et glissa sa main à l'intérieur. De cette rapide exploration, elle extirpa le membre gonflé et déjà juteux de son partenaire. Ils avaient tellement travaillé ensemble, qu'elle méritait bien (et lui aussi) une récompense.
Achevant de dégrafer le pantalon de Romain, Sabine se retrouva bientôt nez à nez face au membre érigé de son collègue de travail. Un monument dressé en hommage au plaisir ! Tandis que Romain déboutonnait sa chemise, Sabine saisit le pénis gonflé d'une main ferme et commença à caresser doucement les testicules. Elle était hypnotisée, impatiente de goûter à la chair humide de ce sexe masculin mais elle se retenait afin de savourer le spectacle des yeux. Elle entama un mouvement de la main, de haut en bas, en desserrant l'étreinte. Flatté par cette masturbation, le pénis de Romain sembla grossir encore pour atteindre des dimensions capable de combler plus d'une femme. Sabine n'y tient plus et cessa de se contrôler. Elle lécha le monument en commençant par les testicules et en remontant lentement jusqu'au gland rougi de désir. Elle dégustait littéralement, comme une Lolita dégusterait un cornet de crème glacée ... deux boules.
La fellation se fit de plus en plus gourmande, Sabine avalant de plus en plus profondément le sexe devenu juteux à souhait. Pour calmer le jeu, elle revenait de temps en temps à une simple masturbation de la main ou à des petits coups de langue sur les testicules; mais les yeux toujours rivés sur cet organe savoureux. Avant de reprendre goulument le pénis dans sa bouche et sa gorge.
Conscient qu'il ne pourrait subir éternellement ce délicieux supplice sans se transformer en jet de sperme incontrôlé, Romain attrapa Sabine par les épaules, la releva avec force, lui ôta tous les vêtements sans que celle-ci ne lâche l'objet de son désir, toujours chaud et dur dans sa main. Puis, comme pour une démonstration de force, Romain souleva dans les airs la belle Sabine; une façon parmi d'autres de s'envoyer en l'air.
Après l'avoir maintenue un instant entre ciel et terre, Romain déposa Sabine entièrement nue sur le bureau. Tandis qu'elle poussait tous les objets encombrants pour s'y allonger confortablement, Romain posa ses mains sur les genoux de la belle Sabine et lui ouvrit les cuisses. Il colla sa bouche sur le sexe humide et dégusta sa captive avec le bout de la langue. Caresse sur les lèvres pour augmenter son impatience puis enfin, sur le clitoris, pour faire monter son excitation. Du clitoris au vagin, du vagin au clitoris, parfois en glissant jusqu'à l'anus, la caresse linguale de Romain était si intensément vécue que les parois du vagin gonflèrent et que Sabine n'en put plus attendre. Elle voulut sentir le pénis de Romain s'enfoncer en elle ... et il ne la laissa pas très longtemps le supplier.
Quand il l'empala avec son sexe, il crut déflorer une vierge tant elle était serrée (mais abondamment lubrifiée). Et elle eut l'impression d'être totalement possédée, remplie jusqu'à éclater sous la pression interne. Elle le désirait tant qu'elle jouit dès les premiers va-et-vient. Mais elle en voulait encore, et encore, et encore !
Romain et Sabine se déchaînèrent un long moment dans la position du missionnaire, mais les amants ne voulurent pas se contenter de cette classique approche. Prenant l'initiative, Sabine repoussa délicatement Romain en posant ses doigts sur son ventre, se leva du bureau où elle était allongée et lui tourna le dos, provoquante. Elle cramponna ses mains sur le rebord du mobilier tout en se cambrant pour mieux s'offrir au coït. S'il avait été un policier, elle aurait fait une suspect idéale pour la fouille. A cette vue, le collègue se remit au "travail", très émoustillé par la chute de reins de Sabine. Et à chaque coup de butoir, elle se dressait sur la pointe de ses pieds tant Romain s'enfonçait en elle énergiquement, jusqu'à presque la soulever. Une autre façon de l'envoyer en l'air, sans doute.
Tout le stress accumulé depuis des jours et des semaines se déversa dans cette étreinte improvisée, animale. Pour atteindre l'orgasme, Romain n'en oublia pas de flatter encore les seins menus et fermes de Sabine tandis qu'une main s'aventurait entre ses cuisses pour caresser précisément le clitoris gonflé de désir. Ajoutées aux va-et-vient du sexe-piston, ses mains viriles achevèrent de propulser Sabine au septième ciel. Et Romain se déversa en elle en léchant, pardon, en laissant échapper un cri de jouissance. A moins qu'il ne s'agisse d'un cri guerrier, "Roma victor" ?
Références iconographiques et historiques
jeudi 16 avril 2015
Qui est Priape ?
Dans la mythologie grecque, Priape (en grec ancien Πρίαπος / Príapos) est un dieu de la fertilité, c'est un dieu ithyphallique, protecteur des jardins et des troupeaux. Son équivalent dans la mythologie romaine se nomme en réalité Mutunus Tutunus, bien qu'il soit souvent cité sous le nom Priape. On reconnaît Priape par son gigantesque pénis constamment en érection. Cette particularité a donné son nom au terme médical priapisme.
Il naît à Lampsaque, sur l'Hellespont, en Asie Mineure. Il est le fils de Dionysos et d'Aphrodite (certaines traditions lui donnent plutôt Hermès ou Adonis, voire Zeus pour père). D'autres auteurs, le vieillissant de plusieurs générations, voient en lui un Titan auquel Héra aurait confié le soin d'enseigner le maniement des armes à Arès. Priape est l'obscénité incarnée. Cette difformité serait due à la malveillance d'Héra, jalouse de la beauté d'Aphrodite.
Nous possédons au sujet de la naissance de Priape plusieurs mythes qui ne sont probablement que des variantes d'une tradition unique. D'après celle-ci, le dieu aurait été le fruit des amours de Zeus et d'Aphrodite. La déesse de l'amour n'aurait pas échappé à la jalousie vindicative d'Héra. Quand Aphrodite fut sur le point de déposer son fardeau, l'épouse légitime de Zeus accourut auprès d'elle et lui posa la main sur le ventre. Il en résulta qu'Aphrodite mit au monde un être d'un aspect repoussant, avec une langue et un ventre énormes. Saisie d'horreur, la déesse s'enfuit, abandonnant le nouveau-né, qui fut recueilli et élevé par des bergers appréciant sa rusticité, avant de rejoindre plus tard le cortège de Dionysos.
Une autre version fait de Priape le fils de Dionysos et d'Aphrodite, tandis qu'une tradition différente lui donne pour père Adonis. D'après cette légende, Aphrodite, épouse de Dionysos, aurait profité du voyage de celui-ci en Inde, pour entretenir des relations coupables avec Adonis. Au moment du retour de Dionysos, après lui avoir fait d'abord l'accueil le plus empressé, Aphrodite s'enfuit à Lampsaque où, par suite de l'intervention d'Héra, elle donne le jour à un enfant dont elle ne peut supporter la vue. Enfin, on disait encore que Priape était le fils de Dionysos et de la Naïade Chioné.
Il déteste les ânes et demande qu'on lui en sacrifie un pour son culte. Son aversion pour cet animal viendrait du fait qu'une nuit où il allait, selon Ovide, violer Hestia, la déesse fut avertie par le braiment de l'un d'entre eux et put ainsi échapper aux ardeurs de Priape. Cette aventure se confond avec celle mise en circulation à une époque assez tardive qui raconte une relation que le dieu eut avec la nymphe Lotis, toujours d'après Ovide (Métamorphoses et Fastes), et qui rappelle la légende de Pan et de Syrinx. Au moment où Priape croit avoir atteint son but, Lotis est métamorphosée en l'arbre qui porte son nom, le lotus. On racontait aussi que l'entreprise du dieu n'avait échoué que parce qu'à l'instant où il allait violenter la nymphe endormie, l'âne de Silène s'était mis à braire, ce qui avait permis à Lotis de s'enfuir. De colère, Priape tua l'animal qui avait contrarié ses projets.
Une explication différente est donnée de sa haine pour ces équidés : elle a pour origine une querelle avec un âne que Dionysos a doté de la parole pour lui avoir servi de monture. La cause en est la taille respective de leur membre viril. Priape comparera son organe sexuel à celui de l'animal et tuera ce dernier après avoir constaté la dimension de ses attributs.
Le dieu des jardins avait tué l'âne que Dionysos plaça parmi les astres. Il est difficile de comprendre quelle est la base de ce mythe. On sait seulement qu'à Lampsaque on sacrifiait des ânes à Priape, alors que pour la fête d'Hestia, en revanche, les ânes étaient couronnés de fleurs.
Cette figure mythologique a inspiré, à l'auteur français de bande dessinée Moebius, l'un de ses plus truculents personnages : le bandard fou !
lundi 30 mars 2015
Jamais deux sans trois
Fanny était toute excitée à l'annonce que son patron venait de lui faire. L'égérie de la marque de cosmétiques, dont sa société était la distributrice exclusive dans la région, allait bientôt être invitée pour une tournée promotionnelle et c'est elle qui serait sa chaperonne.
Fanny était une grande admiratrice d'Eva , alors, la côtoyer de près quelques jours seulement la remplissait déjà d'émoi. L'actrice américaine était une beauté latine qui faisait non seulement chavirer la plupart des hommes mais qui titillait aussi les fantasmes sapphiques de Fanny. Fort heureusement, le professionnalisme d'acheteuse et le respect qu'elle éprouvait pour son idole l'obligeraient à garder le contrôle.
Les modalités du séjour furent négociées entre le patron de la société, la marque internationale et l'agent de l'actrice. Quelques temps plus tard, l'actrice américaine fut accueillie en VIP et à grand renfort de couverture médiatique; publicité oblige. Fanny fut présentée à Eva et une certaine sympathie sembla se dessiner dans les échanges de regard. Ce sentiment se renforça durant le reste du séjour bien que le patron fut présent la plupart du temps; d'une part pour s'assurer que son investissement serait rentable à la société et d'autre part parce qu'il n'était pas insensible aux charmes de la belle américaine. Une attraction qui n'était pas réciproque. Mais en grande professionnelle, Eva demeurait très séduisante tout en affichant une distance qu'il ne serait pas possible de franchir sans son accord.
Pour sa part, Fanny était de plus en plus troublée, prête à mettre un grand coup de canif dans son hétérosexualité jamais ébranlée. Néanmoins, elle se montrait discrète et toujours aussi prévenante pour exaucer les moindres désirs de son invitée de marque.
La fin du séjour était désormais imminente et la complicité entre les deux femmes avait dépassé le strict cadre professionnel. Ce soir-là, c'était enfin l'unique moment de liberté pour Eva avant de reprendre ses obligations et l'avion qui la ramènerait sur un autre continent, pour une autre campagne promotionnelle. Elle s'adressa en anglais à sa guide locale :
"- Fanny, sortons ensemble, ce soir . J'ai envie de me défouler."
S'exécutant avec plaisir, Fanny récupéra la star à son hôtel de luxe à l'heure convenue. Eva était presque méconnaissable. Sans maquillage et avec une coiffure différente, elle était toujours aussi attirante mais sans qu'on puisse immédiatement l'associer à son image de papier glacé. Ce relatif anonymat lui offrait une liberté d'action dont elle avait bien l'intention de jouir. Cette excitation était palpable et partagée par les deux femmes.
Fanny conduisit Eva jusqu'à un bar musical à la mode, dans la station balnéaire toute proche de l'hôtel. L'ambiance était déjà caliente car, comme à son habitude, les clients se serraient dans ce lieu de débauche. Gesticulant, dansant et se frottant, dans une atmosphère saturée de musique entraînante et de lumières enivrantes, les clients de ce bar entraient rapidement en transe. Les deux femmes prirent toutefois le temps de déguster une coupe de champagne avant de se glisser à leur tour dans la foule et de se laisser emporter par la ferveur populaire.
La musique battait son plein, se mêlant aux rires et aux chants. Les corps se frottaient et certaines mains se montraient baladeuses. Soudain, Fanny sentit quelqu'un la saisir par la taille et un homme (aucun doute n'était permis tant son érection était sensible) coller son bassin à elle. Euphorisée par le champagne autant que par l'ambiance, elle se surprit non seulement à ne pas se débattre pour échapper à cette emprise mais en plus à accompagner le mouvement très suggestif de son partenaire improvisé. Avant même qu'elle se retourne pour voir le visage de l'impertinent, celui-ci lui sussura d'une voix chaude :
"- Bonsoir ma Vénus callipyge !".
Fanny reconnut immédiatement la voix d'une vieille connaissance. Elle lui lanca un regard complice tout en se cambrant pour onduler et masser, à travers le tissu de leurs vêtements, le membre déjà gonflé de ce bel étalon.
"Tu sais parler aux femmes ...", répondit Fanny dans un soupir, sans s'arrêter de bouger.
Eva remarqua le manège et la proximité complice des corps fiévreux. Elle s'adressa à Fanny d'un ton complice:
"- Pas mal !"
- Et c'est un bon coup", ne put s'empêcher de préciser Fanny, grivoise.
- On partage ?" demanda Eva avec gourmandise.
Fanny répondit positivement avec un sourire complice et Eva se lova contre elle comme une chatte en chaleur. Les trois corps étaient désormais collés les uns aux autres, ou plus précisément Eva et Fanny face à face, tandis que l'étalon se trémoussait dans le (bas du) dos de Fanny.
Passablement éméché ou tout simplement émoustillé par la proximité sensuelle des deux beautés, l'homme parla sans aucune inhibition et osa un torride :
"- Embrassez-vous, les filles !"
Amusées, et elles aussi un brin alcoolisées, les deux jeunes femmes décidèrent d'obéir aux directives de leur "scénariste" improvisé.
Elles échangèrent un baiser volcanique devant les yeux exorbités de l'homme. Il sembla soudainement perdre son self-contrôle, tel un baril de testostérone prêt à exploser.
Sans se quitter des yeux, les lèvres encore humides, et sans se consulter davantage, Fanny et Eva prirent chacune une main de l'homme hypnotisé et le conduisirent à travers la foule jusqu'aux toilettes de l'établissement où elles s'enfermèrent. La cabine était étroite, surtout à trois, mais la pièce en possédait plusieurs et la musique couvrirait de toute façon leurs ébats. Elles étaient tranquilles un bon moment pour déguster leur proie.
Eva colla son torse à l'étalon et l'embrassa aussi fiévreusement qu'elle l'avait fait avec Fanny. Pendant ce temps, celle-ci s'accroupit et déboutonna le pantalon pour libérer le sexe tendu qui se redressa brutalement et surgit comme un diable sortant de sa boîte. Fanny commença la dégustation sous les yeux pétillants d'Eva qui caressait en même temps le torse de l'homme. Eva se mordillait la lèvre inférieure en profitant du spectacle de cette fellation; une fellation experte ! Au bout de quelques instants, Fanny, généreusement, invita Eva à la rejoindre. Eva prit le gland gonflé dans sa bouche charnue tandis que Fanny s'attardait sur les testicules rasées de son complice occasionnel. La double fellation et les caresses des mains durèrent délicieusement et durcirent le pénis à tel point qu'on voyait toutes ses veines saillantes comme si elles allaient éclater ...
C'est Eva qui prit l'initiative de faire une pause. Et elle ajouta immédiatement :
"- Allons dans ma chambre d'hôtel. Ce sera plus confortable."
Ses deux compagnons de jeu (de feu) s'exécutèrent sans ajouter un mot. Le temps de se rhabiller grossièrement et le trio était déjà dans la voiture.
Fanny conduisit en état de transe tandis qu'Eva et le mâle-objet continuaient leurs embrassades et jeux érotiques sur la banquette arrière.
"- Hé ! Ne m'oubliez pas !", gémit Fanny réduite au rôle frustrant de chauffeur.
Mais Eva ne répondit pas. On ne parle pas la bouche pleine ; d'ailleurs, elle aurait presque pu s'étouffer tant elle enfonçait le pénis de son partenaire au fond de sa gorge.
Heureusement pour Fanny, l'hôtel était tout proche. Elle arracha les deux passagers à leur préliminaires égoïstes et ensemble, ils s'engouffrèrent dans l'ascenseur où Fanny rattrapa le temps perdu tandis qu'Eva, cette fois, dut se contenter des lèvres de l'homme. Ce qui ne lui déplut pas, pour être honnête.
Lorsque le trio entra dans la luxueuse suite d'Eva, il ne fallut que quelques secondes pour que les vêtements volent dans toutes les directions. L'homme, aux anges, fut dévêtu par quatre mains impatientes sans qu'il puisse esquisser le moindre geste. Les deux femmes, voraces, le traînèrent presque, jusqu'à la salle de bain, semant ça et là leurs propres vêtements et sous-vêtements. Priape se retrouva sous la douche avec deux succubes avides de le nettoyer pour mieux le dévorer.
Les mains savonneuses caressèrent de haut en bas et de bas en haut chaque parcelle des trois corps. Les langues se mêlèrent, les mains glissèrent sur les seins, les fesses, les ventres, les sexes, les doigts se glissèrent dans tous les orifices ... Quand deux amants s'embrassaient, le troisième s'accroupissait pour prodiguer un cunnilingus ou une fellation. Mais aucun des trois lubriques n'avait l'intention de passer la nuit sous la douche.
Une fois débarrassé des effluves nocturnes du bar musical, le trio s'affala sur le lit immense où Eva les invitait à rompre la solitude très professionnelle de son séjour promotionnel.
Priape plongea sa tête entre les cuisses ouvertes d'Eva et se mit à caresser son clitoris avec une extrême sensualité. Eva réclama en haletant la bouche de Fanny pour compléter les caresses linguales. Quand Priape décida qu'il était temps de pénétrer Eva, Fanny offrit ses autres lèvres, celles de son sexe, à la gourmande Eva. Le trio était ainsi emboîté, Priape entre les jambes d'Eva et le visage d'Eva entre celles de Fanny. Au terme d'un prodigieux coït, Priape jouit dans Eva alors qu'il était en train de prodiguer un anulingus à Fanny, doublement honorée et caressée par les langues de ses partenaires. Son orgasme fut ressenti par les deux femmes ... mais qui voulurent s'assurer qu'il ne baisserait pas la garde. Ensemble, elles redonnèrent de la vigueur à son sexe avec leurs bouches insatiables puis, partageuse, Eva empoigna le sexe de leur amant commun et le guida jusqu'aux formes rebondies de son amie callipyge. Fanny attendait la saillie avec tellement d'impatience ! Elle se mit à quatre pattes, offerte, les deux orifices tellement lubrifiés qu'Eva marqua un moment d'hésitation. Le pénis gonflé de l'étalon toujours dans sa main, Eva décida que leur nuit ne pouvait aller que crescendo, alors, sans prévenir Fanny-aux-belles-fesses, c'est justement entre les fesses qu'elle dirigea l'étalon. Fanny laissa échapper un râle où douleur, surprise et plaisir intense se mêlèrent quelques instants avant que la jouissance ne l'emporte. Eva vint s'assoir en tailleur face à Fanny et l'embrassa durant toute la saillie que lui fit subir leur amant déchaîné. D'un ultime coup de reins, Priape propulsa Fanny en avant qui abandonna sa position à quatre pattes pour plonger dans les bras d'Eva. Les deux belles s'étreignirent sous les yeux révulsés de leur amant. Et comme elles continuaient à s'embrasser, celui-ci profita de la rigidité toujours présente de son sexe pour honorer encore les deux grâces passant de l'une à l'autre, d'un sexe à l'autre, pour le plus grand plaisir de ces dames.
Leurs ébats continuèrent la nuit durant, bien au-delà de l'épuisement de l'étalon. Eva et Fanny ne s'oublieraient pas pas de sitôt !
Quelques statues pour décorer le grand jardin de la propriété hollywoodienne de la star. Clin d'oeil et souvenirs ...
Fanny était une grande admiratrice d'Eva , alors, la côtoyer de près quelques jours seulement la remplissait déjà d'émoi. L'actrice américaine était une beauté latine qui faisait non seulement chavirer la plupart des hommes mais qui titillait aussi les fantasmes sapphiques de Fanny. Fort heureusement, le professionnalisme d'acheteuse et le respect qu'elle éprouvait pour son idole l'obligeraient à garder le contrôle.
Les modalités du séjour furent négociées entre le patron de la société, la marque internationale et l'agent de l'actrice. Quelques temps plus tard, l'actrice américaine fut accueillie en VIP et à grand renfort de couverture médiatique; publicité oblige. Fanny fut présentée à Eva et une certaine sympathie sembla se dessiner dans les échanges de regard. Ce sentiment se renforça durant le reste du séjour bien que le patron fut présent la plupart du temps; d'une part pour s'assurer que son investissement serait rentable à la société et d'autre part parce qu'il n'était pas insensible aux charmes de la belle américaine. Une attraction qui n'était pas réciproque. Mais en grande professionnelle, Eva demeurait très séduisante tout en affichant une distance qu'il ne serait pas possible de franchir sans son accord.
Pour sa part, Fanny était de plus en plus troublée, prête à mettre un grand coup de canif dans son hétérosexualité jamais ébranlée. Néanmoins, elle se montrait discrète et toujours aussi prévenante pour exaucer les moindres désirs de son invitée de marque.
La fin du séjour était désormais imminente et la complicité entre les deux femmes avait dépassé le strict cadre professionnel. Ce soir-là, c'était enfin l'unique moment de liberté pour Eva avant de reprendre ses obligations et l'avion qui la ramènerait sur un autre continent, pour une autre campagne promotionnelle. Elle s'adressa en anglais à sa guide locale :
"- Fanny, sortons ensemble, ce soir . J'ai envie de me défouler."
S'exécutant avec plaisir, Fanny récupéra la star à son hôtel de luxe à l'heure convenue. Eva était presque méconnaissable. Sans maquillage et avec une coiffure différente, elle était toujours aussi attirante mais sans qu'on puisse immédiatement l'associer à son image de papier glacé. Ce relatif anonymat lui offrait une liberté d'action dont elle avait bien l'intention de jouir. Cette excitation était palpable et partagée par les deux femmes.
Fanny conduisit Eva jusqu'à un bar musical à la mode, dans la station balnéaire toute proche de l'hôtel. L'ambiance était déjà caliente car, comme à son habitude, les clients se serraient dans ce lieu de débauche. Gesticulant, dansant et se frottant, dans une atmosphère saturée de musique entraînante et de lumières enivrantes, les clients de ce bar entraient rapidement en transe. Les deux femmes prirent toutefois le temps de déguster une coupe de champagne avant de se glisser à leur tour dans la foule et de se laisser emporter par la ferveur populaire.
La musique battait son plein, se mêlant aux rires et aux chants. Les corps se frottaient et certaines mains se montraient baladeuses. Soudain, Fanny sentit quelqu'un la saisir par la taille et un homme (aucun doute n'était permis tant son érection était sensible) coller son bassin à elle. Euphorisée par le champagne autant que par l'ambiance, elle se surprit non seulement à ne pas se débattre pour échapper à cette emprise mais en plus à accompagner le mouvement très suggestif de son partenaire improvisé. Avant même qu'elle se retourne pour voir le visage de l'impertinent, celui-ci lui sussura d'une voix chaude :
"- Bonsoir ma Vénus callipyge !".
Fanny reconnut immédiatement la voix d'une vieille connaissance. Elle lui lanca un regard complice tout en se cambrant pour onduler et masser, à travers le tissu de leurs vêtements, le membre déjà gonflé de ce bel étalon.
"Tu sais parler aux femmes ...", répondit Fanny dans un soupir, sans s'arrêter de bouger.
Eva remarqua le manège et la proximité complice des corps fiévreux. Elle s'adressa à Fanny d'un ton complice:
"- Pas mal !"
- Et c'est un bon coup", ne put s'empêcher de préciser Fanny, grivoise.
- On partage ?" demanda Eva avec gourmandise.
Fanny répondit positivement avec un sourire complice et Eva se lova contre elle comme une chatte en chaleur. Les trois corps étaient désormais collés les uns aux autres, ou plus précisément Eva et Fanny face à face, tandis que l'étalon se trémoussait dans le (bas du) dos de Fanny.
Passablement éméché ou tout simplement émoustillé par la proximité sensuelle des deux beautés, l'homme parla sans aucune inhibition et osa un torride :
"- Embrassez-vous, les filles !"
Amusées, et elles aussi un brin alcoolisées, les deux jeunes femmes décidèrent d'obéir aux directives de leur "scénariste" improvisé.
Elles échangèrent un baiser volcanique devant les yeux exorbités de l'homme. Il sembla soudainement perdre son self-contrôle, tel un baril de testostérone prêt à exploser.
Sans se quitter des yeux, les lèvres encore humides, et sans se consulter davantage, Fanny et Eva prirent chacune une main de l'homme hypnotisé et le conduisirent à travers la foule jusqu'aux toilettes de l'établissement où elles s'enfermèrent. La cabine était étroite, surtout à trois, mais la pièce en possédait plusieurs et la musique couvrirait de toute façon leurs ébats. Elles étaient tranquilles un bon moment pour déguster leur proie.
Eva colla son torse à l'étalon et l'embrassa aussi fiévreusement qu'elle l'avait fait avec Fanny. Pendant ce temps, celle-ci s'accroupit et déboutonna le pantalon pour libérer le sexe tendu qui se redressa brutalement et surgit comme un diable sortant de sa boîte. Fanny commença la dégustation sous les yeux pétillants d'Eva qui caressait en même temps le torse de l'homme. Eva se mordillait la lèvre inférieure en profitant du spectacle de cette fellation; une fellation experte ! Au bout de quelques instants, Fanny, généreusement, invita Eva à la rejoindre. Eva prit le gland gonflé dans sa bouche charnue tandis que Fanny s'attardait sur les testicules rasées de son complice occasionnel. La double fellation et les caresses des mains durèrent délicieusement et durcirent le pénis à tel point qu'on voyait toutes ses veines saillantes comme si elles allaient éclater ...
C'est Eva qui prit l'initiative de faire une pause. Et elle ajouta immédiatement :
"- Allons dans ma chambre d'hôtel. Ce sera plus confortable."
Ses deux compagnons de jeu (de feu) s'exécutèrent sans ajouter un mot. Le temps de se rhabiller grossièrement et le trio était déjà dans la voiture.
Fanny conduisit en état de transe tandis qu'Eva et le mâle-objet continuaient leurs embrassades et jeux érotiques sur la banquette arrière.
"- Hé ! Ne m'oubliez pas !", gémit Fanny réduite au rôle frustrant de chauffeur.
Mais Eva ne répondit pas. On ne parle pas la bouche pleine ; d'ailleurs, elle aurait presque pu s'étouffer tant elle enfonçait le pénis de son partenaire au fond de sa gorge.
Heureusement pour Fanny, l'hôtel était tout proche. Elle arracha les deux passagers à leur préliminaires égoïstes et ensemble, ils s'engouffrèrent dans l'ascenseur où Fanny rattrapa le temps perdu tandis qu'Eva, cette fois, dut se contenter des lèvres de l'homme. Ce qui ne lui déplut pas, pour être honnête.
Lorsque le trio entra dans la luxueuse suite d'Eva, il ne fallut que quelques secondes pour que les vêtements volent dans toutes les directions. L'homme, aux anges, fut dévêtu par quatre mains impatientes sans qu'il puisse esquisser le moindre geste. Les deux femmes, voraces, le traînèrent presque, jusqu'à la salle de bain, semant ça et là leurs propres vêtements et sous-vêtements. Priape se retrouva sous la douche avec deux succubes avides de le nettoyer pour mieux le dévorer.
Les mains savonneuses caressèrent de haut en bas et de bas en haut chaque parcelle des trois corps. Les langues se mêlèrent, les mains glissèrent sur les seins, les fesses, les ventres, les sexes, les doigts se glissèrent dans tous les orifices ... Quand deux amants s'embrassaient, le troisième s'accroupissait pour prodiguer un cunnilingus ou une fellation. Mais aucun des trois lubriques n'avait l'intention de passer la nuit sous la douche.
Une fois débarrassé des effluves nocturnes du bar musical, le trio s'affala sur le lit immense où Eva les invitait à rompre la solitude très professionnelle de son séjour promotionnel.
Priape plongea sa tête entre les cuisses ouvertes d'Eva et se mit à caresser son clitoris avec une extrême sensualité. Eva réclama en haletant la bouche de Fanny pour compléter les caresses linguales. Quand Priape décida qu'il était temps de pénétrer Eva, Fanny offrit ses autres lèvres, celles de son sexe, à la gourmande Eva. Le trio était ainsi emboîté, Priape entre les jambes d'Eva et le visage d'Eva entre celles de Fanny. Au terme d'un prodigieux coït, Priape jouit dans Eva alors qu'il était en train de prodiguer un anulingus à Fanny, doublement honorée et caressée par les langues de ses partenaires. Son orgasme fut ressenti par les deux femmes ... mais qui voulurent s'assurer qu'il ne baisserait pas la garde. Ensemble, elles redonnèrent de la vigueur à son sexe avec leurs bouches insatiables puis, partageuse, Eva empoigna le sexe de leur amant commun et le guida jusqu'aux formes rebondies de son amie callipyge. Fanny attendait la saillie avec tellement d'impatience ! Elle se mit à quatre pattes, offerte, les deux orifices tellement lubrifiés qu'Eva marqua un moment d'hésitation. Le pénis gonflé de l'étalon toujours dans sa main, Eva décida que leur nuit ne pouvait aller que crescendo, alors, sans prévenir Fanny-aux-belles-fesses, c'est justement entre les fesses qu'elle dirigea l'étalon. Fanny laissa échapper un râle où douleur, surprise et plaisir intense se mêlèrent quelques instants avant que la jouissance ne l'emporte. Eva vint s'assoir en tailleur face à Fanny et l'embrassa durant toute la saillie que lui fit subir leur amant déchaîné. D'un ultime coup de reins, Priape propulsa Fanny en avant qui abandonna sa position à quatre pattes pour plonger dans les bras d'Eva. Les deux belles s'étreignirent sous les yeux révulsés de leur amant. Et comme elles continuaient à s'embrasser, celui-ci profita de la rigidité toujours présente de son sexe pour honorer encore les deux grâces passant de l'une à l'autre, d'un sexe à l'autre, pour le plus grand plaisir de ces dames.
Leurs ébats continuèrent la nuit durant, bien au-delà de l'épuisement de l'étalon. Eva et Fanny ne s'oublieraient pas pas de sitôt !
Quelques statues pour décorer le grand jardin de la propriété hollywoodienne de la star. Clin d'oeil et souvenirs ...
mercredi 18 mars 2015
Visite de fond en comble
L'agent immobilier attendait nerveusement dans hall du One Madison, le nouveau gratte-ciel bâti en plein cœur de Manhattan. Ses clients n'étaient vraiment pas ponctuels mais Monsieur et Madame Héphaïstos, faisaient partie de ces grandes fortunes dont il faut savoir accepter les moindres caprices. On disait que Monsieur avait fait fortune dans la métallurgie et la joaillerie, dans son pays natal, la Grèce, puis que son empire industriel s'était étendu sur plusieurs continents, l'Europe d'abord et aujourd'hui l'Amérique.
Le regard du commercial balayait la grande salle et il admira au passage les larges canapés disposés autour de tables basses, le haut plafond avec des lustres incroyablement scintillants, le comptoir d'accueil en bois exotique vernis et son personnel en uniforme impeccable ; et il en profita pour réajuster son propre badge accroché à la boutonnière de sa veste. Il indiquait son nom, Lares, et affichait le logo de sa société immobilière pour être identifié par ses clients.
Soudain, son regard fut captivé par une silhouette en contre-jour qui franchissait la grande porte tournante. Il distingua une femme en tailleur noir, jupe près du corps et courte veste cintrée, mais fut trop ébloui par la lumière extérieure pour apprécier plus de détails. Heureusement pour sa curiosité très masculine, elle obliqua vers la droite et Lares put la fixer tandis qu'elle se dirigeait vers le comptoir pour demander un renseignement. Il fut hypnotisé pendant quelques secondes par le croisement, décroisement de ses jambes, telles des ciseaux dressés glissant sur le marbre du hall. Lares eut juste le temps d'admirer béatement les longues jambes de l'apparition et sa chevelure noire qui tombait en cascade sur ses épaules quand il se rendit compte que le steewart, à l'accueil, faisait un signe dans sa direction. Oh ! C'était visiblement la cliente, Madame Héphaïstos !
Pris au dépourvu, Lares saisit maladroitement son attaché-case et se leva précipitamment pour accueillir son rendez-vous. En se dirigeant vers elle, il découvrit son visage, le fruit d'un métissage indéfinissable. Le visage rond et les yeux en amande évoquaient l'Asie, l'Extrême-Orient, les longs cheveux noirs et la peau hâlée plutôt l'Inde, mais les jambes et la cambrure, indiscutablement l'Afrique. Hélas, les quelques mètres les séparant furent rapidement franchis et une ferme poignée de main ainsi qu'un sobre et distant "Madame Héphaïstos." sortirent brutalement Lares de sa rêverie.
Une fois les civilités échangées, l'agent immobilier pria Mme Héphaïstos de le suivre vers la porte d'ascenseur qui les mènerait à l'appartement, objet du rendez-vous.
La cabine monta à grande vitesse le long d'un large tube de plexiglas avec son armature métallique très moderne. La ville grouillante s'éloigna au fur et à mesure de leur ascension. Madame Héphaïstos se tourna pour admirer le spectacle, la taille des véhicules et passants diminuant tandis qu'elle se rapprochait des cieux. Les yeux de Lares en profitèrent eux pour admirer un autre spectacle tout aussi vertigineux : la chute de reins de sa cliente. La jupe noire était fendue à l'arrière et collait vraiment à la superbe anatomie de sa propriétaire. Une fois de plus absorbé, Lares se laissa surprendre lorsqu'elle se retourna sans prévenir. Elle portait de larges lunettes de soleil aux verres fumés et il ne put lire son expression (de reproche peut-être) mais il lui sembla qu'un sourire en coin avait été esquissé.
Mieux valait oublier et se reconcentrer sur le travail.
Lares bafouilla quelques données techniques sur l'immeuble, les matériaux utilisés, la date de construction, l'altitude et autres données techniques mais Mme Héphaïstos le coupa tout net.
"Mon mari se fie à mon goût. Et moi, je préfère essayer la marchandise plutôt que de parler dans le vide. Nous verrons une fois sur place."
Le reste de l'ascension se fit dans un échange supplémentaire, sur un air de musique classique ; ambiance typique de ces lieux exigus. Mme Héphaïstos, le regard dissimulé par ses lunettes de soleil lui faisait face et malgré son ton glacial, Lares avait de plus en plus chaud.
Un tintement sonore leur signala que l'ascenseur public était arrivé au dernier étage autorisé. Au-delà, il fallait utiliser une carte magnétique pour entrer dans l'appartement de très grand luxe situé au sommet du gratte-ciel.
Ils débouchèrent dans une vaste pièce, un loft, de près de 200 m². Un étage entier composé d'espaces de vie, tel que salon, cuisine américaine, accès à une non moins vaste terrasse, avec de très grandes ouvertures vitrées, dotées de rideaux opacifiants sur commande.
Madame Héphaïstos arpenta la grande pièce sous les yeux de Lares qui nota qu'elle effleurait les meubles, laissant glisser sa main pour mieux s'imprégner des matières. Très tactile.
Puis elle désira admirer le paysage depuis la terrasse. Lares ouvrit une baie vitrée, tout en précisant que l'intensité de la lumière dans l'appartement pouvait être modulée par simple claquement de main. Sa cliente essaya et instantanément, la lumière se fit tamisée. "Amusant !", dit-elle en lâchant son premier sourire depuis son arrivée. Lares ne put qu'être séduit par l'éclat de ses dents souligné par un rouge à lèvre personnalisé, l'ensemble d'une grande sensualité.
Elle sortit sur la terrasse et respira à pleins poumons l'air vivifiant de cette relative altitude (plus de vingt étages). La riche, très riche cliente, arpenta la terrasse telle une habituée des podiums de haute couture puis s'appuya à la rambarde et se pencha légèrement en avant pour admirer la hauteur et le panorama. Ce faisant, elle cambra son dos ce qui ne manqua pas de provoquer une accélération du rythme cardiaque de l'agent immobilier.
Au bout de quelques minutes exposée à la fraîcheur de la terrasse, Madame Héphaïstos, suivie de Lares, retourna à l'intérieur. "Finalement, il fait chaud à l'intérieur.", indiqua-t-elle en ôtant sa courte veste qu'elle posa négligemment sur un des canapés du loft. Sous cette veste, elle ne portait qu'un haut noir transparent sans soutien-gorge. Sa poitrine menue et durcie par l'air vivifiant de la terrasse était désormais exposée au regard de Lares qui bouillait sans oser commettre le moindre geste, ou même regard, qui pourrait compromettre la vente d'un appartement de si grande valeur.
"Montrez-moi les étages." ordonna-t-elle à son guide.
"Voulez-vous vous y rendre en ascenseur ou emprunter l'escalier intérieur ?", demanda poliment Lares.
"L'escalier !".
Et elle se dirigea conquérante vers la structure de bois et d'acier qui trônait au centre de la vaste pièce.
Au beau milieu de l'escalier, alors qu'elle devançait Lares de quelques marches, Madame Héphaïstos, devenue très taquine, s'arrêta si brusquement que l'agent immobilier n'eut pas le temps d'interrompre sa propre avancée. Le visage de l'homme heurta de plein fouet la partie la plus charnue de son anatomie ! Complètement troublé par la situation, il ne put récupérer son équilibre qu'en la saisissant par la taille ... et elle en profita pour lui saisir fermement les mains afin qu'elles restent accrochées autour d'elle. Ensuite, féline, elle reprit son ascension, lentement, très lentement, en continuant à l'aguicher du regard.
Arrivée à l'étage supérieur, celui des chambres, elle s'arrêta à nouveau alors qu'il était encore légèrement en contre-bas dans l'escalier. Là, enfin, Lares osa prendre l'initiative. Il ouvrit la fermeture-éclair de la jupe de sa cliente, fit lentement glisser la jupe jusqu'aux chevilles et découvrit un affriolant bunda de soie qui mettait ses superbes fesses en valeur. Sans dire un mot, mais avec un regard hautement significatif, elle creusa ses reins et s'offrit à la caresse que l'homme en costume allait lui prodiguer.
Lares commença par poser ses lèvres sur les fesses rebondies de sa riche cliente, puis il posa sa bouche sur le mince sous-vêtement de soie. C'était la dernière barrière entre sa langue exploratrice et les zones les plus intimes et les plus sensibles de Madame Héphaïstos. L'homme surexcité ne put se contenir très longtemps, trop avide de goûter aux lèvres déjà humides de sa consentante proie. Il saisit le bunda et le fit glisser tout au bas des longues jambes de cette superbe créature qui s'offrait désormais complètement à lui. Une fois qu'elle fut toute nue, à l'exception de ses fines chaussures à talons (elle s'était débarrassée de son haut noir transparent tandis qu'il lui ôtait son sous-vêtement), il commença à la lécher, lentement, suavement, goulument, insatiablement ! Plus la langue de Lares léchait son sexe, plus Madame Héphaïstos se cambrait, s'ouvrait, ronronnait de plaisir. Le cunnilingus se prolongea un long et très bon moment, avec Lares toujours dans l'escalier et toujours en costume trois pièces. L'appétit de Madame était désormais enflammé.
Elle avança de quelques centimètres pour se retrouver hors de portée de la langue qui venait de l'exciter comme une folle et elle reprit la conversation comme si la visite continuait normalement :
"Je vois que cet étage possède une cinémathèque et une bibliothèque. Fort bien. Mais où sont les chambres ?"
"A l'étage juste au-dessus ..." répondit abasourdi l'agent immobilier.
Elle le devança encore et, tout en essayant de suivre le rythme, Lares posa son attaché-case sur le palier, puis sa veste dans l'escalier, dénoua sa cravate en arrivant sur le palier supérieur et, il était en train de déboutonner sa chemise lorsqu'il la retrouva enfin. Elle s'était assise sur un coin du grand, très grand lit qui trônait au centre de la plus vaste chambre. Elle lui fit un signe de la main pour l'inviter à la rejoindre et dès qu'il fut à portée de ses mains, elle le saisit par le bassin, défit la boucle de sa ceinture et ouvrit la braguette de son pantalon en un tour de main. L'experte se mit aussitôt à l'ouvrage en extirpant le sexe gonflé par le désir.
On aurait dit une ogive entre les mains d'un démineur. Avec la plus extrême délicatesse, elle manipula l'engin prêt à exploser. Elle commença par goûter le gland du bout de sa langue, puis le lécha avec des mouvements circulaires et enfin, le goba en faisant glisser ses lèvres très lentement. Elle répéta l'opération en accélérant progressivement la cadence, tout en faisant glisser ses mains sous la chemise déboutonnée, sur le ventre et la poitrine de celui qu'elle était en train de déguster savoureusement. Madame H. intensifia sa fellation en avalant plus profondément le pénis durci et en caressant les testicules d'une main, et les fesses de l'autre.
Enivré par le plaisir vertigineux, Lares ne se rendit même pas compte que les mains agiles de sa cliente l'avaient presqu'entièrement dénudé. C'est seulement quand elle reprit son souffle qu'il se débarrassa de ses chaussures et du pantalon en boule autour de ses chevilles. En relevant les yeux, il découvrit qu'elle était montée sur le lit et, telle une chatte en chaleur, se déplaçait haletante, à quatre pattes, lui tournant le dos mais miaulant pour qu'il la possède. Lares bondit sur le lit, l'empêcha d'aller plus loin d'un centimètre et s'enfonçant en elle comme un pieu dans un sol humide. Elle laissa échapper un râle de contentement et celui-ci fut suivi de cris de jouissance au fur et à mesure des coups de butoir que lui asséna son viril et survolté partenaire. Lares ne se contint pas plus longtemps et jouit en même temps qu'elle.
Madame H. se leva pourtant aussitôt et continua seule la visite de la vaste chambre. Elle se dirigea vers la salle de bains et découvrit une cabine de douche où une demi-douzaine de personnes aurait facilement pu tenir. Elle essaya les différents jets massants, des savons parfumés, déclencha la diffusion de musique douce. La cabine fut bientôt saturée de vapeur d'eau. Et c'est dans ce brouillard chaud, tropical, que Lares vint la rejoindre. Son sexe était à nouveau au garde-à-vous, prêt à reprendre du service. Sans la prévenir, il s'approcha, tel un fauve et se planta en elle tandis qu'elle faisait face à la douche. Pour éviter qu'elle échappe à cet assaut (mais en aurait-elle eu envie ?), il l'agrippa par les épaules et la pilonna avec force. Madame H. appuya ses mains contre le carrelage du mur et creusa son dos pour être prise plus profondément, à la grande joie de son fougueux amant. Lares passa alors ses mains sous les aisselles de la belle, continuant à lui tenir les épaules. Madame H. fondait littéralement de plaisir, son dos incurvé étant désormais presque à l'horizontale. Les mains de Lares se déplacèrent également, la saisissant par les seins, menus et fermes, la soutenant aussi tant cette position "à la hussarde" devenait acrobatique dans la cabine de douche.
Lares, stimulé par les jets d'eau chaude et la soumission de sa partenaire, décida de pimenter les choses. Il attrapa une bouteille de savon liquide et fit couler son contenu le long du dos arqué de sa cliente conquise. Le liquide moussant glissa en cascade dans le creux de la colonne vertébrale, jusqu'à la raie des fesses. Il se mêla à l'eau et aux sécrétions produites par le coït des deux amants. Une mousse commençait à se former entre les fesses de la femme, coupe vivante, croupe offerte, et à chaque coup de butoir, un jet de mousse s'élevait à la verticale, tel un geyser. Tout devint extrêmement glissant dans cette zone. Lares s'interrompit un moment, passa une main dans l'entrejambe de la belle et se mit à la masturber tandis que, de l'autre main, il plaça son sexe tendu à plat entre les fesses bombées et lubrifiées. Le pénis chaud et dur glissait sur l'anus, sans le pénétrer, et, dans le même temps, les doigts agiles de Lares électrisaient le clitoris. Bientôt, Madame H. n'y tint plus ! Elle prit elle-même les choses (la chose) en main et dirigea le gland de son étalon vers son orifice le plus serré (et en l'occurrence le plus avide d'être honoré à ce moment précis). Lares s'enfonça doucement, sans aucune brusquerie, mais sans s'arrêter, jusqu'à la garde. Madame H. l'avait de toute façon saisi par les fesses pour qu'il ne puisse pas lui fausser compagnie. De ses mains minces et manucurées de dame du monde, elle rythmait la cadence du Priape qui lui donnait tant de plaisir. Lares pouvait se concentrer sur les caresses prodiguées aux seins et au clitoris, le bas du corps était totalement sous contrôle de sa riche cliente. Entre deux soupirs, elle se laissa même aller à une confidence :
"Oh oui ! Ouh ! J'aime ça ! ... J'ai besoin de ça !!!"
A ces mots, l'agent explosa et sa jouissance déclencha celle de Madame H. qui ne comptait déjà plus ses orgasmes. Il s'affala tel une outre vide dans la fond de la cabine de douche, sous le regard amusé de sa cliente comblée.
Il fallu de longues minutes à l'agent immobilier pour retrouver ses esprits, emportés par le tourbillon de désir ardent et de plaisirs déclenchés par cette incroyable cliente. Au fait, où était-elle cette cliente ? Lares éteignit tous les jets d'eau, se sécha, mais en sortant de la cabine de douche, il ne la trouva ni dans la salle de bain, ni dans la chambre, ni dans l'immense dressing. Elle semblait avoir disparu de l'étage du climax. Il rassembla toutes les affaires qui traînaient sur le sol et le lit, puis descendit à l'étage des travaux et plaisirs de tête : bureau, bibliothèque, cinémathèque. Toujours pas de cliente ! Lares ramassa néanmoins la culotte encore trempée, le haut transparent de sa cliente, son attaché-case et toutes les autres traces de leurs ébats. Arrivé à l'étage des travaux et plaisirs du ventre, cuisine et salle à manger, toujours pas de Madame Héphaïstos ! Mais où était-elle donc ? Mais oui ! Bien sûr ! Elle s'était dirigée au "sous-sol" de cet appartement quadruplex : celui des travaux et plaisirs des jambes : salle de sport, hammam, sauna et piscine intérieure.
La lumière tamisée se réfléchissait sur l'eau du bassin, dans un écrin de marbres scintillants, multicolores. Et au milieu de la piscine, la cliente nageait lentement, nue. Sa silhouette noire sur fond lumineux était une splendeur, élancée, aux jambes fuselées, ondulant dans les flots avec une grande douceur. Lares fut émerveillé par le spectacle. Il déposa la pile de vêtements à côté d'un des transats moelleux sur la plage dallée et se détendit, allongé et encore nu lui aussi.
C'est dans un demi-sommeil qu'il la vit sortir des flots. Il crut à une apparition divine, la vision d'un tableau de Sandro Botticelli. Vénus, alias Aphrodite, n'était-elle pas l'épouse d'Héphaïstos dans la mythologie ?
Mais Lares n'eut pas le temps de se laisser aller à ses rêveries et lointains souvenirs d'études artistiques. Sa Vénus insatiable l'avait déjà rejoint et s'était accroupie entre ses cuisses. Sans autre préambule, elle s'était mise à lui lécher le sexe et plus particulièrement les testicules que Madame H. aspirait (...). En quelques coups de langue experts, Priape était à nouveau au garde-à-vous; ce qui enfiévra la dégustation de l'ondine au corps encore ruisselant. Elle savoura goulument l'appendice viril et gonflé par l'excitation puis exécuta une rotation pour placer son propre sexe à portée de la bouche de Lares. Dans cette position tête-bêche, avec Madame au-dessus, les deux corps exténués par les débauches précédentes purent se livrer à un ultime échange de caresses bucco-génitales.
Au terme de longs et délicieux moments, coupés du temps, Lares et Vénus jouirent une dernière fois de concert. La visite de l'appartement était achevée !
Agent immobilier n'est décidément pas un métier de tout repos.
Le temps qu'il remette tout en ordre dans l'appartement, et après un échange "purement" professionnel de cartes de visite, Madame Héphaïstos prit congé de Lares en lui tenant ces propos : "Ces échantillons m'ont grandement intéressée. Mais, pour conclure cette affaire, j'ai besoin de réfléchir un peu plus longuement. Prenez une semaine. Mon jet privé vous conduira jusqu'à ma résidence de la mer Égée. Avant la signature, nous approfondirons le sujet, vous et moi."
Le regard du commercial balayait la grande salle et il admira au passage les larges canapés disposés autour de tables basses, le haut plafond avec des lustres incroyablement scintillants, le comptoir d'accueil en bois exotique vernis et son personnel en uniforme impeccable ; et il en profita pour réajuster son propre badge accroché à la boutonnière de sa veste. Il indiquait son nom, Lares, et affichait le logo de sa société immobilière pour être identifié par ses clients.
Soudain, son regard fut captivé par une silhouette en contre-jour qui franchissait la grande porte tournante. Il distingua une femme en tailleur noir, jupe près du corps et courte veste cintrée, mais fut trop ébloui par la lumière extérieure pour apprécier plus de détails. Heureusement pour sa curiosité très masculine, elle obliqua vers la droite et Lares put la fixer tandis qu'elle se dirigeait vers le comptoir pour demander un renseignement. Il fut hypnotisé pendant quelques secondes par le croisement, décroisement de ses jambes, telles des ciseaux dressés glissant sur le marbre du hall. Lares eut juste le temps d'admirer béatement les longues jambes de l'apparition et sa chevelure noire qui tombait en cascade sur ses épaules quand il se rendit compte que le steewart, à l'accueil, faisait un signe dans sa direction. Oh ! C'était visiblement la cliente, Madame Héphaïstos !
Pris au dépourvu, Lares saisit maladroitement son attaché-case et se leva précipitamment pour accueillir son rendez-vous. En se dirigeant vers elle, il découvrit son visage, le fruit d'un métissage indéfinissable. Le visage rond et les yeux en amande évoquaient l'Asie, l'Extrême-Orient, les longs cheveux noirs et la peau hâlée plutôt l'Inde, mais les jambes et la cambrure, indiscutablement l'Afrique. Hélas, les quelques mètres les séparant furent rapidement franchis et une ferme poignée de main ainsi qu'un sobre et distant "Madame Héphaïstos." sortirent brutalement Lares de sa rêverie.
Une fois les civilités échangées, l'agent immobilier pria Mme Héphaïstos de le suivre vers la porte d'ascenseur qui les mènerait à l'appartement, objet du rendez-vous.
La cabine monta à grande vitesse le long d'un large tube de plexiglas avec son armature métallique très moderne. La ville grouillante s'éloigna au fur et à mesure de leur ascension. Madame Héphaïstos se tourna pour admirer le spectacle, la taille des véhicules et passants diminuant tandis qu'elle se rapprochait des cieux. Les yeux de Lares en profitèrent eux pour admirer un autre spectacle tout aussi vertigineux : la chute de reins de sa cliente. La jupe noire était fendue à l'arrière et collait vraiment à la superbe anatomie de sa propriétaire. Une fois de plus absorbé, Lares se laissa surprendre lorsqu'elle se retourna sans prévenir. Elle portait de larges lunettes de soleil aux verres fumés et il ne put lire son expression (de reproche peut-être) mais il lui sembla qu'un sourire en coin avait été esquissé.
Mieux valait oublier et se reconcentrer sur le travail.
Lares bafouilla quelques données techniques sur l'immeuble, les matériaux utilisés, la date de construction, l'altitude et autres données techniques mais Mme Héphaïstos le coupa tout net.
"Mon mari se fie à mon goût. Et moi, je préfère essayer la marchandise plutôt que de parler dans le vide. Nous verrons une fois sur place."
Le reste de l'ascension se fit dans un échange supplémentaire, sur un air de musique classique ; ambiance typique de ces lieux exigus. Mme Héphaïstos, le regard dissimulé par ses lunettes de soleil lui faisait face et malgré son ton glacial, Lares avait de plus en plus chaud.
Un tintement sonore leur signala que l'ascenseur public était arrivé au dernier étage autorisé. Au-delà, il fallait utiliser une carte magnétique pour entrer dans l'appartement de très grand luxe situé au sommet du gratte-ciel.
Ils débouchèrent dans une vaste pièce, un loft, de près de 200 m². Un étage entier composé d'espaces de vie, tel que salon, cuisine américaine, accès à une non moins vaste terrasse, avec de très grandes ouvertures vitrées, dotées de rideaux opacifiants sur commande.
Madame Héphaïstos arpenta la grande pièce sous les yeux de Lares qui nota qu'elle effleurait les meubles, laissant glisser sa main pour mieux s'imprégner des matières. Très tactile.
Puis elle désira admirer le paysage depuis la terrasse. Lares ouvrit une baie vitrée, tout en précisant que l'intensité de la lumière dans l'appartement pouvait être modulée par simple claquement de main. Sa cliente essaya et instantanément, la lumière se fit tamisée. "Amusant !", dit-elle en lâchant son premier sourire depuis son arrivée. Lares ne put qu'être séduit par l'éclat de ses dents souligné par un rouge à lèvre personnalisé, l'ensemble d'une grande sensualité.
Elle sortit sur la terrasse et respira à pleins poumons l'air vivifiant de cette relative altitude (plus de vingt étages). La riche, très riche cliente, arpenta la terrasse telle une habituée des podiums de haute couture puis s'appuya à la rambarde et se pencha légèrement en avant pour admirer la hauteur et le panorama. Ce faisant, elle cambra son dos ce qui ne manqua pas de provoquer une accélération du rythme cardiaque de l'agent immobilier.
Au bout de quelques minutes exposée à la fraîcheur de la terrasse, Madame Héphaïstos, suivie de Lares, retourna à l'intérieur. "Finalement, il fait chaud à l'intérieur.", indiqua-t-elle en ôtant sa courte veste qu'elle posa négligemment sur un des canapés du loft. Sous cette veste, elle ne portait qu'un haut noir transparent sans soutien-gorge. Sa poitrine menue et durcie par l'air vivifiant de la terrasse était désormais exposée au regard de Lares qui bouillait sans oser commettre le moindre geste, ou même regard, qui pourrait compromettre la vente d'un appartement de si grande valeur.
"Montrez-moi les étages." ordonna-t-elle à son guide.
"Voulez-vous vous y rendre en ascenseur ou emprunter l'escalier intérieur ?", demanda poliment Lares.
"L'escalier !".
Et elle se dirigea conquérante vers la structure de bois et d'acier qui trônait au centre de la vaste pièce.
Au beau milieu de l'escalier, alors qu'elle devançait Lares de quelques marches, Madame Héphaïstos, devenue très taquine, s'arrêta si brusquement que l'agent immobilier n'eut pas le temps d'interrompre sa propre avancée. Le visage de l'homme heurta de plein fouet la partie la plus charnue de son anatomie ! Complètement troublé par la situation, il ne put récupérer son équilibre qu'en la saisissant par la taille ... et elle en profita pour lui saisir fermement les mains afin qu'elles restent accrochées autour d'elle. Ensuite, féline, elle reprit son ascension, lentement, très lentement, en continuant à l'aguicher du regard.
Arrivée à l'étage supérieur, celui des chambres, elle s'arrêta à nouveau alors qu'il était encore légèrement en contre-bas dans l'escalier. Là, enfin, Lares osa prendre l'initiative. Il ouvrit la fermeture-éclair de la jupe de sa cliente, fit lentement glisser la jupe jusqu'aux chevilles et découvrit un affriolant bunda de soie qui mettait ses superbes fesses en valeur. Sans dire un mot, mais avec un regard hautement significatif, elle creusa ses reins et s'offrit à la caresse que l'homme en costume allait lui prodiguer.
Lares commença par poser ses lèvres sur les fesses rebondies de sa riche cliente, puis il posa sa bouche sur le mince sous-vêtement de soie. C'était la dernière barrière entre sa langue exploratrice et les zones les plus intimes et les plus sensibles de Madame Héphaïstos. L'homme surexcité ne put se contenir très longtemps, trop avide de goûter aux lèvres déjà humides de sa consentante proie. Il saisit le bunda et le fit glisser tout au bas des longues jambes de cette superbe créature qui s'offrait désormais complètement à lui. Une fois qu'elle fut toute nue, à l'exception de ses fines chaussures à talons (elle s'était débarrassée de son haut noir transparent tandis qu'il lui ôtait son sous-vêtement), il commença à la lécher, lentement, suavement, goulument, insatiablement ! Plus la langue de Lares léchait son sexe, plus Madame Héphaïstos se cambrait, s'ouvrait, ronronnait de plaisir. Le cunnilingus se prolongea un long et très bon moment, avec Lares toujours dans l'escalier et toujours en costume trois pièces. L'appétit de Madame était désormais enflammé.
Elle avança de quelques centimètres pour se retrouver hors de portée de la langue qui venait de l'exciter comme une folle et elle reprit la conversation comme si la visite continuait normalement :
"Je vois que cet étage possède une cinémathèque et une bibliothèque. Fort bien. Mais où sont les chambres ?"
"A l'étage juste au-dessus ..." répondit abasourdi l'agent immobilier.
Elle le devança encore et, tout en essayant de suivre le rythme, Lares posa son attaché-case sur le palier, puis sa veste dans l'escalier, dénoua sa cravate en arrivant sur le palier supérieur et, il était en train de déboutonner sa chemise lorsqu'il la retrouva enfin. Elle s'était assise sur un coin du grand, très grand lit qui trônait au centre de la plus vaste chambre. Elle lui fit un signe de la main pour l'inviter à la rejoindre et dès qu'il fut à portée de ses mains, elle le saisit par le bassin, défit la boucle de sa ceinture et ouvrit la braguette de son pantalon en un tour de main. L'experte se mit aussitôt à l'ouvrage en extirpant le sexe gonflé par le désir.
On aurait dit une ogive entre les mains d'un démineur. Avec la plus extrême délicatesse, elle manipula l'engin prêt à exploser. Elle commença par goûter le gland du bout de sa langue, puis le lécha avec des mouvements circulaires et enfin, le goba en faisant glisser ses lèvres très lentement. Elle répéta l'opération en accélérant progressivement la cadence, tout en faisant glisser ses mains sous la chemise déboutonnée, sur le ventre et la poitrine de celui qu'elle était en train de déguster savoureusement. Madame H. intensifia sa fellation en avalant plus profondément le pénis durci et en caressant les testicules d'une main, et les fesses de l'autre.
Enivré par le plaisir vertigineux, Lares ne se rendit même pas compte que les mains agiles de sa cliente l'avaient presqu'entièrement dénudé. C'est seulement quand elle reprit son souffle qu'il se débarrassa de ses chaussures et du pantalon en boule autour de ses chevilles. En relevant les yeux, il découvrit qu'elle était montée sur le lit et, telle une chatte en chaleur, se déplaçait haletante, à quatre pattes, lui tournant le dos mais miaulant pour qu'il la possède. Lares bondit sur le lit, l'empêcha d'aller plus loin d'un centimètre et s'enfonçant en elle comme un pieu dans un sol humide. Elle laissa échapper un râle de contentement et celui-ci fut suivi de cris de jouissance au fur et à mesure des coups de butoir que lui asséna son viril et survolté partenaire. Lares ne se contint pas plus longtemps et jouit en même temps qu'elle.
Madame H. se leva pourtant aussitôt et continua seule la visite de la vaste chambre. Elle se dirigea vers la salle de bains et découvrit une cabine de douche où une demi-douzaine de personnes aurait facilement pu tenir. Elle essaya les différents jets massants, des savons parfumés, déclencha la diffusion de musique douce. La cabine fut bientôt saturée de vapeur d'eau. Et c'est dans ce brouillard chaud, tropical, que Lares vint la rejoindre. Son sexe était à nouveau au garde-à-vous, prêt à reprendre du service. Sans la prévenir, il s'approcha, tel un fauve et se planta en elle tandis qu'elle faisait face à la douche. Pour éviter qu'elle échappe à cet assaut (mais en aurait-elle eu envie ?), il l'agrippa par les épaules et la pilonna avec force. Madame H. appuya ses mains contre le carrelage du mur et creusa son dos pour être prise plus profondément, à la grande joie de son fougueux amant. Lares passa alors ses mains sous les aisselles de la belle, continuant à lui tenir les épaules. Madame H. fondait littéralement de plaisir, son dos incurvé étant désormais presque à l'horizontale. Les mains de Lares se déplacèrent également, la saisissant par les seins, menus et fermes, la soutenant aussi tant cette position "à la hussarde" devenait acrobatique dans la cabine de douche.
Lares, stimulé par les jets d'eau chaude et la soumission de sa partenaire, décida de pimenter les choses. Il attrapa une bouteille de savon liquide et fit couler son contenu le long du dos arqué de sa cliente conquise. Le liquide moussant glissa en cascade dans le creux de la colonne vertébrale, jusqu'à la raie des fesses. Il se mêla à l'eau et aux sécrétions produites par le coït des deux amants. Une mousse commençait à se former entre les fesses de la femme, coupe vivante, croupe offerte, et à chaque coup de butoir, un jet de mousse s'élevait à la verticale, tel un geyser. Tout devint extrêmement glissant dans cette zone. Lares s'interrompit un moment, passa une main dans l'entrejambe de la belle et se mit à la masturber tandis que, de l'autre main, il plaça son sexe tendu à plat entre les fesses bombées et lubrifiées. Le pénis chaud et dur glissait sur l'anus, sans le pénétrer, et, dans le même temps, les doigts agiles de Lares électrisaient le clitoris. Bientôt, Madame H. n'y tint plus ! Elle prit elle-même les choses (la chose) en main et dirigea le gland de son étalon vers son orifice le plus serré (et en l'occurrence le plus avide d'être honoré à ce moment précis). Lares s'enfonça doucement, sans aucune brusquerie, mais sans s'arrêter, jusqu'à la garde. Madame H. l'avait de toute façon saisi par les fesses pour qu'il ne puisse pas lui fausser compagnie. De ses mains minces et manucurées de dame du monde, elle rythmait la cadence du Priape qui lui donnait tant de plaisir. Lares pouvait se concentrer sur les caresses prodiguées aux seins et au clitoris, le bas du corps était totalement sous contrôle de sa riche cliente. Entre deux soupirs, elle se laissa même aller à une confidence :
"Oh oui ! Ouh ! J'aime ça ! ... J'ai besoin de ça !!!"
A ces mots, l'agent explosa et sa jouissance déclencha celle de Madame H. qui ne comptait déjà plus ses orgasmes. Il s'affala tel une outre vide dans la fond de la cabine de douche, sous le regard amusé de sa cliente comblée.
Il fallu de longues minutes à l'agent immobilier pour retrouver ses esprits, emportés par le tourbillon de désir ardent et de plaisirs déclenchés par cette incroyable cliente. Au fait, où était-elle cette cliente ? Lares éteignit tous les jets d'eau, se sécha, mais en sortant de la cabine de douche, il ne la trouva ni dans la salle de bain, ni dans la chambre, ni dans l'immense dressing. Elle semblait avoir disparu de l'étage du climax. Il rassembla toutes les affaires qui traînaient sur le sol et le lit, puis descendit à l'étage des travaux et plaisirs de tête : bureau, bibliothèque, cinémathèque. Toujours pas de cliente ! Lares ramassa néanmoins la culotte encore trempée, le haut transparent de sa cliente, son attaché-case et toutes les autres traces de leurs ébats. Arrivé à l'étage des travaux et plaisirs du ventre, cuisine et salle à manger, toujours pas de Madame Héphaïstos ! Mais où était-elle donc ? Mais oui ! Bien sûr ! Elle s'était dirigée au "sous-sol" de cet appartement quadruplex : celui des travaux et plaisirs des jambes : salle de sport, hammam, sauna et piscine intérieure.
La lumière tamisée se réfléchissait sur l'eau du bassin, dans un écrin de marbres scintillants, multicolores. Et au milieu de la piscine, la cliente nageait lentement, nue. Sa silhouette noire sur fond lumineux était une splendeur, élancée, aux jambes fuselées, ondulant dans les flots avec une grande douceur. Lares fut émerveillé par le spectacle. Il déposa la pile de vêtements à côté d'un des transats moelleux sur la plage dallée et se détendit, allongé et encore nu lui aussi.
C'est dans un demi-sommeil qu'il la vit sortir des flots. Il crut à une apparition divine, la vision d'un tableau de Sandro Botticelli. Vénus, alias Aphrodite, n'était-elle pas l'épouse d'Héphaïstos dans la mythologie ?
Mais Lares n'eut pas le temps de se laisser aller à ses rêveries et lointains souvenirs d'études artistiques. Sa Vénus insatiable l'avait déjà rejoint et s'était accroupie entre ses cuisses. Sans autre préambule, elle s'était mise à lui lécher le sexe et plus particulièrement les testicules que Madame H. aspirait (...). En quelques coups de langue experts, Priape était à nouveau au garde-à-vous; ce qui enfiévra la dégustation de l'ondine au corps encore ruisselant. Elle savoura goulument l'appendice viril et gonflé par l'excitation puis exécuta une rotation pour placer son propre sexe à portée de la bouche de Lares. Dans cette position tête-bêche, avec Madame au-dessus, les deux corps exténués par les débauches précédentes purent se livrer à un ultime échange de caresses bucco-génitales.
Au terme de longs et délicieux moments, coupés du temps, Lares et Vénus jouirent une dernière fois de concert. La visite de l'appartement était achevée !
Agent immobilier n'est décidément pas un métier de tout repos.
Le temps qu'il remette tout en ordre dans l'appartement, et après un échange "purement" professionnel de cartes de visite, Madame Héphaïstos prit congé de Lares en lui tenant ces propos : "Ces échantillons m'ont grandement intéressée. Mais, pour conclure cette affaire, j'ai besoin de réfléchir un peu plus longuement. Prenez une semaine. Mon jet privé vous conduira jusqu'à ma résidence de la mer Égée. Avant la signature, nous approfondirons le sujet, vous et moi."
vendredi 6 mars 2015
Arsène coquin
L'été ne semblait pas vouloir finir. La chaleur et l'humidité assommaient la population devenue complètement léthargique. Ce n'est qu'à la tombée de la nuit qu'on commençait à pouvoir respirer, que la fraîcheur nocturne apportait du réconfort. Les températures et l'ensoleillement stimulaient toutefois les envies ... et certains corps brûlaient de chaleurs tropicales.
Perséphone avait décidé de s'endormir toute nue, entre ses draps propres et parfumés, en laissant la baie vitrée entrouverte pour ventiler et rafraîchir son lit. La brise légère caresserait sa peau brûlante, en attendant, le rêvait-elle, qu'un bel inconnu vienne l'enlever, la prendre... la faire grimper aux rideaux.
Depuis plusieurs nuits, depuis le début du printemps pour être franche, la jeune fille soupirait d'un désir inassouvi, avait hâte de sentir une peau de mâle contre la sienne, de sentir un sexe dur contre son ventre, une bouche aspirer la sienne, un corps écraser le sien.
Mais pas n'importe lequel : celui du mâle qui la faisait fantasmer, cet inconnu, ce "voleur de cœur" dont elle avait entendu parler, qui dévalisait sans vergogne les belles des beaux quartiers tout en les gratifiant d'une nuit inoubliable ... Arsène Coquin !
Elle n'osait le verbaliser mais son esprit ne pouvait s'empêcher de l'imaginer : elle désirait le sentir vibrer dans sa bouche, entre mes mains ... Elle rêvait de soupirer de plaisir sous ses baisers, sous ses caresses, sous ses coups de reins....
Elle avait résisté un long moment, comme un enfant qui veut surprendre le Père Noël lorsqu'il passe déposer les cadeaux aux pieds du sapin mais la fatigue de la journée l'avait finalement saisie; trop de chaleur, trop de stress au travail. Elle dormait maintenant. Dormait mais d'un sommeil léger. N'avait-elle pas entendu un bruit ? Elle leva la tête, le corps moite. Non, seulement des branches agitées par le vent frais de la nuit. Un vent si agréable, une caresse sur sa peau chaude ... Elle se rendormit. Soudain un autre bruissement, un rideau qui bouge, une ombre furtive ... Non, hélas, à nouveau, c'était plus un rêve, un désir, qu'une réalité.
Mais, tapi dans l'ombre, Arsène souriait. Voyeur !
Ce fut finalement une caresse, très légère, sur le dos, dans le creux de la colonne vertébrale qui sortit la belle endormie de son sommeil. Imperceptiblement, elle sentait une étoffe glisser le long de son dos, une caresse avec un ruban de soie ! Elle ouvrit les yeux et croisa son regard ! Deux yeux bleu-verts perçants, presque lumineux dans la pénombre de la chambre ! Il était là, celui dont elle avait rêvé tant de nuits auparavant ! Mais avant que le moindre son puisse s'échapper de ses lèvres, Arsène appliqua une main ferme sur sa bouche. Elle ne pouvait pas crier. "Chuuuut !", susurra-t-il à son oreille.
Mais Perséphone n'était pas au bout de ses surprises. Elle ne pouvait pas bouger non plus : profitant de son sommeil, le cambrioleur lui avait noué les poignets et les chevilles aux montants du lit ! Elle était ligotée, nue, à plat ventre sur son lit, totalement livrée aux pulsions de cet homme !
Perséphone ressentit soudain une boule d'angoisse en plein ventre. Qui était-il en réalité ? Seuls ses yeux étaient visibles car il portait une cagoule aussi noire que sa tenue de sport. N'allait-il pas lui faire du mal ? Sa réputation n'était-elle pas romancée, exagérée, embellie ?
Le doute sur les intentions du cambrioleur fondirent comme une crème glacée au soleil, ou plutôt comme une glace sous une langue agile.
En effet, les mains de l'homme en noir se posèrent sur les épaules de la jeune femme ligotée, glissèrent le long du dos et saisirent d'une poigne ferme les fesses fermes de sa victime. Dans la seconde qui suivit, il plongea son visage dans cette partie charnue de son anatomie et entreprit d'en explorer chaque parcelle avec une langue suave, douce, caressante ... exactement comme dans les rêveries les plus torrides de Perséphone. Elle était rassurée. Elle allait être livrée à un doux, très doux supplice.
Arsène n'avait retroussé sa cagoule que pour découvrir le bas de son visage. De toute façon, ligotée comme elle l'était, Perséphone ne pouvait pas le voir faire. Elle devait "se contenter" d'apprécier ses caresses buccales ...
Le cunnilingus s'intensifia au fil des minutes. Le "violeur" détacha les chevilles de sa "victime" et la retourna d'un coup sec. Elle était maintenant sur le dos, bras croisés au-dessus de la tête et mains toujours liées au montant du lit. Arsène lui releva brusquement les jambes à tel point que les genoux de Perséphone étaient presque au contact de ses épaules. Dans cette position, il pouvait la dévorer de toute l'avidité de sa langue et de sa bouche. Elle fondit encore plus sous les délicieuses explorations linguales de son visiteur du soir. Elle ne put réprimer des gémissements de plus en plus sonores qui semblèrent irriter le cambrioleur. Ne voulant certainement pas alerter le voisinage, il interrompit son cunnilingus, laissa les jambes de Perséphone retomber sur le lit, baissa son pantalon de sport et réduisit au silence sa victime ... d'une façon tout à fait personnelle : en lui enfournant son pénis gonflé par le désir dans la bouche.
Perséphone crut s'étouffer tant le sexe d'Arsène l'emplissait. Sans ménagement, il joua avec sa bouche comme s'il s'agissait d'un vagin. Elle était à deux doigts de suffoquer ... lorsqu'il la laissa enfin reprendre son souffle.
Mais ce n'était que pour mieux la posséder. Il la retourna à nouveau, revenant à la position initiale, le visage contre les draps, la saisit par les hanches, la souleva légèrement et s'enfonça en elle d'un puissant coup de reins. Perséphone laissa échapper un cri mais, cette fois-ci, l'homme n'y porta pas attention. Il semblait mû par des pulsions animales de mâle en rut; et sa femelle soumise savourait chaque ruade avec beaucoup de plaisir ! Elle se cambra au maximum pour s'ouvrir et être pénétrée au plus profond d'elle. Ses sensations étaient très intenses, elle se sentait complètement "remplie" par toute cette chair virile et comme hypnotisée par la testostérone émise par son "animal nocturne".
Arsène la besogna des heures puis l'abandonna épuisée, rassasiée, sur le lit dont les draps portaient les traces et parfums de leur torride chevauchée. Il disparut dans le noir, sans un mot, emportant avec lui un peu de son cœur ...
Perséphone, plongée dans le sommeil après son orgasme, se réveilla soudain en sueur avec une pensée en tête : Arsène est un cambrioleur ! Que lui a-t-il dérobé ?
Elle secoua ses poignets et les rubans de soie, déjà desserrés par la violence du coït, tombèrent sur les draps. Elle se leva et se précipita sur sa petite boîte à bijoux. Ouf ! Intacte ! Perséphone se dirigea ensuite vers le salon où bon nombre d'appareils électroniques pouvaient être chapardés puis revendus facilement. Non, tous là. Elle retourna dans sa chambre et examina son dressing ... Un tiroir était ouvert. Ses culottes ! Arsène avait volé toutes ses petites culottes !
Mais quel gredin ce Coquin ! Qu'allait-elle mettre demain au travail ?
Perséphone avait décidé de s'endormir toute nue, entre ses draps propres et parfumés, en laissant la baie vitrée entrouverte pour ventiler et rafraîchir son lit. La brise légère caresserait sa peau brûlante, en attendant, le rêvait-elle, qu'un bel inconnu vienne l'enlever, la prendre... la faire grimper aux rideaux.
Depuis plusieurs nuits, depuis le début du printemps pour être franche, la jeune fille soupirait d'un désir inassouvi, avait hâte de sentir une peau de mâle contre la sienne, de sentir un sexe dur contre son ventre, une bouche aspirer la sienne, un corps écraser le sien.
Mais pas n'importe lequel : celui du mâle qui la faisait fantasmer, cet inconnu, ce "voleur de cœur" dont elle avait entendu parler, qui dévalisait sans vergogne les belles des beaux quartiers tout en les gratifiant d'une nuit inoubliable ... Arsène Coquin !
Elle n'osait le verbaliser mais son esprit ne pouvait s'empêcher de l'imaginer : elle désirait le sentir vibrer dans sa bouche, entre mes mains ... Elle rêvait de soupirer de plaisir sous ses baisers, sous ses caresses, sous ses coups de reins....
Elle avait résisté un long moment, comme un enfant qui veut surprendre le Père Noël lorsqu'il passe déposer les cadeaux aux pieds du sapin mais la fatigue de la journée l'avait finalement saisie; trop de chaleur, trop de stress au travail. Elle dormait maintenant. Dormait mais d'un sommeil léger. N'avait-elle pas entendu un bruit ? Elle leva la tête, le corps moite. Non, seulement des branches agitées par le vent frais de la nuit. Un vent si agréable, une caresse sur sa peau chaude ... Elle se rendormit. Soudain un autre bruissement, un rideau qui bouge, une ombre furtive ... Non, hélas, à nouveau, c'était plus un rêve, un désir, qu'une réalité.
Mais, tapi dans l'ombre, Arsène souriait. Voyeur !
Ce fut finalement une caresse, très légère, sur le dos, dans le creux de la colonne vertébrale qui sortit la belle endormie de son sommeil. Imperceptiblement, elle sentait une étoffe glisser le long de son dos, une caresse avec un ruban de soie ! Elle ouvrit les yeux et croisa son regard ! Deux yeux bleu-verts perçants, presque lumineux dans la pénombre de la chambre ! Il était là, celui dont elle avait rêvé tant de nuits auparavant ! Mais avant que le moindre son puisse s'échapper de ses lèvres, Arsène appliqua une main ferme sur sa bouche. Elle ne pouvait pas crier. "Chuuuut !", susurra-t-il à son oreille.
Mais Perséphone n'était pas au bout de ses surprises. Elle ne pouvait pas bouger non plus : profitant de son sommeil, le cambrioleur lui avait noué les poignets et les chevilles aux montants du lit ! Elle était ligotée, nue, à plat ventre sur son lit, totalement livrée aux pulsions de cet homme !
Perséphone ressentit soudain une boule d'angoisse en plein ventre. Qui était-il en réalité ? Seuls ses yeux étaient visibles car il portait une cagoule aussi noire que sa tenue de sport. N'allait-il pas lui faire du mal ? Sa réputation n'était-elle pas romancée, exagérée, embellie ?
Le doute sur les intentions du cambrioleur fondirent comme une crème glacée au soleil, ou plutôt comme une glace sous une langue agile.
En effet, les mains de l'homme en noir se posèrent sur les épaules de la jeune femme ligotée, glissèrent le long du dos et saisirent d'une poigne ferme les fesses fermes de sa victime. Dans la seconde qui suivit, il plongea son visage dans cette partie charnue de son anatomie et entreprit d'en explorer chaque parcelle avec une langue suave, douce, caressante ... exactement comme dans les rêveries les plus torrides de Perséphone. Elle était rassurée. Elle allait être livrée à un doux, très doux supplice.
Arsène n'avait retroussé sa cagoule que pour découvrir le bas de son visage. De toute façon, ligotée comme elle l'était, Perséphone ne pouvait pas le voir faire. Elle devait "se contenter" d'apprécier ses caresses buccales ...
Le cunnilingus s'intensifia au fil des minutes. Le "violeur" détacha les chevilles de sa "victime" et la retourna d'un coup sec. Elle était maintenant sur le dos, bras croisés au-dessus de la tête et mains toujours liées au montant du lit. Arsène lui releva brusquement les jambes à tel point que les genoux de Perséphone étaient presque au contact de ses épaules. Dans cette position, il pouvait la dévorer de toute l'avidité de sa langue et de sa bouche. Elle fondit encore plus sous les délicieuses explorations linguales de son visiteur du soir. Elle ne put réprimer des gémissements de plus en plus sonores qui semblèrent irriter le cambrioleur. Ne voulant certainement pas alerter le voisinage, il interrompit son cunnilingus, laissa les jambes de Perséphone retomber sur le lit, baissa son pantalon de sport et réduisit au silence sa victime ... d'une façon tout à fait personnelle : en lui enfournant son pénis gonflé par le désir dans la bouche.
Perséphone crut s'étouffer tant le sexe d'Arsène l'emplissait. Sans ménagement, il joua avec sa bouche comme s'il s'agissait d'un vagin. Elle était à deux doigts de suffoquer ... lorsqu'il la laissa enfin reprendre son souffle.
Mais ce n'était que pour mieux la posséder. Il la retourna à nouveau, revenant à la position initiale, le visage contre les draps, la saisit par les hanches, la souleva légèrement et s'enfonça en elle d'un puissant coup de reins. Perséphone laissa échapper un cri mais, cette fois-ci, l'homme n'y porta pas attention. Il semblait mû par des pulsions animales de mâle en rut; et sa femelle soumise savourait chaque ruade avec beaucoup de plaisir ! Elle se cambra au maximum pour s'ouvrir et être pénétrée au plus profond d'elle. Ses sensations étaient très intenses, elle se sentait complètement "remplie" par toute cette chair virile et comme hypnotisée par la testostérone émise par son "animal nocturne".
Arsène la besogna des heures puis l'abandonna épuisée, rassasiée, sur le lit dont les draps portaient les traces et parfums de leur torride chevauchée. Il disparut dans le noir, sans un mot, emportant avec lui un peu de son cœur ...
Perséphone, plongée dans le sommeil après son orgasme, se réveilla soudain en sueur avec une pensée en tête : Arsène est un cambrioleur ! Que lui a-t-il dérobé ?
Elle secoua ses poignets et les rubans de soie, déjà desserrés par la violence du coït, tombèrent sur les draps. Elle se leva et se précipita sur sa petite boîte à bijoux. Ouf ! Intacte ! Perséphone se dirigea ensuite vers le salon où bon nombre d'appareils électroniques pouvaient être chapardés puis revendus facilement. Non, tous là. Elle retourna dans sa chambre et examina son dressing ... Un tiroir était ouvert. Ses culottes ! Arsène avait volé toutes ses petites culottes !
Mais quel gredin ce Coquin ! Qu'allait-elle mettre demain au travail ?
dimanche 1 mars 2015
Cours particulier
Le professeur Mentor donne depuis peu des cours à l'Université et à la Chambre de commerce. De la formation
continue pour des professionnels adultes. Il a bien préparé son exposé mais appréhende quand même ce
public, nouveau pour lui. Son émotion est palpable mais il se lance.
L'accueil semble plutôt bon et il remarque même une élève
particulièrement attentive. Elle semble boire ses paroles. Et en plus,
elle est charmante !
La formation dure la journée, avec quelques pauses où divers élèves viennent l'aborder ... mais pas celle qui avait attiré mon regard. Elle reste prudemment à distance, tout en le dévorant discrètement des yeux. Mentor n'ose l'aborder lui-même sous peine d'attirer l'attention, voire la jalousie, de ceux qui sont directement venus me questionner. La journée va se terminer et il n'a toujours pas pu approcher l'élève en question. Quand la cloche sonne, et que c'est l'heure des au revoir (peut-être même des adieux avec la plupart des élèves), le professeur prend son courage à deux mains ... "Mademoiselle ?"
"Ouiiii ?" lui répond amusée la belle inconnue, avec un sourire en coin et des yeux gourmands, avant d'ajouter "Vous pouvez m'appeler Galatée".
La salle de classe se vide pendant qu'ils échangent des civilités puis, dans un silence gêné, un claquement de porte résonne dans l'amphithéâtre, indiquant que tout le monde est sorti. Le professeur et l'élève sont seuls dans cette grand pièce.
Sentant le trouble de son aîné et le comprenant comme une invitation, Galatée prend les devants et se rapproche dangereusement en ajoutant d'une voix douce comme le miel : "Professeur, j'ai beaucoup aimé votre cours. J'aimerais beaucoup approfondir le sujet avec vous ...".
Le temps de réfléchir à ce qu'il pourrait répondre d'intelligent à ça, elle est déjà collée à son torse. Mentor sent les petits seins de son élève pointer contre lui ... et son sexe se met instantanément à gonfler dans son pantalon. Il est soudain angoissé à l'idée que quelqu'un (un gardien, une femme de ménage) puisse entrer dans l'amphithéâtre mais elle ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Elle se serre davantage, glisse ses doigts sous la chemise de l'enseignant et colle son bassin au bas-ventre déjà en relief. "Hum, professeur, je sens que vous n'avez pas exposé tous vos arguments".
Il reste figé et elle continue à prendre les initiatives ! Ses bras s'enroulent comme des lianes autour de lui et elle lui donne un baiser torride durant lequel sa langue semble elle-aussi s'enroule autour de celle du professeur; un vrai boa constricteur !
Perdant la tête, oubliant où ils sont, Mentor lui rend le baiser ... mais il n'est pas au bout de ses surprises. Les mains de Galatée glissent jusqu'à son pantalon, dégrafent tout ce qui fait obstacle, et extirpent son sexe tendu de sa prison de toile. Le voilà sexe à l'air, avec des mains bien agrippées dessus, à échanger un baiser avec une jeune femme, une élève qui plus est, en pleine salle de cours !
Tenant le sexe de Mentor d'une main, Galatée pose l'autre sur son torse et pousse le professeur vers l'arrière. Il est déséquilibré. Il recule, recule ... comme une proie acculée face à son prédateur mais sans jamais pouvoir trop s'éloigner vu qu'elle le tient fermement par le sexe. Son pantalon a glissé jusqu'à ses chevilles et il sautille maladroitement pour ne pas m'affaler ridiculement en arrière. Finalement, il heurte une chaise et se retrouve assis. Plus moyen de s'échapper !
Il jette un œil, à droite, à gauche, la salle est manifestement déserte et comme le gardien lui avait de toute façon laissé les clés pour fermer ... La femme de ménage n'interviendra que le lendemain matin. Ils ont toute la soirée pour "réviser".
Quand son esprit revient au présent, il réalise que Galatée n'était, quant à elle, pas du tout préoccupée par ces considérations logistiques ou de gestion du personnel. C'est une élève efficace qui va directement à l'essentiel !
Ses lèvres, chaudes et humides, ont déjà commencé à engloutir le bout de son sexe, et sa langue à le caresser de mouvements circulaires, provoquant, accentuant encore, son gonflement. Mais elle veut en voir plus et, sans laisser sortir le pénis de sa bouche, avec ses deux mains libres, elle achève de défaire sa chemise, et de plaquer le pantalon au sol.
Débarrassée de ces encombrants vêtements, elle peut enfin observer, manipuler, aisément et totalement, le sexe du professeur, et le professeur lui-même.
Celui-ci s'abandonne complètement et laisse la langue experte de la jeune femme apprécier chaque parcelle, chaque centimètre carré de son sexe et de ses testicules. Quelle sensualité ! Quelle gourmandise ! Elle ne semble jamais rassasiée ce qui laisse sans voix ... le beau-parleur professionnel. Elle déguste et il la laisse déguster !
Durant de longues et prodigieuses minutes, Mentor est assis sur sa chaise de classe, derrière le pupitre de l'amphithéâtre, pantalon aux chevilles. Galatée est accroupie, la tête entre les cuisses de sa proie, tenant le professeur par la base du sexe et jouant avec sa bouche et sa langue, savourant chaque parcelle, admirant de temps en temps l'objet de son désir pour ensuite mieux le reprendre dans sa bouche, le lécher avec encore plus d'appétit.
Mentor s'abandonne, la tête basculée en arrière, tout en essayant d'ôter ce fichu pantalon qui lui entrave les chevilles !
Sentant peut-être son envie de passer à autre chose (bien que cette "torture" soit délicieuse), Galatée se redresse et entame un suave strip-tease. Elle fait délicatement glisser son propre pantalon, moulant à souhait, puis, en déboutonnant lentement son chemisier, elle ondule en sous-vêtements noirs très suggestifs, hypnotiquement. Les yeux de Mentor en sortent presque de leurs orbites. Il se sent irrésistiblement attiré par la peau laiteuse, humide de désir, de son incroyable élève.
Après quelques insoutenables minutes d'effeuillage, totalement débarrassée de ses vêtements et sous-vêtements, Galatée vient t'asseoir sur lui, yeux dans les yeux. Que dis-je ? Elle vient s'empaler sur lui ! D'abord en lui faisant face, pour mieux l'embrasser.
Mentor suit le rythme de ses mouvements de hanche, lui caressant les seins et embrassant chaque parcelle de sa peau, douce comme de la soie, passant à portée de ses lèvres et de sa langue.
La cadence augmente, et il contribue à s'enfoncer plus profond en elle en soulevant son propre bassin, bien que toujours assis sur sa chaise.
Au bout d'un moment, elle décide, dominatrice, de changer de côté. Elle se redresse, lui tourne le dos et revient s'asseoir sur le sexe, érigé telle une colonne dédiée au culte de sa Muse. Le spectacle de son dos, de sa fantastique chute de reins, de ses fesses en mouvement excitent Mentor encore davantage ! Ses mains caressent la peau de la jeune Galatée; parfois glissant jusqu'à ses fesses pour les malaxer, pour les saisir fermement et les guider de façon à ce qu'elle s'empale encore plus sur son pénis déchaîné.
Mentor aventure aussi quelques doigts, par devant, sur le pubis épilé de Galatée, pour caresser son clitoris ... Dans le même temps, par derrière, l'autre main se fait coquine, en laissant un pouce chatouiller son anus lubrifié par tant de "jus d'amour" ...
Le coït est maintenant double, les caresses multiples : le pénis profondément enfoui dans le vagin, et un pouce introduit dans son anus serré mais accueillant ; et le tout couronné de caresses, de la main libre, sur les seins fermes ou sur le clitoris.
L'orgasme est proche pour les deux ! Et il explose au moment où retentit la sirène signalant que les cours sont finis dans toutes les salles et que le bâtiment doit être évacué. Belle synchronisation !
"Mademoiselle, je crois bien que je n'ai plus rien à vous apprendre !", ne peut s'empêcher de lâcher Mentor.
"C'est que j'ai eu un professeur très motivant, monsieur le Professeur !"
La formation dure la journée, avec quelques pauses où divers élèves viennent l'aborder ... mais pas celle qui avait attiré mon regard. Elle reste prudemment à distance, tout en le dévorant discrètement des yeux. Mentor n'ose l'aborder lui-même sous peine d'attirer l'attention, voire la jalousie, de ceux qui sont directement venus me questionner. La journée va se terminer et il n'a toujours pas pu approcher l'élève en question. Quand la cloche sonne, et que c'est l'heure des au revoir (peut-être même des adieux avec la plupart des élèves), le professeur prend son courage à deux mains ... "Mademoiselle ?"
"Ouiiii ?" lui répond amusée la belle inconnue, avec un sourire en coin et des yeux gourmands, avant d'ajouter "Vous pouvez m'appeler Galatée".
La salle de classe se vide pendant qu'ils échangent des civilités puis, dans un silence gêné, un claquement de porte résonne dans l'amphithéâtre, indiquant que tout le monde est sorti. Le professeur et l'élève sont seuls dans cette grand pièce.
Sentant le trouble de son aîné et le comprenant comme une invitation, Galatée prend les devants et se rapproche dangereusement en ajoutant d'une voix douce comme le miel : "Professeur, j'ai beaucoup aimé votre cours. J'aimerais beaucoup approfondir le sujet avec vous ...".
Le temps de réfléchir à ce qu'il pourrait répondre d'intelligent à ça, elle est déjà collée à son torse. Mentor sent les petits seins de son élève pointer contre lui ... et son sexe se met instantanément à gonfler dans son pantalon. Il est soudain angoissé à l'idée que quelqu'un (un gardien, une femme de ménage) puisse entrer dans l'amphithéâtre mais elle ne lui laisse pas le temps de réfléchir. Elle se serre davantage, glisse ses doigts sous la chemise de l'enseignant et colle son bassin au bas-ventre déjà en relief. "Hum, professeur, je sens que vous n'avez pas exposé tous vos arguments".
Il reste figé et elle continue à prendre les initiatives ! Ses bras s'enroulent comme des lianes autour de lui et elle lui donne un baiser torride durant lequel sa langue semble elle-aussi s'enroule autour de celle du professeur; un vrai boa constricteur !
Perdant la tête, oubliant où ils sont, Mentor lui rend le baiser ... mais il n'est pas au bout de ses surprises. Les mains de Galatée glissent jusqu'à son pantalon, dégrafent tout ce qui fait obstacle, et extirpent son sexe tendu de sa prison de toile. Le voilà sexe à l'air, avec des mains bien agrippées dessus, à échanger un baiser avec une jeune femme, une élève qui plus est, en pleine salle de cours !
Tenant le sexe de Mentor d'une main, Galatée pose l'autre sur son torse et pousse le professeur vers l'arrière. Il est déséquilibré. Il recule, recule ... comme une proie acculée face à son prédateur mais sans jamais pouvoir trop s'éloigner vu qu'elle le tient fermement par le sexe. Son pantalon a glissé jusqu'à ses chevilles et il sautille maladroitement pour ne pas m'affaler ridiculement en arrière. Finalement, il heurte une chaise et se retrouve assis. Plus moyen de s'échapper !
Il jette un œil, à droite, à gauche, la salle est manifestement déserte et comme le gardien lui avait de toute façon laissé les clés pour fermer ... La femme de ménage n'interviendra que le lendemain matin. Ils ont toute la soirée pour "réviser".
Quand son esprit revient au présent, il réalise que Galatée n'était, quant à elle, pas du tout préoccupée par ces considérations logistiques ou de gestion du personnel. C'est une élève efficace qui va directement à l'essentiel !
Ses lèvres, chaudes et humides, ont déjà commencé à engloutir le bout de son sexe, et sa langue à le caresser de mouvements circulaires, provoquant, accentuant encore, son gonflement. Mais elle veut en voir plus et, sans laisser sortir le pénis de sa bouche, avec ses deux mains libres, elle achève de défaire sa chemise, et de plaquer le pantalon au sol.
Débarrassée de ces encombrants vêtements, elle peut enfin observer, manipuler, aisément et totalement, le sexe du professeur, et le professeur lui-même.
Celui-ci s'abandonne complètement et laisse la langue experte de la jeune femme apprécier chaque parcelle, chaque centimètre carré de son sexe et de ses testicules. Quelle sensualité ! Quelle gourmandise ! Elle ne semble jamais rassasiée ce qui laisse sans voix ... le beau-parleur professionnel. Elle déguste et il la laisse déguster !
Durant de longues et prodigieuses minutes, Mentor est assis sur sa chaise de classe, derrière le pupitre de l'amphithéâtre, pantalon aux chevilles. Galatée est accroupie, la tête entre les cuisses de sa proie, tenant le professeur par la base du sexe et jouant avec sa bouche et sa langue, savourant chaque parcelle, admirant de temps en temps l'objet de son désir pour ensuite mieux le reprendre dans sa bouche, le lécher avec encore plus d'appétit.
Mentor s'abandonne, la tête basculée en arrière, tout en essayant d'ôter ce fichu pantalon qui lui entrave les chevilles !
Sentant peut-être son envie de passer à autre chose (bien que cette "torture" soit délicieuse), Galatée se redresse et entame un suave strip-tease. Elle fait délicatement glisser son propre pantalon, moulant à souhait, puis, en déboutonnant lentement son chemisier, elle ondule en sous-vêtements noirs très suggestifs, hypnotiquement. Les yeux de Mentor en sortent presque de leurs orbites. Il se sent irrésistiblement attiré par la peau laiteuse, humide de désir, de son incroyable élève.
Après quelques insoutenables minutes d'effeuillage, totalement débarrassée de ses vêtements et sous-vêtements, Galatée vient t'asseoir sur lui, yeux dans les yeux. Que dis-je ? Elle vient s'empaler sur lui ! D'abord en lui faisant face, pour mieux l'embrasser.
Mentor suit le rythme de ses mouvements de hanche, lui caressant les seins et embrassant chaque parcelle de sa peau, douce comme de la soie, passant à portée de ses lèvres et de sa langue.
La cadence augmente, et il contribue à s'enfoncer plus profond en elle en soulevant son propre bassin, bien que toujours assis sur sa chaise.
Au bout d'un moment, elle décide, dominatrice, de changer de côté. Elle se redresse, lui tourne le dos et revient s'asseoir sur le sexe, érigé telle une colonne dédiée au culte de sa Muse. Le spectacle de son dos, de sa fantastique chute de reins, de ses fesses en mouvement excitent Mentor encore davantage ! Ses mains caressent la peau de la jeune Galatée; parfois glissant jusqu'à ses fesses pour les malaxer, pour les saisir fermement et les guider de façon à ce qu'elle s'empale encore plus sur son pénis déchaîné.
Mentor aventure aussi quelques doigts, par devant, sur le pubis épilé de Galatée, pour caresser son clitoris ... Dans le même temps, par derrière, l'autre main se fait coquine, en laissant un pouce chatouiller son anus lubrifié par tant de "jus d'amour" ...
Le coït est maintenant double, les caresses multiples : le pénis profondément enfoui dans le vagin, et un pouce introduit dans son anus serré mais accueillant ; et le tout couronné de caresses, de la main libre, sur les seins fermes ou sur le clitoris.
L'orgasme est proche pour les deux ! Et il explose au moment où retentit la sirène signalant que les cours sont finis dans toutes les salles et que le bâtiment doit être évacué. Belle synchronisation !
"Mademoiselle, je crois bien que je n'ai plus rien à vous apprendre !", ne peut s'empêcher de lâcher Mentor.
"C'est que j'ai eu un professeur très motivant, monsieur le Professeur !"
Sylvestre
Dryade est au volant de sa voiture, en route vers l'aventure. Sylvain lui a donné rendez-vous dans un petit endroit tranquille, en pleine campagne, éloigné de toutes les turbulences de la ville.
L'endroit est désert, il n'y a qu'une berline noire garée en bordure du petit chemin. Rien qu'à sa vue, le cœur de la jeune femme s'emballe. Elle se gare derrière le gros véhicule et se dirige vers le sentier très boisé. Son apollon est là, trente mètres plus bas, assis sur une couverture, au bord d'un lac. Les deux amants sont entourés d'une forêt calme et verdoyante. L'endroit est splendide et abrité des regards indiscrets. Le lieu parfait pour des hédonistes qui affectionnent une certaine discrétion. Une pensée lui traverse l'esprit : ici personne ne peut l'entendre, elle peut se laisser aller.
L'endroit est désert, il n'y a qu'une berline noire garée en bordure du petit chemin. Rien qu'à sa vue, le cœur de la jeune femme s'emballe. Elle se gare derrière le gros véhicule et se dirige vers le sentier très boisé. Son apollon est là, trente mètres plus bas, assis sur une couverture, au bord d'un lac. Les deux amants sont entourés d'une forêt calme et verdoyante. L'endroit est splendide et abrité des regards indiscrets. Le lieu parfait pour des hédonistes qui affectionnent une certaine discrétion. Une pensée lui traverse l'esprit : ici personne ne peut l'entendre, elle peut se laisser aller.
Sylvain se lève pour l'accueillir, beau et sexy en diable, en tenue très décontractée. Des papillons chatouillent le ventre de Dryade qui le rejoint. A ce moment précis, elle sait déjà que leurs retrouvailles vont être torrides. Sans un mot, le regard fiévreux, elle fait les quelques pas qui les séparent, les mains viriles s'emparent de son visage et, enfin, leurs bouches se rencontrent. Cette bouche qu'elle attendait depuis si longtemps....cette langue masculine qui se fraie un chemin entre ses lèvres gourmandes ... Elle enroule ses bras fins autour de la taille de son homme des bois et se colle à lui. Elle sent Priape (le surnom qu'elle donne au sexe de son amant), dur contre sa hanche et elle sait ainsi qu'il est ravi de la retrouver.
Dryade enlace Sylvain comme une liane autour d'un tronc d'arbre; presque jusqu'à l'étouffer tant elle est heureuse de le retrouver. Leur baiser devient plus ardent, le désir monte de plus en plus entre eux. Elle glisse les mains sous son t-shirt afin de caresser sa peau, douce et chaude, et le lui enlève. Elle n'a qu'une envie : les débarrasser de tous ces tissus qui les séparent encore.
Sylvain est torse nu et les mains douces de sa nymphe le caressent, parfois même ses ongles électrisent le bas du dos, aux musclés bandés, et elle se colle de plus en plus fermement à lui. Sentir son pénis durci sous le pantalon, collé à son bassin, semble l'émoustiller encore davantage. Les mains de la belle enflammée essaient maintenant de lui ôter le bas. Ses doigts cherchent fiévreusement à défaire le ceinturon, à baisser son pantalon, à enlever tout vêtement ou sous-vêtement entre sa peau et la peau de son amant.
Lui aussi veut sentir le corps nu de sa muse contre lui. Il l'embrasse fiévreusement. Il goûte la langue de sa belle, puis la peau de son cou, de ses oreilles. Des frissons parcourent la peau de Dryade jusqu'au bout des seins. Les mains de l'homme glissent sous le chemisier soyeux, jouent avec son soutien-gorge. Il déboutonne tout ce que ses doigts rencontrent, et bientôt, elle est à ton tour dévêtue ... du moins en haut.
Il n'a "malheureusement" pas le temps de finir mon ouvrage, de la déshabiller entièrement. Portée par son impatience, Dryade glisse le long du large torse. Sa langue caresse au passage le cou, les pectoraux, le ventre ferme de son amant et se dirige tout droit vers un ami de longue date .. un certain Priape qu'elle n'a plus honoré depuis fort longtemps. Les retrouvailles vont être très, très gourmandes.
Agenouillée, le visage au niveau du sexe en érection, Dryade reste figée un instant, comme pour l'admirer, l'observer en détail avant de le toucher. Puis elle en saisit la base, entre son pouce et son index, et le serre jusqu'à en faire saillir les veines et faire gonfler son extrémité. Le gland apparaît comme une grosse fraise, juteuse à souhait. Il n'en faut pas plus pour stimuler la gourmandise de l'intrépide jeune femme. Sans lâcher la prise à la base du sexe, elle commence à le lécher, avec la pointe de ta langue, lentement, savourant chaque contact. Puis progressivement, elle se met à le lécher comme une glace, avec toute la langue, remontant de bas en haut, pour qu'aucune goutte n'échappe à la dégustation. Cet intermède bien savouré, Dryade entame une deuxième phase : mettre autant de Priape dans sa bouche que possible. Ses mouvements de tête d'avant en arrière enfournent à chaque aller-retour un centimètre supplémentaire au fond de sa gorge. Elle sent son excitation monter jusqu'à ne plus pouvoir se contrôler. Sylvain doit absolument l'arrêter s'il veut résister à l'éjaculation qui va le secouer telle une éruption volcanique.
D'une poigne de fer, il attrape sa belle avant qu'elle ne l'aspire complètement. Sylvain la redresse, la retourne et la plaque contre un arbre, sans un mot. Elle pose ses mains sur le tronc et observe avec excitation ce que son amant lui réserve. Il fait glisser la culotte déjà trempée jusqu'à ses chevilles puis lui empoigne fermement les fesses. Sa croupe est là, à portée de langue, offerte, juteuse, prête à être dégustée. Délicatement, avec les pouces, il écarte les fesses et plonge sa langue dans le nectar. Dryade répond à la caresse avec un gémissement de plaisir. La langue de son amant glisse sur ses grandes lèvres, remonte jusqu'au clitoris, le titille, puis glisse l'intérieur du vagin, avant de revenir au clitoris. Le cunnilingus se poursuit de longues et savoureuses minutes. Plus le temps passe et plus Dryade repose son torse sur le tronc, les mains posées au niveau des seins pour ne pas subir la rugosité de l'écorce. Elle se cambre de plus en plus et s'ouvre aux caresses exploratrices de Sylvain. Il remonte alors de quelques centimètres pour l'honorer d'un "pétale de rose" (un romantique anulingus). La sensibilité de la peau en cet endroit provoque des frissons à celle qui reçoit la caresse. C'en est trop, elle veut passer aux choses sérieuses.
Dryade se retourne, fait face à Sylvain et le rejoint au niveau du sol. Elle se met à quatre pattes, fait quelques pas dans cette position, le regard rivé dans celui de son amant, et la croupe relevée, lubrifiée à souhait. Un irrésistible chant de sirène perce entre ses dents éclatantes : "Viiiiens !"; parole qu'elle associe à un geste tout aussi explicite : le saisissant par "Priape" et le tirant jusqu'à elle. Sylvain n'a plus qu'à s'abandonner aux désirs de celle qui tient les commandes ... plus précisément : celle qui tient le manche.
Sylvain saisit fermement le bassin de Dryade, pointe son gland sur les lèvres gonflées et juteuses de son sexe, puis, centimètre par centimètre, s'enfonce irrésistiblement au plus profond d'elle. Et quand il s'y est engouffré jusqu'à la garde, il poursuit son geste en la tirant fermement à lui tout en donnant un coup de rein supplémentaire. Elle se sent emplie totalement, furieusement. Sylvain répète l'opération puis, progressivement, accélère la cadence. Le coït devient animal, sauvage. Dryade ne peut plus tenir la position sur les mains et les genoux. Elle s'incline et son buste vient se plaquer sur le sol, relevant à l'extrême sa croupe pilonnée par les va-et-vient de "Priape". Elle dévoile ainsi son orifice le plus serré, zone de chair rose sur fond de peau bronzée. Déchaîné par le désir, enivré par le plaisir, Sylvain veut posséder sa compagne totalement. Il se redresse, en appui sur les pieds, jambes légèrement fléchies et guide son sexe à l'entrée de l'anus. Entre humidité des sous-bois, salive en abondance et sécrétions diverses, plus besoin de songer à une lubrification supplémentaire. Le sexe de Sylvain pourtant gonflé au maximum s'y enfonce comme une épée dans l'eau. Dryade ne peut retenir un gémissement bestial d'extase. Il n'en faut guère plus pour mettre en transe son amant. Les va-et-vient s'emballent, "Priape" s'enfonçant verticalement, de haut en bas, dans la croupe dressée vers la cime des arbres.
Quelques minutes plus tard, l'orgasme les saisit tous les deux tel un feu de forêt, intense, brûlant et crépitant !
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