Sahayaka est une jolie brune, d'origine étrangère. Pour obtenir son poste d'assistante de direction, elle a dû se montrer largement supérieure aux autres candidats ou candidates. Mais maintenant qu'elle est embauchée, on ne laisse pas se reposer. La pression ne retombe absolument pas ! Au contraire : elle a été surchargée de travail ces derniers mois. En plus de ses tâches bureautiques et administratives habituelles, elle doit s'occuper d'organiser toutes sortes d'événements promotionnels. En clair, elle doit travailler deux fois plus que les autres et en plus incarner une belle image de la société.
Aujourd'hui, comble du stress, le grand patron la convoque pour faire le bilan de sa période probatoire. Un patron austère et très exigeant. L'angoisse tord le ventre de la jeune mais fatiguée Sahayaka.
Ce qu'elle craignait survient. Le patron passe en revue tous les manquements, aussi petits soient-ils, que son assistante a pu commettre. Trop nouée pour répondre que la surcharge de travail est responsable de ces détails ratés, Sahayaka n'arrive pas à argumenter. Au lieu de se défendre, elle s'écroule. Et laisse couler son émotion.
Le patron se lève alors et, attitude totalement inattendue de sa part, s'approche d'elle pour la consoler. Presque paternellement, il lui dit : "Allons, allons, ne vous mettez pas dans cet état.". Mais au lieu de se calmer, la jeune femme s'effondre, exténuée, submergée par le stress accumulé.
Le comportement du patron devient plus tactile. Il la prend dans ses bras et ajoute : " Voyons, une jolie femme comme vous, ... Vous avez beaucoup d'atouts vous savez."
Sans prévenir, il se met à déboutonner le tailleur et le chemisier de la jeune assistante. Ses mains fermes empoignent la poitrine dénudée et sa bouche virile se pose d'abord sur le front, puis dans le cou et enfin sur les seins de l'assistante de direction. Incrédule et trop émue pour réagir, elle se laisse totalement faire.
Au bout d'un agréable moment, elle sent les mains du patron se glisser sous ses fesses et la soulever pour la poser sur le bureau. Continuant de prendre l'initiative, dominateur, il relève la jupe et enlève d'un coup sec la petite culotte visiblement humide. Puis plonge son visage entre les cuisses de celle qu'il console d'une façon très particulière. La langue s'insinue partout et produit l'effet escompté. Sahayaka a oublié son émotion, son stress, sa fatigue. En fait, elle a même oublié qu'elle se trouvait dans le bureau (sur le bureau !) de son patron et elle s'allonge pour s'ouvrir encore plus à la caresse, au délicieux cunnilingus.
Sentant, goûtant, l'excitation de la jeune femme et étant lui même extrêmement excité, le patron ôte à toute vitesse son pantalon et son caleçon, et s'enfonce vigoureusement dans le sexe gonflé et abondamment lubrifié de la belle assistante. Elle se cambre de plaisir ! Elle noue ses jambes autour des reins et cherche à l'attirer au plus profond d'elle.
Puis elle se lâche, oubliant la hiérarchie et laissant libre cours à son désir, et lui susurre : "Tu me donnes tellement de plaisir ... Je n'ai qu'une envie, t'en donner
aussi ... J'ai envie de toi dans ma bouche....là, tout de suite, maintenant... ".
Le patron recule d'un pas, Sahayaka descend du bureau, s'accroupit et empoigne le sexe de son patron pour mieux l'enfourner dans sa bouche. Gourmande, elle aspire, lèche, suce, caresse ce membre dressé. Elle l'admire avec ses yeux, le goûte avec sa langue puis, sentant que le frisson de l'orgasme va les secouer tous les deux, reprend le sexe du patron jusqu'au fond de sa gorge. Il jouit et elle jouit en se caressant au même moment.
Penaude, elle relève les yeux et s'excuse presque : "Pardon, je n'ai pas pu m'en empêcher". Le patron, le visage empourpré la rassure : "C'était parfait ! Nous aurons l'occasion de refaire le bilan. Revenez-me voir dans mon bureau, disons, ... demain !".
Sahāyaka, signifie "assistante" en hindi.
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