vendredi 30 octobre 2015

Assemblée générale au collège

Une fois par trimestre, les professeurs et les représentants des parents d'élèves se réunissent. C'est une réunion longue, répétitive et, il faut l'avouer, assez ennuyeuse.
Mais c'est aussi l'occasion de l'apercevoir. Elle ! Celle qui fait battre son coeur et ... tendre la toile de ses sous-vêtements.
La réunion s'éternisant, les regards se croisent, discrètement bien sûr, mais de plus en plus insistants.
Alors, le prof ne se contient plus. Au diable les soupçons !
Il se lève et fait mine de se rendre dans sa classe mais part en réalité se cacher dans les toilettes de l'établissement, la dernière cabine des dames.
Comprenant le message, la mère d'élève esquisse un sourire puis attend. Attend de longues minutes. Puis elle se lève et part à son tour dans la cabine des toilettes.
Aussitôt la porte verrouillée, les deux amants échangent un baiser d'une rare intensité. Leurs corps sont parcourus d'un frisson d'excitation. Mais ce n'est pas aujourd'hui qu'ils pourront s'ennivrer et se laisser totalement aller. La cabine est trop exigue, les murs et la porte ne pourraient absolument pas étouffer les gémissements de jouissance. Alors, il faudra se contenter d'une "mise en bouche", d'une délicieuse mise en bouche.
De ses mains expertes, la mère d'élève dégraffe le pantalon de son professeur préféré, le fait glisser jusqu'aux chevilles et s'empare avec avidité du pénis dressé tant convoité.
Sans plus attendre, elle goûte au gland rouge et gonflé, avec sa langue, avec ses lèvres. Elle fait onduler sa tête d'avant en arrière, aspirant le sexe pour le gonfler plus encore, pour en savourer les arômes si excitants. Elle lèche le membre durci, s'attarde sur les testicules qu'elle aime aspirer, et masturbe avec ses doigts délicats cette colonne tendue vers le ciel.
Elle sent que son amant va jouir et ne veut rien perdre de son fluide vital. Alors, elle enfonce le sexe jusqu'au fond de sa gorge et boit jusqu'à la dernière goutte tout ce qu'il peut lui donner.
Ainsi rassasiée, elle s'essuie pudiquement la bouche, plante ses yeux dans ceux du prof qui a la tête visiblement dans le nuages et d'une voix feutrée, lui fait promettre de l'autoriser à recommencer autant de fois qu'elle le voudra. Ceci et bien plus encore.
Ensuite, comme si de rien était, elle retourne dans la salle de réunion et y assiste jusqu'au bout, sans regretter, pour une fois, d'y être venue.

jeudi 29 octobre 2015

"Venez dans mon bureau, s'il vous plaît."

Sahayaka est une jolie brune, d'origine étrangère. Pour obtenir son poste d'assistante de direction, elle a dû se montrer largement supérieure aux autres candidats ou candidates. Mais maintenant qu'elle est embauchée, on ne laisse pas se reposer. La pression ne retombe absolument pas ! Au contraire : elle a été surchargée de travail ces derniers mois. En plus de ses tâches bureautiques et administratives habituelles, elle doit s'occuper d'organiser toutes sortes d'événements promotionnels. En clair, elle doit travailler deux fois plus que les autres et en plus incarner une belle image de la société.

Aujourd'hui, comble du stress, le grand patron la convoque pour faire le bilan de sa période probatoire. Un patron austère et très exigeant. L'angoisse tord le ventre de la jeune mais fatiguée Sahayaka.

Ce qu'elle craignait survient. Le patron passe en revue tous les manquements, aussi petits soient-ils, que son assistante a pu commettre. Trop nouée pour répondre que la surcharge de travail est responsable de ces détails ratés, Sahayaka n'arrive pas à argumenter. Au lieu de se défendre, elle s'écroule. Et laisse couler son émotion.   

Le patron se lève alors et, attitude totalement inattendue de sa part, s'approche d'elle pour la consoler. Presque paternellement, il lui dit : "Allons, allons, ne vous mettez pas dans cet état.". Mais au lieu de se calmer, la jeune femme s'effondre, exténuée, submergée par le stress accumulé.
Le comportement du patron devient plus tactile. Il la prend dans ses bras et ajoute : " Voyons, une jolie femme comme vous, ... Vous avez beaucoup d'atouts vous savez."

Sans prévenir, il se met à déboutonner le tailleur et le chemisier de la jeune assistante. Ses mains fermes empoignent la poitrine dénudée et sa bouche virile se pose d'abord sur le front, puis dans le cou et enfin sur les seins de l'assistante de direction. Incrédule et trop émue pour réagir, elle se laisse totalement faire.

Au bout d'un agréable moment, elle sent les mains du patron se glisser sous ses fesses et la soulever pour la poser sur le bureau. Continuant de prendre l'initiative, dominateur, il relève la jupe et enlève d'un coup sec la petite culotte visiblement humide. Puis plonge son visage entre les cuisses de celle qu'il console d'une façon très particulière. La langue s'insinue partout et produit l'effet escompté. Sahayaka a oublié son émotion, son stress, sa fatigue. En fait, elle a même oublié qu'elle se trouvait dans le bureau (sur le bureau !) de son patron et elle s'allonge pour s'ouvrir encore plus à la caresse, au délicieux cunnilingus.

Sentant, goûtant, l'excitation de la jeune femme et étant lui même extrêmement excité, le patron ôte à toute vitesse son pantalon et son caleçon, et s'enfonce vigoureusement dans le sexe gonflé et abondamment lubrifié de la belle assistante. Elle se cambre de plaisir ! Elle noue ses jambes autour des reins et cherche à l'attirer au plus profond d'elle.

Puis elle se lâche, oubliant la hiérarchie et laissant libre cours à son désir, et lui susurre :  "Tu me donnes tellement de plaisir ... Je n'ai qu'une envie, t'en donner aussi ...  J'ai envie de toi dans ma bouche....là, tout de suite, maintenant... ".

Le patron recule d'un pas, Sahayaka descend du bureau, s'accroupit et empoigne le sexe de son patron pour mieux l'enfourner dans sa bouche. Gourmande, elle aspire, lèche, suce, caresse ce membre dressé. Elle l'admire avec ses yeux, le goûte avec sa langue puis, sentant que le frisson de l'orgasme va les secouer tous les deux, reprend le sexe du patron jusqu'au fond de sa gorge. Il jouit et elle jouit en se caressant au même moment.

Penaude, elle relève les yeux et s'excuse presque : "Pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher". Le patron, le visage empourpré la rassure : "C'était parfait ! Nous aurons l'occasion de refaire le bilan. Revenez-me voir dans mon bureau, disons, ... demain !".