jeudi 26 février 2015

Piscine chauffée

La scène se passe au bord d'une piscine, une piscine privative, à l'abri des regards indiscrets. Le bassin est entouré d'une plage en caillebotis qui sent bon le bois de pin. Quelques transats sont installés tout autour. Mais cet après-midi là, la belle Naïade est seule et profite du soleil pas trop agressif pour s'alanguir. Elle somnole presque. Pour le coup, elle s'est mise à l'aise. D'abord, elle a posé le haut et s'est allongée sur le ventre ... sans se douter que, dans les fourrés, quelqu'un l'observait. Puis, "soyons folle", elle s'est complètement dénudée mais en prenant la précaution de bien s'enduire d'huile protectrice pour ne pas altérer sa peau si douce.

Soudain, un inconnu (enfin, quelqu'un qu’elle a bien connu ... jadis) s'approche en silence et lui murmure à l'oreille : "Besoin d'un peu d'huile de massage, madame ?". Surprise mais pas déçue par cette visite incongrue, oh que non !, elle répond "Mm, ce n'est pas de refus !". Il commence donc par s'exécuter. Chose promise, chose due. Il commence par saisir ses pieds et par masser avec science les points d'acupuncture de la voute plantaire. Cela la détend au-delà de ses espérances. Cette seule zone de son corps  se révèle être une "télécommande" pour tout le reste. Puis, lentement mais sûrement, à grand renfort d'huile glissante et chauffée par le soleil, il remonte le long de ses jambes. L’homme masse ses muscles en profondeur mais sans presser trop fort, seulement en glissant, encore et encore, des pieds jusqu'en haut des cuisses, à la limite des fesses.  

Imperceptiblement, la belle se détend de plus en plus et ... ses cuisses semblent s'entr'ouvrir comme si elles s'apprêtaient à accueillir quelque chose ou quelqu'un. « Hum, ce doit être une illusion d'optique ... » se dit le candide masseur.

Convaincu qu’il a rêvé et qu’elle sait rester (hyper-)sage, y compris dans cette situation disons, "ambiguë", il continue son massage relaxant. Les mains masculines s'attardent sur les fesses qu’il enduit abondamment de liquide visqueux à souhait. Le parfum (du liquide ... quoique la peau elle-même ... !) est enivrant. Bizarrement, attirées comme un aimant, les mains ne veulent plus se détacher de cette partie charnue de son anatomie, au contraire, elles s'attardent, malaxent. Le masseur est hypnotisé ; c'est bien ça ! Ses pouces ne cessent de faire des va-et-vient de la base des  fesses de la femme jusqu'au creux de ses reins et (très involontairement, bien sûr) les écartent de plus en plus pour dévoiler les grandes lèvres déjà juteuses de désir. Ouh ! que le spectacle est tentant ! Et pour ne faciliter en rien sa mission tactile, voici qu’elle se cambre de plus en plus. Elle va jusqu'à porter son sexe, gonflé d'envie et mouillé comme si la bouteille d'huile avait échappé des mains pour s'y déverser en entier, à quelques centimètres de la bouche de l’homme. « Là madame, je crois que vous avez une arrière pensée ! Et je ne suis pas un homme facile ! Oh que non ! Oh que ... » », ne peut-il s’empêcher de penser. Attendez un peu ... .  

Oui, sa langue est déjà en train de la caresser, de lécher avec gourmandise ce fruit juteux et tendre. Comme c'est bon de glisser dedans et d'entendre gémir la belle à chaque petit coup porté, avec la pointe de la langue sur son clitoris. Il a l'impression de déguster un abricot géant, ou une sorte de fruit exotique onctueux et parfumé. En plus, il repère un autre orifice qui palpite juste sous son nez, non loin de son sexe haletant.  Tiens, peut-être que lui aussi veut goûter aux caresses de ma langue. Alors, il se sert d'elle comme d'un gland. Avec la pointe, il joue à simuler une pénétration, bien tendre mais très humide. La lubrification naturelle se mêle à celle de l'huile de massage.

Finalement, le masseur se dit : « Je crois que je vais arrêter le massage à la ceinture. Le dos attendra. Ou alors, je me servirai de mon torse pour te frotter le dos. » Il y a des moments où il faut savoir se "sacrifier".

L’homme ôte ses vêtements, bermuda de bain et t-shirt ... Oh, mais ... Alors qu’il était tranquillement en train d'enlever son t-shirt, à la vitesse de l'éclair, la belle s'est assise sur le bord du transat et (sans lui demander la permission), elle lui a saisi le sexe et l'a goulument enfoncé dans sa bouche ! « Madame ! En voilà des façons ! »
« Hum ! C'est que vous savez y faire ! » Tout y passe. Les testicules sont léchées et même aspirées (oulala, pas trop fort quand même), la langue remonte des testicules jusqu'au gland, lèche, suce, aspire. Le pénis devient dur comme de la pierre, mais savonneuse. La dégustation dure, c'est divin, irrésistible !
Et puis, elle décide de changer de jeu. Maintenant, elle le veut dedans. Elle veut qu’il la remplisse entièrement. Alors, elle se remet en position, sur le transat, à quatre pattes. On dirait deux savonnettes tellement ils sont glissants, lubrifiés, dégoulinant de sécrétions et de désirs. L’étalon s'enfonce complètement en elle d'un simple coup de rein, presque sans sentir la caresse sublime de son vagin tout le long de son sexe. Pourtant, elle est serrée, oh combien, avec les parois gonflées par tous ces préliminaires, et même plus excitée par la fellation qu'elle lui a prodiguée que par les cunnilingus et anulingus dont il l'a gratifiée.
La levrette est un délice pour les deux mais l’homme veut y aller encore plus fort. Ses coups de reins se font plus percutants. La belle ne tient plus l'équilibre sur ses genoux et ses mains. Il lui faut s'allonger et là, le bassin de l’homme surexcité écrase ses fesses, son pénis s'enfonce en elle comme s'il allait la traverser, et même traverser le transat ! Il l'enjambe d'ailleurs, le transat, et maintenant, elle est à l'horizontale tandis que lui est à la verticale. Son pénis, tel un foret s'enfonce en elle de haut en bas ! C’est un pilon ! Ses mains enserrent ton bassin et "sournoisement" un doigt s'égare pour accompagner la pénétration du vagin par son pénis, par une pénétration avec le doigt de l’anus. La double pénétration, toutes proportions gardées, ne tarde pas à leur apporter ce "coup de pouce" pour atteindre la jouissance !
Oh comme c'était bon ! Tendre et caressant au début, presque violent à la fin ...
"Décidément, vous avez une ... belle piscine madame."

1 commentaire:

  1. Dans la mythologie grecque, les naïades (du grec Ναιάδες / Naiádes ou Ναίδες / Naídes ou Νάιτιδες / Náitides de νάειν / náein, « couler ») étaient des nymphes aquatiques qui vivent dans les eaux douces, en particulier les rivières, les sources, les fontaines, etc. Elles étaient l'objet d'un culte particulier. Elles passaient pour les filles de Zeus, des dieux fleuves ou de l'Océan (c'est pourquoi elles sont les sœurs des Néphélées), et sont parfois comptées au nombre des prêtresses de Dionysos. Quelques auteurs en font les mères des satyres et des silènes.

    Des chèvres et des agneaux, avec des libations de vin, de miel et d'huile sont offerts en sacrifice ; plus souvent, du lait, des fruits et des fleurs étaient déposés sur leurs autels. Elles étaient des divinités champêtres, leur culte ne s'étendait pas aux villes.

    Elles sont peintes jeunes, jolies, habituellement les jambes et les bras nus, appuyées sur une urne qui verse de l'eau, ou tenant à la main un coquillage et des perles dont l'éclat relève la simplicité de leur parure ; une couronne de roseau orne leur chevelure argentée qui flotte sur leurs épaules. Elles sont également couronnées, parfois, de plantes aquatiques.

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