Journal de bord : J'adore la nature et faire l'amour dehors est un fantasme que j'assouvis chaque fois que c'est possible. Me baigner nue dans l'eau fraîche d'une rivière en délicieuse compagnie, hum, c'est l'extase ...
Ma dernière mission était accomplie. Il avait fallu neutraliser les pirates, libérer l'équipage et il ne restait plus qu'à ramener la cargaison à bon part. Tandis que les mécaniciens s'affairaient pour remettre le cargo en état d'affronter la mer, l'officier, dans son bel uniforme blanc, me surprit en train d'effacer les traces du face-à-face avec les pirates.
Il toussa pour m'avertir poliment de sa présence mais vu son regard gêné et une légère bosse à son pantalon, je devinai qu'il ne venait pas d'arriver à l'instant.
Il prit néanmoins la parole :
"Au nom de tous les membres d'équipage et de la compagnie de transport, et avant de nous séparer, je tenais à vous remercier personnellement et chaleureusement pour votre intervention. Ce sauvetage était vraiment impressionnant et, et ... ", bafouilla-t-il sur la fin.
Ne le laissant pas conclure son mignon petit discours, je m'étais brusquement dressée hors de l'eau, le regard planté dans ses yeux et mes mains sur mes seins; simulant la pudeur.
Lorsque je décidai d'arrêter ce jeu et que je m'offris entièrement à son regard, je crus bien qu'il allait perdre respiration. Alors, pour ne pas le laisser dans l'embarras, je lui répondis :
"Et si vous veniez personnellement, et surtout chaleureusement, me remercier dans l'eau ?"
En militaire habitué à obéir à ses supérieurs, il s'exécuta comme un automate. Le bel officier de marine ôta ses chaussures, son uniforme et ses sous-vêtements puis, prudemment s'enfonça dans l'eau, les mains croisées devant son bas-ventre.
La fraîcheur du bain n'eut heureusement pas raison de la "bosse" que son pantalon n'arrivait pas à cacher totalement. Quand il fut à portée de mains, je l'agrippai par son membre et le tractai jusqu'à moi. Désormais collés l'un à l'autre, j'allai pouvoir le déguster. Un bonus sur la prime que sa compagnie allait m'offrir pour la libération de tous ses hommes.
Je me plaquai à lui écrasant ma poitrine sur son torse musclé, et, dominatrice, j'entrouvris un instant les cuisses pour emprisonner son sexe en érection, désormais au chaud entre mes jambes. Je lui pris le visage entre mes mains et plantai ma langue dans sa bouche. Il m'attrapa fermement par la taille et ses mains parcoururent avec fougue mon dos puis mes fesses.
En me soulevant dans son empressement, il me fit lâcher ma prise. Son sexe quitta le fourreau de mes cuisses et se retrouva dressé entre nos deux ventres. Nos regards se croisèrent en direction de ce "monstre du Loch Ness" que je me fis un malin plaisir de capturer à nouveau.
Je me laissai glisser dans l'eau, la poitrine au niveau de son phallus puis mes bras se refermèrent autour de son bassin, tel un piège à loup. Son sexe se retrouva naturellement entre mes seins. Portée par l'eau, je flottai tout en masturbant son sexe avec me seins gonflés. Mon visage allait de temps en temps chercher son regard pour l'électriser davantage et à d'autres moments, je me concentrai sur mon propre désir en gobant tout ce qui dépassait d'entre mes seins dans ma bouche. Voyant qu'il était hypnotisé par mes rondeurs, je posai mes seins dessus et les serrai pour le masturber avec.
Sentant qu'il était à deux doigts d'orner ma poitrine d'une cravate de notaire, je m'interrompis car je voulais le sentir en moi avant de le laisser repartir ! Je me redressai, l'embrassai à nouveau goulument puis sautai les jambes autour de son bassin tout en me plantant sur son sexe terriblement appétissant.
Quand il s'enfonça en moi, ce fut une décharge de plaisir que de sentir cette chaleur intense contraster avec la fraîcheur vivifiante du bassin. L'air marin, l'exposition potentielle à tous les regards dans la nature, la masturbation qui avait précédé, tout me mit dans un état d'excitation tel que j'étais moi aussi au bord de l'orgasme. Quand il m'attrapa par les fesses pour me faire monter et descendre (sans effort puisque portée par l'eau), je le sentis se planter en moi, de plus en plus profondément, de plus en plus fort. J'avais l'impression d'être empalée, dans un bouillonnement d'écume et de bruits d'eau !
Je jouis violemment en le serrant du plus fort que je pouvais avec mes jambes et en lui lacérant le dos avec mes ongles pour me coller complètement à lui. Mon vagin pulsa et aspira son sexe tellement fort qu'il ne parvint pas à échapper à l'étreinte malgré nos corps mouillés et glissants.
Hum ! J'avais eu mon bonus.
"Mission accomplie capitaine ! Votre torpille a fait exploser sa cible ! Vous pouvez disposer." lui dis-je, taquine, en le laissant rejoindre son équipage.
Voilà des otages qu'on aimerait libérer plus souvent.
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