Arrivée à l'hôtel - La vue.
La vue est un enchantement. V'ger, la voyageuse, est totalement sous le charme de ce lieu. Elle se sent suspendue entre ciel et mer. En un seul regard, tous les tracas professionnels et la fatigue semblent s'être évaporés.
Une membre du personnel de l'accueil la conduit à sa chambre, une suite avec terrasse et vue sur l'océan, comme il se doit. Le lit est immense, très accueillant; on ne sait jamais. Coiffée d'un chapeau de paille et d'une tunique blanche vaporeuse, elle attend tranquillement sur la terrasse qu'on lui livre ses bagages.
Quelques minutes plus tard, les yeux perdus dans l'immensité du bleu, V'ger entend toquer à la porte. C'est le livreur de valises. Sa carrure emplit toute la largeur de la porte ! A la vue de ce jeune homme, très bien bâti, elle ne peut s'empêcher d'imaginer d'affriolantes situations. Elle l'observe quelques instants soulever les lourdes valises avec une force et une aisance fort agréables à voir.
Lorsqu'il lui demande si "Madame désire autre chose ?", elle lui répond instinctivement qu'elle voudrait bien qu'il dépose certains bagages dans la salle de bain. Elle lui tend voluptueusement son vanity et d'autres affaires personnelles qu'elle ôte d'une des valises, en prenant vraiment son temps et en usant de la transparence de sa tenue et des rayons du soleil pour capter l'attention du robuste livreur.
V'ger l'accompagne ensuite dans la pièce d'eau en le frôlant volontairement, et elle remarque immédiatement que lui aussi a les yeux baladeurs.
Dans la salle de bain, V'ger continue à l'aguicher en rageant les affaires qu'il lui tend, un peu embarrassé. Sentant qu'il hésite, désormais, elle prend l'initiative : "Mais ne partez pas ! Mon voyage en avion m'a terriblement courbaturé le dos."
Elle se dirige vers la vaste cabine de douche et ajoute : "Pourriez-vous me soulager un peu en me massant le haut du dos ?" suivi d'un presque plaintif "S'il vous plaît !"...
Avant que le robuste jeune homme ne puisse répondre, la belle voyageuse a laissé glisser son ample chemise translucide et se dirige, totalement nue, tout au fond de la vaste cabine de douche. Elle règle les robinets pour obtenir la température idéale. Pour accomplir cette manipulation, V'ger n'hésite "naturellement" pas à se pencher et à se cambrer un maximum. Les yeux du bagagiste en sortent presque de leurs orbites ! Puis, en le regardant langoureusement par dessus son épaule, elle lui tend un flacon de main moussant.
Forcé d'entrer dans la cabine, il se déchausse hâtivement et ôte la veste de son uniforme, ainsi que sa chemise, pour accomplir le massage demandé. V'ger est à son tour hypnotisée par le torse musclé et finement ciselé du bellâtre. Mais comme l'effeuillage ne lui suffit pas, elle prend un coquin plaisir à éclabousser (un peu) le pantalon. Le jeune homme n'a plus le choix que de se déshabiller complètement sous peine de sortir de la chambre de sa cliente avec un uniforme tout trempé.
Dans cette tenue d'Adam, il ne peut plus dissimuler l'érection qui lui brûle le bas du ventre. Un sourire de contentement se dessine alors sur le visage gourmand de V'ger.
Elle lui tourne le dos et lui indique du bout du doigt les épaules qu'il doit en principe lui masser.
Le savon liquide et l'eau se mélangent et coulent en moussant le long du dos de la voyageuse, soulignant sa cambrure et ses fesses bien rondes.
Les yeux du bagagiste suivent cette rivière de mousse et, complètement happé par le spectacle, il saisit la cliente par les hanches et s'empale en elle sans aucun préliminaire.
Sont-ce les regards échangés, l'excitation de l'une et de l'un, ou les corps rendus glissants par la savon liquide; toujours est-il que le coït commence à toute allure. Les deux protagonistes sont littéralement bouillonnants. A chaque coup de butoir du solide gaillard, des gerbes de mousse s'élèvent entre les fesses de la belle voyageuse, tels des geysers d'eau ... bouillante.
Le spectacle cocasse de ces jets et le torse musclé de son amant improvisé amusent, et ensorcellent à la fois, la voyageuse. Les yeux de la belle se rivent dans ceux de son étalon et après un intense coït, la jouissance les emporte sous la douche d'eau chaude.
Un délice, pour les yeux et pour le corps.
Affolé, car ne sachant pas combien de temps il a passé dans la chambre (et la salle de bain), le bagagiste se rhabille aussi vite qu'il peut et prend congé de sa cliente avec un rituel : "Autre chose madame ?"; ce à quoi elle répond évasivement : "Peut-être plus tard !"
Aquagym avec coach personnel - L'ouïe puis le toucher.
Après une sieste bien réparatrice, V'ger sort de sa magnifique chambre et explore l'hôtel de luxe. C'est la basse saison et elle a l'impression apaisante d'avoir tout l'espace pour elle. Soudain, son ouïe est attirée par la douceur musicale d'une fontaine. En s'approchant du grand bassin d'où provient le clapotis, elle entend plus distinctement de la musique zen. Charmée par cette ambiance aquatique et méditative, elle se glisse avec bonheur dans l'onde.
Un sentiment de plénitude l'envahit. Subjuguée par la musique et la magnificence du lieu, elle n'entend pas approcher le maître nageur. C'est lui qui a mis la musique et qui prodigue des cours d'aquagym ou de relaxation aquatique, selon la demande de ses clients et clientes.
Voyant sa cliente isolée, le maître nageur, un bel homme bien bronzé comme il se doit, n'hésite pas à se mettre à l'eau. Il se présente et propose à V'ger un cours particulier. Bien volontiers, pense avidement la belle touriste.
Pendant toute la séance, le coach se montre très prévenant, très attentionné, en corrigeant telle ou telle position, et surtout en posant ses mains de plus en plus souvent sur le corps échauffé de la voyageuse. Au bout d'une demi-heure, l'essoufflement dans l'effort ressemblant de plus en plus à des gémissements de contentement, les mains du maître nageur (ainsi encouragé) se font carrément baladeuses. Le bikini de V'ger semble être une barrière de plus en plus franchissable. Masqués par l'onde, des doigts s'aventurent là où l'intimité de la cliente aurait dû être respectée. Mais si c'est madame qui demande ...
La séance d'aquagym se termine et V'ger se sent tout aussi excitée que fatiguée musculairement. Le maître nageur ne peut visiblement pas sortir de l'eau lui-même car sa tenue de bain est complètement déformée par une érection de belle taille. Il indique donc à V'ger un coin du bassin qui peut s'actionner en bain à remous. Les bulles pourront dissimuler les mains aventureuses et les entre-jambes dénudées.
V'ger prend l'initiative. Elle extirpe le membre brûlant et dur du maître nageur de sa prison de textile. Il est doux dans sa main et bien large. Elle fait glisser ses doigts le long de cette colonne de chair les yeux perdus dans le vide, avec une expression presque innocente. Quiconque passerait à proximité du bassin ne pourrait voir que deux sportifs au repos après une intense séance d'aquagym. Mais dans le bouillonnement du jacuzzi, la masturbation s'intensifie et se partage. Car le maître nageur ne veut pas être en reste du toucher. Sa main caressait le dos de la belle, puis les fesses, jusqu'à se glisser dans le maillot pour mettre un doigt puis deux dans le sexe très mouillé (forcément) de la nageuse.
Les deux masturbations portent l'excitation de V'ger jusqu'à son paroxysme. Elle n'en peut plus. Alors, après un bref coup d’œil panoramique, et ne voyant personne dans les environs, elle prend une grande aspiration et plonge dans les remous. Regarde (ce) qui arrive sous les bulles, lui lance-t-elle d'un regard gourmand.
En quelques aspirations et apnées, V'ger sent le fluide vital du maître nageur jaillir de son bel organe et inonder sa gorge chaude. Elle n'en perd pas une goutte et remonte enfin à la surface pour reprendre son souffle, rassasiée. Pour le moment ...
Péché de gourmandise - Le goût.
La journée a formidablement bien commencé mais V'ger est un peu fatiguée. Elle décide donc de ne pas prendre son diner dans la grande salle du restaurant de l'hôtel. Elle préfère se faire livrer un plateau gastronomique dans la chambre et se coucher tôt.
Elle passe la commande par téléphone et, à l'heure prévue, un serveur lui livre un beau plateau; les assiettes accompagnées de verres de vin. Tout est succulent ! Les papilles de la voyageuse sont délicatement titillées. De plus, le vin est excellent et ne tarde pas à monter à la tête de la belle. Elle prendrait bien un "dessert".
Osera-t-elle ?
Le serveur est au garde à vous, très aimable depuis le début du repas, très appétissant aussi ...
Alors qu'il a fini de desservir et s'apprête à quitter sa cliente, celle-ci, sans se lever sa chaise, pose ses mains sur son bas-ventre et commence à caresser le jeune homme qui reste figé de surprise. Sentant une bosse gonfler sous l'étoffe, V'ger intensifie son geste puis ouvre la braguette du pantalon pour libérer le membre gonflé de désir. A la vue de cette colonne de chair déjà humide, elle sait que le dessert sera délicieux. Tout en continuant sa caresse, V'ger susurre au serveur en le tutoyant : "J'adore te caresser avec les mains, te toucher est vraiment agréable.". Cette phrase fait un tel effet au jeune homme que le sexe semble gonfler encore plus, durcir comme du bois et son gland prend une couleur rouge vif !
Sans plus attendre, V'ger succombe à la tentation et entame la dégustation. Sa langue glisse de la base du phallus jusqu'au sommet. Quand elle y arrive, elle joue avec ses lèvres sur la pointe du gland aussi appétissant qu'une grosse fraise. Elle s'imagine la chantilly qui pourrait en surgir si elle insistait trop. V'ger gobe la tête rouge et enfonce le sexe au plus profond de sa gorge chaude.
Ces va-et-vient excitent tout autant celle qui les exécute que celui qui les subit.
Pour aromatiser le geste, V'ger tend la main vers le plateau de pâtisseries qu'elle avait jusque là délaissées. Elle trempe ses doigts dans une crème puis en badigeonne le membre dressé qu'elle tient dans son autre main. Hum ! Miam ! pense-t-elle. Et elle s'empresse de lécher le tout avant de recommencer avec un peu de coulis de chocolat cette fois. Ses papilles sont au paradis. Cet étalon dans sa bouche et toutes ses saveurs qui se bousculent sur sa langue, ses lèvres et jusqu'au fond de sa gorge. Elle est en extase. Et lui aussi. Sa jouissance est une fontaine ! Elle en boit chaque goutte tel un nectar jaillissant de la corne d'abondance.
Le serveur quitte les lieux dans un état second et V'ger peut bientôt s'endormir profondément, comblée par cette première journée. Elle a hâte d'être à demain !
Baignoire avec des pétales de rose - L'odorat.
V'ger s'est offert une grasse matinée. Fourbue par son long voyage en avion et par sa pétillante première journée, elle s'éveille doucement, voluptueusement. Le matin est calme, la lumière douce et elle savoure les odeurs fraîches du matin. Les fleurs en contrebas de son balcon s'ouvrent et libèrent leurs fragrances. Les oiseaux entament leur concert. Comme ces sensations sont apaisantes !
V'ger ouvre la baie vitrée et, nue comme Eve, avance délicatement sur la terrasse en caillebotis, cirée et brillante. Des pétales de rose ont été déposés par le personnel. Quelle délicate attention ! Quelqu'un de reconnaissant et d'attentionné pour cette cliente qui, il est vrai, sait remercier le personnel très généreusement. Le parfum est enivrant !
V'ger se laisse glisser agréablement dans le jacuzzi frémissant. Les bulles chatouillent son épiderme et réveillent son corps naturellement torride. Les jets d'eau alternatifs s'insinuent entre ses cuisses tandis que l'odeur des roses se fait de plus en plus entêtante, presque enivrante. V'ger écarte ses jambes fuselées et se laisse caresser un moment par l'eau chaude de son bain.
L'excitation monte en elle et elle adjoint une caresse plus personnelle, avec sa main douce et experte. Ses doigts glissent sur les lèvres qui se gonflent peu à peu de désir. Elle s'attarde sur le clitoris, pendant de longues et savoureuses minutes. Peu à peu, elle perd la notion du temps, s'ouvrant totalement à ses sens : le toucher, forcement, mais aussi l'odorat. V'ger gémit de plus en plus fort mais, heureusement, ses soupirs sont masqués par le bouillonnement du jacuzzi. Consciente de cette aubaine, elle ne se retient plus. Elle intensifie sa caresse et aventure ses doigts au plus profond de son sexe terriblement excité par la caresse. Ô comme elle aimerait à cet instant que son compagnon secret soit là pour l'emplir toute entière ! Le simple fait de penser à celui qui doit la rejoindre demain la met dans un état incroyable. Elle mêle ses souvenirs ardents à la caresse débridée et V'ger jouit brutalement, secouée par des spasmes répétés.
Le vertige est intense et il lui faut de longues minutes pour retrouver ses esprits. Elle a hâte que son étalon la rejoigne enfin. Leurs vies professionnelles respectives sont telles qu'ils ne peuvent qu'occasionnellement se croiser lors de lointains voyages. Mais lorsqu'ils se croisent ... Hum ! Demain, il sera là !
Alors, prudemment, V'ger va contenir sa libido et profiter de cette ultime journée avant les retrouvailles pour se rendre encore plus désirable. Visite chez l'esthéticienne, chez la coiffeuse, etc. Demain, elle sera irrésistible et ... insatiable !
Enfin, tu es là ! - Les cinq sens
Très tôt le lendemain matin, V'ger descend sur la plage encore déserte, au bas de la falaise arborée. Celle-ci est surplombée par l'hôtel de luxe qui a été construit au sommet et qui semble être suspendu entre ciel et mer, pour le plus grand plaisir de ses chanceux clients. Un bel étalon est allongé sur le sable chaud, au pied de la falaise, à l'ombre d'un filaos.
Reconnaissant cette silhouette, elle s'approche innocemment et lui dit simplement que le climat et le lieu paradisiaques se prêtent bien pour se laisser aller. Une proposition très alléchante qui procure déjà quelques délicieuses sensations, des fourmillements dans le (bas-)ventre aux deux interlocuteurs.
Regard complice et sourire en coin éclairent le visage de celui qu'elle attendait. C'est lui qu'elle surnomme affectueusement G (parce qu'il sait très bien le trouver, ce fameux point éponyme).
Le soleil a déjà eu le temps de réchauffer le corps viril allongé devant elle, sur une large serviette posée le sable. D'un geste accueillant, G invite V'ger à la rejoindre et, tandis qu'elle s'accroupit après avoir jeté un dernier regard aux alentours, il ôte son bermuda de bain et dévoile son sexe déjà tendu par le désir.
C'en est trop pour V'ger ! Cette colonne de chair dressée est un appel à la gourmandise ! Politesse oblige, elle embrasse d'abord cette bouche sensuelle qu'elle aime tant mais sa main et son esprit sont déjà à l'étape suivante, celle consistant à déguster l'objet de ses désirs (qui lui aussi a un surnom : Priape !).
Les langues se nouent, se caressent, une bouche aspire, l'autre mordille. Elle n'en peut plus d'attendre. Elle veut Priape dans sa bouche. Reprenant une profonde inspiration, V'ger abandonne la bouche de G et plonge entre les cuisses de son amant itinérant. Hum ! Le voilà enfin son divin étalon. A chaque fois, il lui fait l'amour comme un dieu et elle en redemande, toujours plus, toujours mieux.
Elle va faire monter son désir à lui. Elle sait exactement ce qu'il aime !
V'ger entame une langoureuse fellation dont elle a le secret, dégustant chaque centimètre carré de chair rose avec un appétit et un plaisir sans cesse renouvelés. Bientôt G aussi veut la goûter dans son intimité. Il fait glisser sa culotte de bain et la guide pour qu'elle l'enjambe et présente son sexe humide au-dessus de son visage. Voici nos deux amants engagés dans un 69 endiablé alors que le soleil monte à l'horizon. La plage est toujours déserte mais quelque promeneur matinal pourrait bien les surprendre dans cette position cavalière. Cavalière ... justement. V'ger a désormais envie de chevaucher son étalon. Elle échappe à son emprise, redresse son buste et fait glisser son bas-ventre sur le large torse, vers le bassin où un monument de chair se dresse majestueusement. Simplement drapée de son paréo, V'ger s'empale sur le sexe gonflé à l'extrême de son amant vigoureux. Elle se sent soudainement emplie, les parois de son vagin serrées contre la colonne de chair qui s'insinue en elle. Et ce pal s'enfonce jusqu'au bout, tout au fond, butant même sur le col de l'utérus. Il lui faut quelques secondes pour reprendre son souffle et ensuite, elle commence la chevauchée. V'ger soulève son bassin, et s'empale à nouveau, de plus en plus rapidement, de plus en plus violemment. C'est un piston qui s'enfonce en elle ! Stimulée par les retrouvailles tout autant que par l'endroit insolite où ils peuvent être surpris à tout instant, elle ne met pas longtemps pour jouir de tout son soûl. Il la rejoint dans l'extase dès qu'il sent les spasmes de l'orgasme, les parois du vagin l'aspirer comme si une main voulait l'attirer de toutes ses forces vers l'intérieur de sa douce partenaire.
V'ger, qui tournait le dos à G durant la folle cavalcade, fait lentement pivoter son visage par-dessus l'épaule et susurre entre ses dents : Aujourd'hui, je t'invite !
J'invite un ami à ma table ... de massage - L'apothéose des cinq sens
Après les ardentes retrouvailles sur la plage, un lieu bien insolite pour qui souhaite un minimum d'intimité, les deux amants retournent chacun dans leur chambre; sans oublier de se donner rendez-vous pour le déjeuner.
V'ger profite de l'intermède pour tout organiser du reste de l'après-midi. Elle a pris les dispositions nécessaires et entend bien se montrer généreuse tant son G le lui rend bien, en nature.
Quand elle annonçait l'inviter, ce fut d'abord à sa table, pour le déjeuner.
Mais ensuite, l'invitation se répéta à la table ... de massage.
Au crépuscule, romantiquement éclairés par une multitude de bougies parfumées, V'ger et G sont accueillis dans le magnifique spa (sanitas per aquam) de l'hôtel par deux non moins magnifiques jeunes femmes. V'ger les a choisies sensuelles et métissées, connaissant les goûts de son amant. Elle l'observe du coin de l’œil, et constate amusée qu'il est légèrement troublé, se demandant pourquoi elle lui inflige cette délicieuse tentation alors qu'il aimerait tout simplement la posséder elle.
Les deux masseuses sont sobrement habillées d'une blouse blanche, boutonnée sur le devant, au col en v. Elles conduisent V'ger et G jusqu'à la salle de massage, ouverte face au bassin à remous du spa, dont la plage est constellée de pétales de rose. Après quelques explications sur le déroulement de la séance, elles sortent un moment pour qu'ils se dévêtissent. A leur retour, V'ger et G sont sagement allongés sur leur table respective couverts par une simple serviette autour de la taille.
La masseuse choisie par V'ger est claire de peau, dotée d'une fine silhouette, avec un visage d'éternelle adolescente; les pommettes hautes et les joues rondes. Un faux air de Jessica Alba.
Celle qui va s'occuper de G a la peau mâte et les cheveux noirs. Son décolleté laisse entrevoir une poitrine généreuse où les yeux de G ne peuvent s'empêcher de plonger. Lorsqu'il se rend compte que V'ger l'observe, il est soudain gêné mais sa douce amie le rassure d'un sourire conciliant (et amusé).
Les masseuses couvrent les deux clients d'une grande serviette éponge qu'elles n'ôtent que partiellement durant la séance, massant successivement chaque partie du corps. Le massage est d'inspiration ayurvédique, c'est-à-dire avec des huiles parfumées chauffées dans un petit récipient en terre cuite, à la flamme d'une bougie.
Les odeurs épicées, la lumière tamisée et l'ambiance zen se combinent pour rendre cette séance très agréable. Les mains sont expertes et les masseuses fort agréables à regarder; ce qui contribue forcément à rendre ce moment très plaisant.
Elles commencent par une jambe, massant la plante des pieds, remontant le long du mollet puis forçant davantage pour détendre les muscles de la cuisse, jusqu'au bas des fessiers. Une jambe ayant été massée, elle est recouverte par l'épaisse serviette éponge et c'est au tour de la seconde jambe d'être massée, du pied au fessier. Puis vient le tour du dos. Là,surtout pour G, les masseuses doivent s'employer plus énergiquement. Elles utilisent le poids de leur corps, penchées sur leurs clients. Il y a des effleurements, la respiration se fait plus profonde, la peau des masseuses se couvre de perles de sueur. Les mains glissent et les muscles se détendent. G ouvre les yeux de temps en temps et, au travers du repose-tête de la table de massage, observe la masseuse qui lui donne ces agréables sensations. Ses pieds sont nus, ses ongles manucurés et finement peints, ses chevilles fines et les mollets galbés. Il se dit qu'il aimerait bien glisser sa main plus haut, entre les cuisses humides de sueur ... mais il réalise soudain que ses pensées s'égarent, que la cible de son désir est juste là, à côté de lui, sur la table voisine. Il est troublé par ses propres pensées.
Et pendant tout ce temps, à côté de lui, V'ger exulte, coquine. L'effet produit est exactement celui qu'elle voulait provoquer. Elle connaît parfaitement le corps de son amant. Elle sait lire les imperceptibles mouvements, entendre la respiration qui s'accélère. Elle a parfaitement conscience qu'il est excité (perverse, c'est ce qu'elle voulait produire) car elle adore voir des mains de femme le masser.
Lorsque les masseuses demandent aux deux clients de se retourner, V'ger feint de ne rien voir mais la serviette de G est outrageusement gonflée par le désir. Une bosse forcément visible par les deux masseuses déforme le morceau d'étoffe. G ne sait plus ou se mettre et ferme les yeux, serre les dents dans l'espoir naïf que cela passera inaperçu ... . Professionnelles, les masseuses ne disent rien et continuent le massage : le cuir chevelu puis les épaules. G se détend et oublie presque qu'il est en érection. V'ger ouvre les yeux et d'un clin d’œil complice rassure les deux jeunes employées. Elle les encourage même à continuer.
La dernière étape du massage consiste à masser le ventre avec l'huile chaude et parfumée. Les mains glissent doucement, le bout des doigts touchant la serviette au niveau du pubis. V'ger est à son tour excitée, prête à bondir. Quand à G, n'en parlons pas, son sexe tendu a carrément soulevé la serviette tel le mât d'un navire toutes voiles gonflées.
C'est le moment. Discrètement, d'un geste, V'ger demande aux masseuses de s'éclipser et prend le relais.
Elles s'exécutent docilement en se prenant par la main, visiblement émoustillées par la situation et s'apprêtant peut-être à éteindre elles-mêmes leur feu intérieur à coups de langues ...
Mais l'esprit de V'ger n'est plus à ces charmantes complices. Elle a maintenant pour elle seule ce corps viril tout entier.
G est allongé sur la table de massage, la tête dans les étoiles après cet envoûtant massage (celui du cuir chevelu notamment), et arbore une incroyable érection.
Comme une panthère, V'ger descend de sa table, laissant glisser sur le sol sa serviette éponge. Puis, d'un simple effleurement, elle ôte la serviette qui dissimulait à grand peine le sexe tendu de son amant. Débarrassé de ce fardeau, Priape libéré se tend encore plus, claquant sur le ventre de G comme un piège à souris.
Délicatement, V'ger saisit le membre durci pour le replacer à la verticale et commence une lente et douce masturbation des deux mains. Les va-et-vient s'accompagnent parfois de subtils coups de langue sur le gland, à la façon d'une gourmande qui dégusterait une crème glacée. G ferme les yeux et respire de plus en plus fort.
Maintenant, V'ger veut le prendre dans la bouche. Elle serre la base du pénis pour le garder le plus ferme possible, au maximum de son gonflement. Elle pose ses lèvres sur l'extrémité, puis, suavement, elle fait glisser sa bouche le plus loin possible, vers la base. A chaque aller-retour, elle s'efforce de l'enfoncer plus profond dans sa bouche, dans sa gorge. Elle utilise cet orifice comme un deuxième vagin ... mais en risquant l'étouffement.
Finalement, elle renonce à l'avaler davantage et lève les yeux vers G qui l'observait comme un fauve. Le prédateur fixe sa proie et, d'un bond, se retrouve debout, dressé contre elle. G saisit V'ger, la retourne et la plaque sans ménagement contre la table de massage. Il agrippe fermement ses fesses couvertes d'huile, les écarte et se met à lécher indistinctement les lèvres de son vagin et son anus. Il se comporte comme une bête affamée. Ses mains serrent si fort les fesses de V'ger qu'elle se sent incapable de bouger. Mais pour être honnête, à cet instant précis, elle ne voudrait être nulle part ailleurs au monde !
Le fauve n'en a pas fini avec elle. Il la redresse, se colle à son dos et la soulève pour la plaquer contre le mur de la salle de massage. Il pousse le dos de V'ger pour qu'elle se penche un peu et, tenant son pénis de l'autre main, s'enfonce en elle jusqu'à la garde d'un seul coup de rein. V'ger a l'impression d'être pénétrée jusque dans ses entrailles. Elle sent le gland de son amant taper tout au fond d'elle, avec force et rigidité. Mais elle est tellement excitée et lubrifiée que cet intense coït n'est que plaisir, plaisir bestial mais plaisir absolu.
Pendant qu'il la laboure et perle de grosses gouttes de sueur, les mains de G malaxent le dos de V'ger, étalant l'huile parfumée dont les masseuses se sont servi. Le récipient étant à portée de main, il en ajoute et transforme le dos et les fesses de V'ger en une véritable patinoire. Coquin, il s'amuse à enfoncer un doigt dans l'anus de sa belle. Les soupirs qu'elle laisse échapper sont des invitations qui le stimulent encore plus. Il glisse un deuxième doigt puis un troisième tout en continuant à lui enfoncer le sexe au plus profond de son vagin. Quand il sent qu'elle est prête à l'accueillir, il saisit son pénis et le dirige vers l'orifice étroit et la prend par derrière. Au début, il est câlin et ménage V'ger, mais l'instinct du fauve ressurgit vite et il ne la ménage plus, la cognant de l'intérieur et provoquant en elle des sensations d'une extrême intensité. Il jouit bientôt une main crispée sur un des petits seins de V'ger, l'autre caressant le clitoris qui ruisselle d'excitation.
La fauve recule de quelques pas, ayant assouvi sa faim, s'assied sur une des tables de massage puis s'allonge, repu. Mais c'était ignorer que la belle peut aussi se transformer en bête ...
Les yeux de V'ger ont changé. Ils sont noirs, extrêmement intimidants. Elle semble désormais envoûtée par quelque déesse indienne; sorte de Kali aux bras multiples, à la langue rouge et à la bouche insatiable. Elle saisit le récipient d'huile ayurvédique, épicée et chauffée à la bougie, et répand tout le contenu sur le corps de G. Puis, semblant continuer l'exécution d'un mystérieux rituel oriental, elle prend le second récipient et le verse avec précision sur toutes les parties de sa propre anatomie.
V'ger s'allonge ensuite sur le corps relâché de G et entame un torride body-body à la thaïlandaise. La réaction du mâle ne tarde pas à se faire sentir. Son sexe est à nouveau gonflé de sang et durci de désir. V'ger ne se presse pas de le consommer. Elle continue à le masser avec ses mains, avec ses petits seins très sensibles, avec tout son corps.
Puis, telle une savonnette, ou plutôt une toupie, elle se retrouve tête bêche avec son amant. Le sexe de G s'enfonce naturellement dans sa bouche tandis qu'il la saisit en pleine rotation pour coller sa bouche virile contre son sexe brûlant et ô combien humide. Mais la V'ger possédée n'abandonne pas le contrôle. C'est elle la sauvage désormais, c'est elle qui dirige le mouvement. Elle se retourne à nouveau et, amazone, s'empale sur le membre tendu, saisit le visage de G et l'embrasse goulument, presque à le dévorer. Quand les mains de son homme lui pétrissent les fesses, elle intensifie la cadence. Quand ses doigts se font explorateurs, glissant le long de la raie des fesses et s'enfonçant un après l'autre dans son anus, V'ger intensifie encore la cadence ! Elle en veut toujours plus. Elle lâche même des "Fais-moi jouir !" avec une voix méconnaissable, presque bestiale. Carrément envoûtée !
Puis, au beau milieu du coït, elle saute à terre et s'adonne à nouveau à une fellation. Ses yeux redevenant un instant humains, elle se justifie presque "Je ne l'explique toujours pas, avec toi le massage buccal est une étape obligatoire, je ne peux pas m'en empêcher !" .
Mais la déesse aux yeux noirs, insatiable, reprend le dessus. V'ger se met à quatre pattes sur le sol, comme une chatte en chaleur, et supplie G de la prendre en levrette, de toutes ses forces ! "Madame, vos désirs sont des ordres !" répond-il hypnotisé. Et il lui donne tout ce qu'elle veut, jusqu'à l'épuisement. Il la saisit fermement et s'enfonce jusqu'à la garde. Il rythme le coït vigoureusement et elle se cambre de plus en plus. Sentant qu'il est à bout de force et qu'elle n'est toujours pas rassasiée, elle attrape et sexe de G et le dirige vers son orifice le plus étroit. Elle veut vivre à nouveau l'intensité de la sodomie. Bestiale jusqu'au bout.
Le G et son Priape déchargent toute leur énergie et leur fluide vital puis s'affalent sur le sol. Epuisés. V'ger est comblée, par tous ses sens, dans tous les sens. C'est presque en rampant que l'homme se dirige vers le bassin du spa. Demain, il devra se lever tôt (dans quel état !?) pour repartir vers d'autres cieux.
V'ger, quant à elle, pourra s'abandonner à la méditation, sereine, apaisée, comblée ... en attendant le prochain rendez-vous.
Le prénom "V'ger" pour la voyageuse est un clin d’œil à la science-fiction et à Star Trek en particulier.
RépondreSupprimerV'Ger était à l'origine, une sonde nommée Voyager VI lancée par la NASA à la fin du 20ème siècle. Cette sonde a été envoyée afin d'explorer l'univers hors du système solaire et d'envoyer les informations emmagasinées vers la Terre. Lors de son périple, cette sonde s'est projetée vers un trou noir et tout contact avec la terre à été perdu. Cette dite sonde s'est retrouvée vers une planète de type industrielle gérée par des machines et croyant que c'était un des leurs, une immense entité à été érigée autour de cette sonde afin de retrouver son créateur. Cette entité a été nommée V-GER parce que, lors de son voyage, l'inscription VOYAGER VI a été effacée à moitié ne laissant que les lettres "V G E R" visibles.
Kali (en sanskrit काली (Kālī) ou कालिका (Kālikā)) est, dans l'hindouisme, la déesse de la préservation, de la transformation et de la destruction. C'est une forme terrifiante de Pārvatī représentant le pouvoir destructeur du temps. Son nom dérive du mot kāla, le temps en sanskrit, celui qui détruit toute chose. Celui qui la vénère est libéré de la peur de la destruction. Elle détruit le mal sous toutes ses formes et notamment les branches de l'ignorance (avidyā), comme la jalousie ou la passion.
RépondreSupprimerKali est considérée comme la force qui détruit les esprits mauvais et qui protège les dévots. Elle est la parèdre noire de Shiva qui lui, couvert de cendres, est blanc ; c'est sa shakti, le principe actif et extériorisé d'une divinité masculine. Elle était déjà présente dans les Vedas, comme étant une des sept langues de feu du dieu Agni (la même racine que le mot latin ignis). Elle est l'équivalent des déesses Durgâ et Châmundâ.
Ramakrishna, pour qui Kali était la « Mère divine », parle du « jeu de Kali », qualifiant ses différentes manifestations.
Images de Kali
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