jeudi 26 février 2015

Dans l'obscurité de la nuit.



C'est une invitation d'une connaissance commune qui va les réunir, sans préméditation. Un ami d'ami convie Érèbe à une soirée qu'il organise dans sa grande, très grande maison, au bord de la plage; plage du lagon.

Quand il arrive à la fête, il fait déjà nuit noire, le quartier est rempli de voitures, et la musique à peine étouffée s'entend de loin. Il y a un va-et-vient d'invités dans la pénombre, chacun amenant bouteilles d'alcool ou divers présents pour une soirée qui s'annonce placée sous le signe de la grosse, grosse fête, buffet à volonté et fontaines d'alcool (et autres fumeries euphorisantes).


La maison est vraiment immense et la foule agitée par la musique. DJ et jeux de lumière sont dans la place. La foule est comme la mer, avec ses flux et reflux. On s'y perd. Érèbe boit quelques verres et explore tantôt la grande cour, où les gens se trémoussent, tantôt les buffets et bars qui l'entourent, tantôt les différentes pièces ouvertes au public au rez-de-chaussée. Il aperçoit également que des portillons au bout de la cour donnent sur la plage de filaos, directement sur le lagon.

Et puis soudain, dans la foule, deux regards se croisent ! Nyx est là ! Le battement cardiaque d'Erèbe s'accélère ... et le sang se propulse dans tous ses organes. Il a chaud et son bas-ventre encore plus. Mais comment l'aborder ?!  Elle n'est pas venue seule ...
Heureusement, quelques signes de tête et regards complices vont leur permettre de communiquer pour, peut-être, s'isoler un instant ! Loin des regards ... Hum !

La musique est assourdissante et, l'alcool aidant, les bribes de conversation se perdent et les invités aussi. On se disperse, on se retrouve, plus personne ne s'étonne. C'est au bénéfice de cette confusion généralisée  que les deux âmes sœurs en profitent, sur un simple échange de regard et mouvement de tête pour s'inviter à se retrouver loin du bruit, au fond de la maison. Le noctambule a repéré un escalier qui mène à l'étage ...

Elle répond immédiatement à son signe de tête en le suivant discrètement. Il entre dans la maison où de nombreux invités dégustent leurs verres avachis sur des canapés, ou traversent simplement les pièces en riant. Il s'arrête un instant pour vérifier que la belle ne l'a pas perdu de vue ... oui, elle est bien là, à le suivre en feignant de l'ignorer. Elle est splendide, la silhouette moulée dans une robe de soirée satinée. D'ailleurs, on note que, sur son passage, plusieurs mâles pourtant assommés par la boisson détournent ostensiblement leur regard pour admirer ses courbes postérieures.

Arrivé au pied de l'escalier, dans la pénombre, Érèbe se retourne une dernière fois et s'engage à l'étage. En montant, le son de la musique est étouffé et il entend bientôt le bruit de ses talons sur les marches en bois. Il y a un couloir (qui semble faire le tour de la maison) mais les portes sont verrouillées. Le maître des lieux a anticipé que cela risquait vite de se transformer en orgie à l'étage alors, il a pris les devants. Mais qu'importe, la jeune femme rejoint vite son compagnon secret et sans échanger un seul mot, elle vient se plaquer à lui dans une incroyable sensualité. Il la saisit par les hanches et elle colle ses lèves à sa bouche. Les deux complices échangent un baiser passionné tandis qu'il caresse ses reins et prends ses fesses à pleines mains. La langue de l'homme de la nuit caresse celle de la belle mais bientôt, elle commence à jouer avec elle entre ses lèvres. Un mouvement d'avant en arrière qui évoque, sans l'ombre d'un doute, une fellation extrêmement désirée. D'ailleurs, alors qu’ils échangent ce baiser, debout, dans la pénombre, les mains de la jeune femme ont déjà dégrafé son pantalon et avec une douceur irrésistible, elle est en train de le masturber.

Le sexe d'Érèbe est déjà dégoulinant de désir, et dur comme du bois d'ébène (enfin, d'ébène blanc en l'occurrence). Soudain, Nyx interrompt son baiser, regard à droite, regarde à gauche, guettant une éventuelle visite inopportune. Rien ne semble approcher. Alors, elle s'agenouille et enfourne le sexe de l’homme, qu’elle n'avait pas lâché une seconde depuis le premier contact. Elle semble complètement absorbée par la dégustation et pourtant, de temps en temps, elle regarde à nouveau à droite, à gauche, puis, sans dire un mot, elle reprend ses va-et-vient goulus. Le fêtard ténébreux est plaqué au mur tellement elle le saisit avec fermeté et le dévore avec un incroyable appétit.

Mais soudain, il frémit. Le désir va l'emporter et la musique se fait à nouveau entendre. Quelqu'un s'approche, pourtant il a envie de jouir ... Sentant le cruel dilemme, la sensuelle déesse de la nuit accélère la cadence et aspire de toutes tes forces, engouffrant son sexe jusqu'à la garde au fond de sa bouche gourmande. Il jouit et elle aspire tout alors que les premiers pas se font entendre au bas de l'escalier. Telle Cendrillon pressée de quitter le bal, elle doit abandonner ta proie (non sans un dernier baiser sur le gland). Elle relâche donc son sexe (et lui, accessoirement) et s'enfuit discrètement au bout du couloir pour éviter le visiteur imprudent en prononçant enfin les premiers mots de la soirée : "A tout à l'heure ...".

Quelle promesse ! Érèbe qui croyait avoir déjà tout donné ... Il a juste le temps de se rhabiller  qu'un individu visiblement complètement saoul apparaît en haut de l'escalier, au bout de couloir. Il s'adresse à lui dans une voix incompréhensible "Mm ... toilettes?". Reprenant ses esprits, Érèbe lui répond qu’il ne les a pas trouvées et redescend sans croiser son amante. Il devait y avoir plusieurs accès.


Il a besoin de reprendre des forces car il se sent ... comme qui dirait ... vidé (de son fluide vital). Il file au bar le plus proche et mange un peu pour prendre de l'énergie. La foule est encore plus nombreuse et déchaînée que tout à l'heure. Il s'y perd.

Il  ne retrouve pas sa promise tout de suite. Et puis si, de loin. D'abord, elle ne le voit pas. Puis, si. Un regard en coin discret mais coquin, ô oui, très coquin, qui parle de lui même. Ce qu’elle vient de s'offrir n'était qu'une mise en bouche (c'est le cas de le dire) et elle n'a pas l'intention de s'arrêter là. La plage est grande, obscure et offre plein d'opportunités. D'ailleurs, quelques couples (légitimes, eux) ont commencé à squatter les parterres verts qui bordent la clôture de la propriété mais au loin, cela semble plus sauvage.

Plus sauvage comme cette silhouette féline, drapée de satin, qui s'éloigne dans l'obscurité. Eh ! Mais c'est elle. Le Marquis a du mal à la suivre. Elle a dû passer sans qu’il la voit. Vite, il sort sur la plage et serpente entre les filaos. Elle est allée loin déjà. Aucune chance d'être vus (ou si peu). Mais où est-elle ? Mince, ce serait trop bête de ne pas te retrouver !

Et puis, surgissant de derrière un arbre,  elle le saisit par le col et l'empoigne pour lui donner un long, savoureux et si intense baiser. Cachés derrière l'arbre, mais à peine, et surtout dissimulés aux regards par le contre-jour, entre les lumières de la fête lointaine et la noirceur de la nuit, leurs corps sont collés l'un à l'autre, fondus l'un dans l'autre. Les mains de la jeune femme caressent la nuque de son bel amant, ses lèvres l'aspirent et sa langue explore la bouche de cet homme avec une passion ... insatiable.
Mais lui, c'est sous sa robe satinée qu’il a envie de glisser les mains. Il profite d'une fente sur le côté pour s'y glisser. Il découvre du bout des doigts une étoffe tout aussi douce que la robe, vraiment une fine étoffe, avec à peine une ficelle entre les fesses et un triangle déjà largement mouillé sur le sexe épilé de la belle. Ses doigts s'insinuent délicatement et la caressent. Il n'y tient plus. Il veut y goûter. Il remonte la robe jusqu'à la taille et, soyons fous, il glisse ses deux mains sous les fesses de la jeune femme éperdue de désir et ... la soulève pour porter son sexe jusqu'à sa bouche. Dans une position ô combien acrobatique, elle se retrouve ainsi entre ciel et terre, les cuisses sur les épaules de son mâle, dont la langue est dans son sexe et ses mains sous ses fesses. Elle plane littéralement et elle s'accroche aux branches (faute d'avoir un rideau à grimper). Le cunnilingus dure de longues et savoureuses minutes. Le string est mis de côté; joli, certes, mais encombrant. Érèbe va-t-il  l'arracher ? Mm, il réfléchit ... Pendant que sa langue explore le sexe de la belle, du clitoris aux lèvres, des lèvres au clitoris, ses pouces coquins s'amusent à écarter les fesses galbée du superbe « fruit » qu’il est en train de dévorer et même à caresser son anus tout aussi mouillé que son sexe. De temps en temps, il y en a même un qui s'amuse à glisser de quelques millimètres puis de quelques centimètres à l'intérieur.
Je crois qu'il est temps qu’il la repose à terre et qu’il extirpe son sexe tendu de son pantalon. Les choses sérieuses vont commencer !
Érèbe la dépose délicatement sur le sol. Au passage, ils échangent un long baiser d'une terrible sensualité. Leurs corps restent collés pendant qu'elle effectue un demi-tour pour lui présenter son dos ou plutôt sa chute de reins ... Sa robe de satin est remontée au dessus de ses fesses et le sexe du noctambule vient s'y coller, dressé et lubrifié de désir à souhait. Il la taquine en le laissant quelques instant à la verticale, glissant dans la raie des fesses mais sans la pénétrer. Hum, apparemment, elle est trop impatiente pour te contenter de ce petit jeu, surtout après avoir été léchée en profondeur pendant plusieurs minutes, accrochée à une branche, entre (septième) ciel et terre. Nyx se retourne avec un regard passablement énervé, manifestant son impatience et, avec fermeté, elle saisit le sexe d'Érèbe et le positionne à l'entrée de son vagin puis elle se cambre d'un seul coup de rein pour s'empaler sur son "Priape", son "Priape" préféré faudrait-il préciser.  

Cet empalement, qu'elle ressent au plus profond d'elle, t'oblige à lâcher un gémissement de contentement. Elle est comblée, au propre comme au figuré. Cette pénétration a provoqué des vagues de frissons dans tout ton corps. Petit à petit, plus calmement, elle creuse les reins, imprime un mouvement de va-et-vient et rythme la cadence. C'est qu'il lui faut absorber toute cette "viande".
Pendant qu'elle ondule telle une chatte en chaleur, non sans laisser échapper des miaulements de plaisir, les mains de son partenaire courent sur son corps, jouant avec ses petits seins et caressant son clitoris pour redoubler de plaisir. Les caresses se font plus fermes, plus intenses. L'une des mains d'Érèbe passe de sa poitrine si sensible à ses fesses fermes et charnues. Plus il serre fort et plus elle s'offre à ses coups de butoir. Elle en veut de plus en plus, de plus en plus fort. Caresse du clitoris d'une main, pénétration avec le pénis, et caresse entre les fesses avec un doigt explorateur, stimulateur de nouvelles excitations.

Et puis voilà que son désir (et celui de son compagnon nocturne) changent de cible. Il veux la pénétrer par son orifice le plus étroit. Elle l'a deviné et elle anticipe : arrêtant de bouger, elle attrape "Priape" par la base, le sort délicatement de son vagin satisfait et en présente le gland juste à l'entrée de son anus ... Attention, doucement, ça glisse, ouh ! , c'est serré mais ça glisse encore, OUH !, c'est entré ! Le plus gros est dedans et ce n'est toujours pas douloureux, au contraire. C'est une explosion de sensations encore plus fortes que dans le vagin ! Une révélation. Alors, à nouveau, elle ondule à son rythme et lui continue à la masturber en caressant son clitoris, provoquant à chaque passage des éclairs et des feux d'artifice dans tout son corps. Érèbe n'en peut plus, il va jouir !!! Raah ! Que c'est bon !

Lentement, ils redescendent sur terre, ou plutôt sur le sable. Il ne faut pas s'éterniser car, malgré la musique assourdissante et l'alcool qui coule à flots, quelqu'un pourrait finir par remarquer qu'ils se sont tous deux éloignés. Sans un mot, mais après un dernier baiser (prometteur de nouvelles aventures), ils se séparent dans le noir, retournant chacun à leur partie de soirée.
A bientôt noire beauté !

Piscine chauffée

La scène se passe au bord d'une piscine, une piscine privative, à l'abri des regards indiscrets. Le bassin est entouré d'une plage en caillebotis qui sent bon le bois de pin. Quelques transats sont installés tout autour. Mais cet après-midi là, la belle Naïade est seule et profite du soleil pas trop agressif pour s'alanguir. Elle somnole presque. Pour le coup, elle s'est mise à l'aise. D'abord, elle a posé le haut et s'est allongée sur le ventre ... sans se douter que, dans les fourrés, quelqu'un l'observait. Puis, "soyons folle", elle s'est complètement dénudée mais en prenant la précaution de bien s'enduire d'huile protectrice pour ne pas altérer sa peau si douce.

Soudain, un inconnu (enfin, quelqu'un qu’elle a bien connu ... jadis) s'approche en silence et lui murmure à l'oreille : "Besoin d'un peu d'huile de massage, madame ?". Surprise mais pas déçue par cette visite incongrue, oh que non !, elle répond "Mm, ce n'est pas de refus !". Il commence donc par s'exécuter. Chose promise, chose due. Il commence par saisir ses pieds et par masser avec science les points d'acupuncture de la voute plantaire. Cela la détend au-delà de ses espérances. Cette seule zone de son corps  se révèle être une "télécommande" pour tout le reste. Puis, lentement mais sûrement, à grand renfort d'huile glissante et chauffée par le soleil, il remonte le long de ses jambes. L’homme masse ses muscles en profondeur mais sans presser trop fort, seulement en glissant, encore et encore, des pieds jusqu'en haut des cuisses, à la limite des fesses.  

Imperceptiblement, la belle se détend de plus en plus et ... ses cuisses semblent s'entr'ouvrir comme si elles s'apprêtaient à accueillir quelque chose ou quelqu'un. « Hum, ce doit être une illusion d'optique ... » se dit le candide masseur.

Convaincu qu’il a rêvé et qu’elle sait rester (hyper-)sage, y compris dans cette situation disons, "ambiguë", il continue son massage relaxant. Les mains masculines s'attardent sur les fesses qu’il enduit abondamment de liquide visqueux à souhait. Le parfum (du liquide ... quoique la peau elle-même ... !) est enivrant. Bizarrement, attirées comme un aimant, les mains ne veulent plus se détacher de cette partie charnue de son anatomie, au contraire, elles s'attardent, malaxent. Le masseur est hypnotisé ; c'est bien ça ! Ses pouces ne cessent de faire des va-et-vient de la base des  fesses de la femme jusqu'au creux de ses reins et (très involontairement, bien sûr) les écartent de plus en plus pour dévoiler les grandes lèvres déjà juteuses de désir. Ouh ! que le spectacle est tentant ! Et pour ne faciliter en rien sa mission tactile, voici qu’elle se cambre de plus en plus. Elle va jusqu'à porter son sexe, gonflé d'envie et mouillé comme si la bouteille d'huile avait échappé des mains pour s'y déverser en entier, à quelques centimètres de la bouche de l’homme. « Là madame, je crois que vous avez une arrière pensée ! Et je ne suis pas un homme facile ! Oh que non ! Oh que ... » », ne peut-il s’empêcher de penser. Attendez un peu ... .  

Oui, sa langue est déjà en train de la caresser, de lécher avec gourmandise ce fruit juteux et tendre. Comme c'est bon de glisser dedans et d'entendre gémir la belle à chaque petit coup porté, avec la pointe de la langue sur son clitoris. Il a l'impression de déguster un abricot géant, ou une sorte de fruit exotique onctueux et parfumé. En plus, il repère un autre orifice qui palpite juste sous son nez, non loin de son sexe haletant.  Tiens, peut-être que lui aussi veut goûter aux caresses de ma langue. Alors, il se sert d'elle comme d'un gland. Avec la pointe, il joue à simuler une pénétration, bien tendre mais très humide. La lubrification naturelle se mêle à celle de l'huile de massage.

Finalement, le masseur se dit : « Je crois que je vais arrêter le massage à la ceinture. Le dos attendra. Ou alors, je me servirai de mon torse pour te frotter le dos. » Il y a des moments où il faut savoir se "sacrifier".

L’homme ôte ses vêtements, bermuda de bain et t-shirt ... Oh, mais ... Alors qu’il était tranquillement en train d'enlever son t-shirt, à la vitesse de l'éclair, la belle s'est assise sur le bord du transat et (sans lui demander la permission), elle lui a saisi le sexe et l'a goulument enfoncé dans sa bouche ! « Madame ! En voilà des façons ! »
« Hum ! C'est que vous savez y faire ! » Tout y passe. Les testicules sont léchées et même aspirées (oulala, pas trop fort quand même), la langue remonte des testicules jusqu'au gland, lèche, suce, aspire. Le pénis devient dur comme de la pierre, mais savonneuse. La dégustation dure, c'est divin, irrésistible !
Et puis, elle décide de changer de jeu. Maintenant, elle le veut dedans. Elle veut qu’il la remplisse entièrement. Alors, elle se remet en position, sur le transat, à quatre pattes. On dirait deux savonnettes tellement ils sont glissants, lubrifiés, dégoulinant de sécrétions et de désirs. L’étalon s'enfonce complètement en elle d'un simple coup de rein, presque sans sentir la caresse sublime de son vagin tout le long de son sexe. Pourtant, elle est serrée, oh combien, avec les parois gonflées par tous ces préliminaires, et même plus excitée par la fellation qu'elle lui a prodiguée que par les cunnilingus et anulingus dont il l'a gratifiée.
La levrette est un délice pour les deux mais l’homme veut y aller encore plus fort. Ses coups de reins se font plus percutants. La belle ne tient plus l'équilibre sur ses genoux et ses mains. Il lui faut s'allonger et là, le bassin de l’homme surexcité écrase ses fesses, son pénis s'enfonce en elle comme s'il allait la traverser, et même traverser le transat ! Il l'enjambe d'ailleurs, le transat, et maintenant, elle est à l'horizontale tandis que lui est à la verticale. Son pénis, tel un foret s'enfonce en elle de haut en bas ! C’est un pilon ! Ses mains enserrent ton bassin et "sournoisement" un doigt s'égare pour accompagner la pénétration du vagin par son pénis, par une pénétration avec le doigt de l’anus. La double pénétration, toutes proportions gardées, ne tarde pas à leur apporter ce "coup de pouce" pour atteindre la jouissance !
Oh comme c'était bon ! Tendre et caressant au début, presque violent à la fin ...
"Décidément, vous avez une ... belle piscine madame."

jeudi 19 février 2015

Amour et puissance créatrice

Éros (en grec ancien Ἔρως / Érôs) est le dieu de l’Amour et de la puissance créatrice.

 Psyché ranimée par le baiser de l’Amour
 Antonio Canova (1757 - 1822)